"Un coussin berlinois", "Un ralentisseur berlinois" ou "Un ralentisseur cassis".

Un coussin berlinois

Il s'agit d'un dispositif de forme généralement carré, destiné à ralentir la vitesse des automobiles sans gêner les autres usagers de la chaussée.

Pour cela, il est suffisamment étroit, pour permettre aux cyclistes de passer à droite et aux autobus de passer par-dessus sans le toucher avec leurs roues, mais suffisamment large pour que les voitures doivent au moins faire passer une roue dessus.

Les coussins berlinois sont notamment utilisés sur les parcs de stationnement ou dans les zones prévoyant une vitesse de circulation relativement basse (les zone 30, par exemple, où la vitesse est limitée à 30 kilomètres par heure.

On les appelle "coussins" car c'est effectivement ce à quoi ils peuvent faire penser lorsqu'on les voit, et " berlinois" car ils ont été expérimentés pour la première fois à Berlin (Berlin) (Allemagne), une ville ayant classé près de 70% de ses voies en zone 30.

Source : wikipedia.org

 

"Habiter à Fourqueux n'est pas un gage de libido surdéveloppée".

Rien n'indique en effet que cette ancienne localité des Yvelines (78) ayant fusionné avec celle de Saint-Germain-en-Laye (78) au 1er janvier 2019, soit un repaire d'échangistes et de libertins.

Mais il est vrai que le fait qu'en soit originaire l'une de nos amies étudiantes parfaitement nymphomane, nous avait bien fait rire, mes amis et moi, au début des années 1980...

Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre le mot « Fourqueux » et la locution verbale argotique « Fourre queue ».

"Outre-Quiévrain".

J'aime beaucoup cette locution adverbiale, qui signifie :

  • en Belgique, pour les Français,
  • et en France, pour nos amis Belges.

Et ce, en référence à la commune belge de Quiévrain, située en Wallonnie, dans la province du Hainaut, sur la frontière franco-belge.

Localisation de la ville frontalière belge de Quiévrain, face à la ville française de Quiévrechain (59)
Localisation de la ville frontalière belge de Quiévrain, face à la ville française de Quiévrechain (59)

"La Tour de Babel" et "Une tour de Babel".

  • La Tour de Babel est d'abord une tour mythique dont l'histoire nous est contée dans la Bible (XI, 1-9), dans le chapitre 11 du livre de la Genèse.

Selon le récit biblique, la Tour de Babel serait un immense monument que les hommes tentèrent de construire à Babel (nom hébreu de Babylone) dans le but de l'escalader et d'atteindre le ciel.

  • Mais, par extension, une tour de Babel est :
    • un lieu où règne le bruit et la confusion et où les gens ne se comprennent pas.
    • Ou un lieu multiculturel où de nombreuses langues sont parlées.

Source : www.linternaute.fr

La Roche-sur-Yon : la ville qui a changé 8 fois de nom en 66 ans !

La-Roche-sur-Yon (85)

La Roche-sur-Yon (85) est une localité du Centre-Ouest de la France, préfecture du département de la Vendée, dans la région des Pays de la Loire.

Localisation géographique de la ville de La-Roche-sur-Yon (85)

Elle présente la particularité unique en Europe - et pour le moins stupéfiante - d'avoir changé... 8 fois de nom en 66 ans, au gré des différents changements de régime politique :

  • elle fut ainsi rebaptisée "Napoléon", sous le Premier Empire (de 1804 à 1814), lors des Cent Jours (d'avril 1815 à juin 1815) et pendant la Deuxième République (de 1848 à 1852),
  • et "Napoléon-Vendée", durant le Second Empire (de 1852 à 1870).
  • entre-temps, la ville avait pris le nom de "Bourbon-Vendée" pendant la Restauration (d’avril 1814 à avril 1815) et pendant la Seconde Restauration et la Monarchie de Juillet (de juin 1815 à 1848), en référence à la famille des comtes de Bourbon-Montpensier.
  • et avait même récupéré son nom d'origine durant une quinzaine de jours, en 1814,
  • avant de redevenir enfin "La Roche-sur-Yon" en 1870 !

Source : wikipedia.org

"L'enceinte de Thiers".

On désigne ainsi l'enceinte créée entre 1841 et 1844 autour de Paris (75), à la suite de l'approbation donnée, en 1840, par le président du Conseil, à la loi déposée par Adolphe Thiers, alors député de l'opposition.

Englobant la totalité de la capitale, soit près de 80 km2, ladite enceinte se situe alors entre les actuels boulevards des Maréchaux - appelés à l'origine "rue Militaire"- et le futur emplacement du boulevard périphérique.

Elle est détruite entre 1919 et 1929.

"Le boulevard Brune".

Il s'agit de l'un des boulevard des maréchaux, qui entourent la ville de Paris (75).

Son nom rend hommage au maréchal d'Empire Guillaume Marie-Anne Brune.

Et il a été indirectement repris par le groupe pop rock français BB Brunes, qui y répétait à l'époque de sa création.