Cette locution féminine du registre soutenu est souvent utilisée par les journalistes pour qualifier un beau corps.
On dit par exemple : "Dotée d'une plastique avantageuse, cette actrice a rapidement été repérée par les réalisateurs".

Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
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Cette locution féminine du registre soutenu est souvent utilisée par les journalistes pour qualifier un beau corps.
On dit par exemple : "Dotée d'une plastique avantageuse, cette actrice a rapidement été repérée par les réalisateurs".
Je n'en peux plus d'entendre à longueur de journée, dans la bouche de nos dirigeants politiques et économiques comme dans celle des communiquants et autres journalistes, cet adverbe utilisé en lieu et place des traditionnels "Peut-être" ou "Vraisemblablement" :
Ce mot à la mode n'est certes pas un anglicisme, car il est bien français. Et cela depuis si longtemps, d'ailleurs, que l’Académie française le jugeait déjà "vieux" en… 1762.
Massivement apparu au cours de l'année 2020, il relève cependant, à mon sens, de la novlangue.
La sonorité technocratique de cet adverbe masque en effet (... sans mauvais jeu de mots !) l’incertitude qu’il exprime.
Les dirigeants politiques, comme les dirigeants économiques, pourraient bien évidemment dire "peut-être" ou "vraisemblablement" et s’exprimer au conditionnel.
Ils pourraient même, parfois, dire qu’il y a des choses qu’ils ignorent. Mais ne pas tout savoir leur semble être une faute impardonnable, à laquelle ils ne parviennent manifestement pas à se résigner.
Seul l'usage du terme "possiblement" permet donc ce tour de force : reconnaître sa totale ignorance en feignant d'être totalement sûr de soi !
Source : timetosignoff.fr
Ces deux locutions nominales du langage courant désigne : la télévision.
On dit par exemple : "L'étrange lucarne s'est répandu dans les foyers au cours des années 1960".
On dit par exemple : "Le nombre de personnes regardant des films sur le petit écran tend à diminuer".
Contrairement à ce que l'on pense parfois, ces deux locutions nominales du registre soutenu sont bien de parfaits synonymes désignant la peine de mort, la formule "Peine capitale" ne désignant pas uniquement la "Décapitation".
Et cela bien que l'adjectif "Capitale" vienne bien du latin "Capitalis" ("relatif à la tête", mais également "qui entraîne la mort, mortel, fatal"), dérivé de "Caput" ("tête").
"La peine capitale" est en effet une peine prévue par la loi consistant à exécuter une personne ayant été reconnue coupable d'une faute qualifiée de "Crime capital".
La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès. En l'absence d'un procès, ou dans les cas où celui-ci n'est pas réalisé par une institution reconnue, on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. La peine de mort est diversement considérée selon les époques et les régions géographiques.
Elle est prévue dans les textes de loi de 83 pays, mais seuls 23 des 198 pays du globe ont procédé à des exécutions en 2014. En 2020, 115 pays sont abolitionnistes, dont 106 pour tous les crimes. La peine de mort est une sanction reconnue bien que réprouvée par les institutions internationales comme l'ONU (Organisation des Nations Unies) ou la Cour européenne des droits de l'Homme. Les États abolitionnistes sont aujourd'hui majoritaires, mais ils ne représentent qu'une minorité de la population mondiale. Parmi les démocraties industrialisées, seules deux la pratiquent : les États-Unis (28 États sur 50) et le Japon.
Au plan international, le 18 décembre 2007, l’Assemblée générale de l'ONU a adopté la résolution 62/1495 appelant à un moratoire sur les exécutions dans le monde. Cette résolution n'a pas de valeur contraignante mais peut être vue comme le signe que la majorité des États souhaite remettre en cause la peine de mort. Cependant huit des dix pays les plus peuplés ont voté contre la résolution.
