Pourquoi dire : "Si on zoome sur l'électorat jeune" ?

Le journaliste français Thomas Hugues

Comme a pu le faire, le 14 juin 2022, le journaliste français Thomas Hugues, dans son émission "Sens public", sur la chaîne de télévision publique française Public Sénat.

Et pas : "Si on FAIT UN GROS PLAN sur l'électorat jeune"  !

On ne dit pas : "Bon nombre de la population peut avoir le sentiment que", pas plus que "I' faut reparlementariser et c'est bien ça qu'on s'attache avec la NUPES", ni "On a un sujet de remettre du continu, du participatif" !

L'homme politique français Julien Bayou, secrétaire national du parti EELV

Ainsi qu'à lamentablement pu le déclarer, le 22 juin 2022, dans la cour de l'Élysée, l'homme politique français secrétaire national du parti EELV, Julien Bayou.

Mais :

  • "Bon nombre de PERSONNES peuVENt avoir le sentiment que" ou "Bon nombre de GENS peuVENt avoir le sentiment que",

L'adjectif indéfini "Bon nombre de" signifie en effet "énormément" et ne peut donc aucunement s'appliquer à "la population".

  • "IL faut REDONNER TOUTE SA PLACE AU PARLEMENT et c'est bien CELa quE L'on s'attache À FAIRE avec la NUPES",
  • "et : ... ma foi je n'en ai, à vrai dire, strictement aucune idée, tellement cette phrase absconse et vide de sens ne signifie absolument rien !

On ne dit pas : "C'est vrai qu'c'est des beaux objets" !

Le commissaire-priseur français Yves Cosquéric

Comme a pu le déclarer le commissaire-priseur français Yves Cosquéric, le 13 juin 2020, dans l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie Davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais : "C'est vrai quE CE SONT de beaux objets" !

Et idéalement : "IL EST vrai quE CE SONT de beaux objets" !

On ne dit pas : "Et il aura quelques dizaines d'employés et jusqu'à plusieur dizaines" !

La commissaire-priseur française Salomé Pirson

Comme a pu le déclarer, le 14 juin 2022, la commissaire-priseur française Salomé Pirson, dans l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais plus simplement : "Et il aura JUSQU'À plusieurs dizaines d'employés" !

On ne dit pas : "Si la Belgique ne surenchit pas" !

Logotype de l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie Davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2

Ainsi qu'a malheureusement pu le déclarer Daniel, un vendeur de l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie Davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais bien évidemment : "Si la Belgique ne SURENCHÉRIT pas" !

C'est à dire : n'effectue aucune surenchère.

On ne dit pas : "Dans la sémantique qui nous a été afublée" !

La députée LREM Céline Calvez

Comme a pu le déclarer, le 20 juin 2021, la députée française Renaissance (ex-LREM) Céline Calvez, dans l'émission "C dans l'air", sur la chaîne de télévision publique française France 5.

Mais, bien plus simplement, et je pense plus clairement : "PARMI LES NOMS DONT ON nous afublé"   !

On ne dit pas : "Il a fait un coup de maître" !

Le journaliste et conseiller en communication français Jean-Luc Mano

Ainsi qu'a pu le déclarer, le 20 juin 2022, le journaliste et conseiller en communication français Jean-Luc Mano, dans l'émission "Le club Le Chatelier", sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.

Mais : "Il a RÉALISÉ un coup de maître" !

Pourquoi j'ai totalement cessé d'écouter fin 2019 la radio publique France Inter, après en avoir été un inconditionnel auditeur pendant plus de 45 ans.

Logotype de la radio publique française France Inter
De 1963 à 2003, les 6 logotypes successifs de la station de radio publique française France Inter
De 1963 à 2003, les 6 logotypes successifs de la station de radio publique française France Inter

Je n'en pouvais plus de bouillir à longueur de journée :