Source : wikipedia.org
Ces trois formules désignent le chrystantème, une plante annuelle ou vivace, dont certaines espèces sont très cultivées comme plantes d'ornement et dont le nom signifie étymologiquement "Fleur d'or".
Les plus connus sont les chrysanthèmes d'automne, ou "Chrysanthèmes des fleuristes" ("Pomponnettes"), consacrés au fleurissement des tombes, pour le jour des défunts.
Dès le milieu du XIXe siècle apparaissent sur les tombes des défunts les chrysanthèmes qui remplacent la flamme des bougies.
Mais cette tradition s'est surtout répandue, en France comme en Belgique, après la Première Guerre mondiale, lorsque Georges Clemenceau, lors du premier anniversaire de l'armistice, le 11 novembre 1919, a appelé les Français à fleurir les tombes des soldats tombés au front.
On a alors choisi les chrysanthèmes d'automne car ils fleurissent tard dans l’année et peuvent résister à un gel modéré.
À mesure du temps, l’arrivée des chrysanthèmes dans les cimetières a glissé du 11 novembre à la fête des morts du 2 novembre.
En 2010, pas moins de 21,3 millions de pots avaient été achetés en France à la charnière des mois d'octobre et novembre.
Source : wikipedia.org
Il s'agit du surnom attribué à l'Institut de France, une institution française créée en 1795.
Il rassemble les élites scientifiques, littéraires et artistiques de la nation afin qu'elles travaillent ensemble à perfectionner les sciences et les arts, à développer une réflexion indépendante et à conseiller les pouvoirs publics.
Siégeant quai de Conti, dans le 6e arrondissement de Paris (75), l'Institut de France regroupe cinq académies, dont les réunions solennelles ont lieu en habit vert sous la coupole de l'ancien collège des Quatre-Nations qui l'abrite :
Source : wikipedia.org
Ainsi que le font de nombreuses stations de radio françaises depuis des années.
Ou comme l'inscrivent désormais presque systématiquement sur leurs écrans, depuis ces dernières années, la plupart des chaînes de télévision françaises d'information en continu.
Et pas :
Source : context.reverso.net
Cette formule journalistique qualifie :
On dit par exemple : "J'ai croisé une fois Patrice Luchini au parc des Buttes-Chaumont, à Paris (75), en grande discussion avec une amie : il est vraiment le même à la ville comme à la scène !".
On dit par exemple : "Jean Dujardin et Alexandra Lamy ont été, plusieurs années durant, en couple, à la ville comme à la scène".
Source : wiktionary
Ces différentes locutions adverbiales du langage courant signifient toutes trois : à Marseille (13).
Point d'aboutissement de la Cannebière, le Vieux-Port était le centre économique de Marseille jusqu'au milieu du XIXe siècle, ouvert sur le commerce de la mer Méditerranée puis des colonies françaises.
Les activités portuaires de commerce furent ensuite déplacées vers d'autres sites plus au nord : les bassins de l'actuel GPMM (Grand Port Maritime de Marseille), précédemment connu comme PAM (Port Autonome de Marseille).
Le "bassin du Vieux-Port" est aujourd'hui un port de plaisance, partagé entre les quartiers Hôtel-de-Ville (2e) au Nord, Opéra (1er) au Sud-Est, Saint-Victor (7e) au Sud et Le Pharo (7e) au Sud-Ouest.
Ce symbole de la ville de Marseille est également :
Il est de nos jours ancré dans la culture populaire comme servant de cadre principal à la Trilogie marseillaise de Marcel Pagnol, avec les figures de César et Marius au "bar de la Marine", et celle de Fanny, la belle poissonnière amoureuse de Marius.
Située dans les 6e et 8e arrondissements, c'est une large avenue en équerre, d'environ 60 m par 3 400 m, qui prolonge la rue de Rome à partir de la place Castellane jusqu'au rond-point du Prado puis change de direction pour conduire à la statue de David à la plage du Prado.