  • le niveau des animateurs est en chute libre : où sont donc les Jacques Chancel, Claude Villers, Pierre Bouteiller, José Artur, Daniel Mermet, Dominique Blanc-Francard, Bernard Lenoir et Jean-Louis Foulquier d'aujourd'hui ? La génération actuelle ne leur arrive pas à la cheville.
  • leur niveau de langue est de plus en plus médiocre, leur prononciation calamiteuse (ils avalent une syllabe sur quatre), abusent des anglicismes, des expressions à la mode, des tics de langage, de la novlangue et des formules toutes faites,
  • écoutant la station 18 heures par jour, je ne supporte plus les rediffusions, chaque année plus nombreuses : la nuit, l'été, puis en journée... Lorsque l'on ne nous présente pas cela comme des "archives" !
  • la programmation musicale perd la tête et commence à diffuser du rap !
  • les invités, que l’on voit et entend déjà dans d’autres organes d’information, au sein desquelles ils nous assènent déjà leurs sempiternelles anecdotes ressassées depuis des lustres repassent désormais d'émissions en émissions au sein même de la chaîne !
  • l'omniprésence du lobby LGBTQIA+ : de 20 à 30 % des émissions sont animées par un ou une LGBTQIA+, reçoivent un ou des LGBT ou parlent de LGBT ; ce qui me paraît totalement disproportionné au regard de leur place réelle dans la société française.

En septembre 2019, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase : avec "Pas son genre", une émission  de propagande hebdomadaire, entièrement consacrée à ce sujet, la mysandre et prosélyte Giulia Foys déverse sa bile à travers d'invraisemblables cours de rééducation sexuelle !

La journaliste française Giulia Fois

Quelques brefs exemples du ramassis d'âneries et d'insanités que l'on peut y entendre :

    • le 1er avril 2021, Giulia promeut joyeusement une lingerie destinée aux "non-binaires" mais aussi aux hommes transgenres (femmes au départ). Elle vante un "joli boxer menstruel unisexe" (sic) de la société Moodz. Avant de conclure : "Tout ce qui interroge le genre nous interroge nous, parce que tout ce qui secoue les normes nous donne de l’air à nous aussi, et parce que le centre a toujours eu besoin de la marge pour se décaler".
    • le 1er juin 2021 : Giulia est une locutrice acharnée de la novlangue progressiste. Transgenre, dit-elle, c’est déjà mieux que transsexuel,  "mais on peut mieux faire encore". Démonstration : si vous utilisez le préfixe trans c’est que - vil obscurantiste que vous êtes - vous considérez que "la norme, la normalité, c’est une femme née femme et un homme né homme". Et la construction sociale et culturelle des dominants qui ont institué une norme sexuelle qui n’existe pas en réalité, qu’est-ce que vous en faites ? Heureusement, la branche canadienne de l’UNESCO vient d’écrire un bréviaire à l’usage des journalistes dans lequel on trouve un mot permettant de désigner un transgenre sans référence, même lointaine, au système sexuel normatif : "personne aux deux esprits". Giulia en pleurerait presque : "C’est joli, c’est poétique, et surtout ça rappelle qu’on a tous du masculin ET du féminin en nous".

Tout cela dans une émission de service public, payée par la redevance audiovisuelle...

Bref, fin 2019 je renonce définitivement à écouter cette station que j'avais tant aimée.

Source : www.causeur.fr

On ne dit pas : "Il a r'trouvé un peu d'créativité qu'on lui connaît bien" !

Le journaliste sportif français Pierre Maturana

Comme a pu le déclarer, le 24 novembre 2021, le journaliste sportif français Pierre Maturana, dans l’émission de Grégory Ascher "L'Équipe de Greg", sur la chaîne de télévision française L’Équipe.

Mais : "TU COMPTES là-dessus" !

 

Mais : "Il a rEtrouvé un peu dE CETTE créativité qu'on lui connaît bien" !

On ne dit pas : "Le vernis c'est surtout pour éviter qu'les UV vont dégrader les pigments" !

Logotype de l'émission "Affaire conclue. La vie des objets", diffusée sur la chaîne de télévision publique française France 2

Comme a lamentablement pu le déclarer, le 14 juin 2022, la restauratrice de tableaux Estelle, dans l'émission "Affaire conclue La vie des objets", sur la chaîne de télévision publique française France 2.

Mais : "Le vernis c'est surtout pour éviter quE les UV NE dégradeNT les pigments" !

On ne dit pas : "T'espères là-dessus" !

Le journaliste sportif français Sébastien Tarrago

Comme a pu le déclarer, le 24 novembre 2021, le journaliste sportif français Sébastien Tarrago, dans l’émission vespérale d’Olivier Ménard "L’Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L’Équipe.

Mais : "TU COMPTES là-dessus" !