Source : wikipedia.org
"Une coulisse" est un substantif féminin polysémique du langage courant désignant de nombreux objets ou pièces techniques sur lesquels je ne m'étendrai pas ici aujourd'hui.
L'un d'entre eux est un châssis de toile mobiles portant les décors d'un théâtre, situé sur les côtés de la scène.
"Dans les coulisses" et "Dans la coulisse" sont par conséquent des locutions adverbiales et "Se tenir dans la coulisse" une locution verbale du langage courant évoquant, par métonymie :
On dit par exemple : "Certains acteurs - même parmi les plus grands - ont tellement le trac, qu'ils sont pris de nausée sitôt qu'ils mettent les pieds dans les coulisses d'un théâtre".
On dit par exemple : "Cet enfant de la balle a été élevé dans les coulisses de la Comédie française.
On dit par exemple : "Nous allons vous faire pénétrer dans la coulisse de l'équipe de France de football".
Ou : "Les coulisses du palais Bourbon et du palais du Luxembourg - qui abritent respectivement l'Assemblée nationale et le Sénat de la République française - recèlent bien des surprises".
Source : www.cnrtl.fr
Ces deux locutions nominales masculines sont souvent utilisées par les journalistes, politologues et historiens, afin de désigner :
Sources : wikipedia.org
Cette formule du langage courant qui appartient au jargon journalistique signifie que le caractère tendu d'une situation est de plus en plus clair, évident, sensible.
Elle est fréquemment utilisée par les journalistes commentant en direct un événement ; en particulier lors d'une fin de rencontre sportive ou de manifestation.
Pour les chaînes d'information en continu qui se délectent des violences urbaines dont elles font leurs choux gras des heures durant, repassant à l'envi les mêmes images savamment cadrées, la phrase "La tension est de plus en plus palpable" est naturellement synonyme de bonnes images en perspective.
Ces différents mots sont fréquemment utilisés dans le jargon journalistique.
Tous sont hérités du mot latin "Lusitania" désignant une ancienne province romaine impériale fondée sous le principat d'Auguste. Elle couvrait la plus grande partie de l'actuel Portugal au Sud du Douro, ainsi qu'une partie du Leon et de l'Estrémadure espagnols.
Source : wikipedia.org
Ces différentes locutions verbales du langage courant, qui relèvent du vocabulaire et du jargon journalistique, signifient respectivement, par ellipse lexicale :
On dit par exemple : "Le mariage du prince est à la une".
On dit par exemple : "La une est entièrement consacrée à cette victoire inattendue".
On dit par exemple : "La démission du président fait la une".
On dit par exemple : "La nomination de ce premier pape noir est à la une".
On dit par exemple : "La nouvelle de la mort de ce héros est en une".
Il s'agit là, me semble-t-il, d'un cas assez peu fréquent d'omission d'un ou plusieurs mots au début ET à la fin d'une locution.
La formule "À la une" a été popularisée par le titre d'une célèbre émission de télévision de la RTF puis de l'ORTF, "5 colonnes à la une".
Cette formule qualifie une information suffisamment exceptionnelle pour être annoncée sur toute la largeur de la première page d'un journal quotidien.
Emblématique de la présidence du général de Gaulle, car ayant été diffusée du 9 janvier 1959 au 3 mai 1968, "5 colonnes à la une" l'accompagne de sa prise de fonction jusqu'à pratiquement son départ.
Cette émission a lancé le genre du magazine de reportages à la télévision française et est, aujourd’hui encore, considérée comme une référence du genre.
Les plus de 55 ans se souviennent toujours du célèbre générique de ce rendez-vous vespéral mensuel, qui égrenait le nom de ses producteurs - "les trois Pierre"- et de son réalisateur : Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère.
Et de son indicatif musical, "La danse des flamme", extrait de la musique du ballet "Le rendez-vous manqué" de Michel Magne.
Ces différentes formules du langage courant relèvent du vocabulaire et jargon journalistique sportif et signifient "Être international", "Appartenir à la sélection nationale française"