La Tour de Babel est d'abord une tour mythique dont l'histoire nous est contée dans la Bible (XI, 1-9), dans le chapitre 11 du livre de la Genèse.
Selon le récit biblique, la Tour de Babel serait un immense monument que les hommes tentèrent de construire à Babel (nom hébreu de Babylone) dans le but de l'escalader et d'atteindre le ciel.
Mais, par extension, une tour de Babel est :
un lieu où règne le bruit et la confusion et où les gens ne se comprennent pas.
Ou un lieu multiculturel où de nombreuses langues sont parlées.
La Roche-sur-Yon (85) est une localité du Centre-Ouest de la France, préfecture du département de la Vendée, dans la région des Pays de la Loire.
Elle présente la particularité unique en Europe - et pour le moins stupéfiante - d'avoir changé... 8 fois de nom en 66 ans, au gré des différents changements de régime politique :
elle fut ainsi rebaptisée "Napoléon", sous le Premier Empire (de 1804 à 1814), lors des Cent Jours (d'avril 1815 à juin 1815) et pendant la Deuxième République (de 1848 à 1852),
et "Napoléon-Vendée", durant le Second Empire (de 1852 à 1870).
entre-temps, la ville avait pris le nom de "Bourbon-Vendée" pendant la Restauration (d’avril 1814 à avril 1815) et pendant la Seconde Restauration et la Monarchie de Juillet (de juin 1815 à 1848), en référence à la famille des comtes de Bourbon-Montpensier.
et avait même récupéré son nom d'origine durant une quinzaine de jours, en 1814,
avant de redevenir enfin "La Roche-sur-Yon" en 1870 !
Cette expression signifie, au sens figuré : subir des pertes en faisant quelque chose, prendre trop de risques, dépasser certaines limites pour ensuite le regretter.
Et, indirectement : vouloir à tout prix connaître quelque chose de secret peut s'avérer dangereux.
Contrairement à ce que l'on croit parfois, cette expression n'est absolument pas un idiotisme animalier et ne fait nullement référence à un insecte qui se brûlerait parce qu'il se serait trop approché d'une ampoule.
Elle est directement héritée de la mythologie grecque et du personnage d'Icare, le fils de l'architecte Dédale.
Icare ne s'est pourtant pas vraiment brûlé les ailes... mais les a plutôt perdu :
Les deux hommes avaient en effet été cloîtrés par Minos dans le labyrinthe que Dédale avait conçu pour enfermer le Minotaure.
Les sorties étant soigneusement gardées, Dédale trouve une solution pour s'échapper par la voie des airs.
Cette solution consiste à confectionner, pour son fils et lui, des ailes semblables à celles des oiseaux, confectionnées avec des plumes et collées sur leurs omoplates avec de la cire.
Il met en garde son fils, Icare, lui interdisant de s'approcher trop près de la mer, à cause de l'humidité, et du soleil, à cause de la chaleur.
Mais le jeune Icare, grisé par le vol, oublie rapidement l'avertissement de son père et prend trop d'altitude. La chaleur du soleil fait alors fondre la cire et les plumes se détachent, précipitant Icare en chute libre, sous les yeux horrifiés de Dédale, qui ne peut rien faire pour le sauver.
De nos jours encore, la petite île grecque où serait tombé Icare est appelée, en son hommage, "Icare" ("Ikaria" en grec) et la mer qui l'entoure "la "mer Icarienne" (partie de la mer Méditerranée située dans la mer Égée), au Sud-Est de la Grèce.
Le film français "I comme Icare", réalisé en 1979 par le réalisateur Henri Verneuil, avec Yves Montand dans le rôle du procureur Volney, traduit parfaitement cette allégorie d'Icare : à vouloir trop s'approcher de la vérité, on se brûle les ailes.
Et cette histoire sert aujourd'hui de référence à tous ceux qui veulent en tirer une morale, en expliquant à leurs enfants que c'est pour leur seul bien qu'ils leur donnent des conseils.
Et que l'enfant qui ne les suit pas scrupuleusement court le risque de se retrouver très sévèrement puni.
Sources : wikipedia.org, licmace.wordpress.com et www.languefrancaise.net
J'imagine qu'il peut occasionnellement vous arriver de souhaiter ardemment dire ou écrire le mot "merde" à quelqu'un ou en présence de quelqu'un, sans pour autant pouvoir réellement vous le permettre ; qu'il s'agisse d'une personne vis-à-vis de laquelle vous ne sauriez vous laisser aller à de telles grossièretés, ou d'un enfant auquel vous ne voulez pas donner le mauvais exemple.
Sachez, dans ce cas, que différentes possibilités s'offrent à vous :
À l'oral :
tout d'abord, si vous parvenez à vous contrôler très vite, avant même d'avoir fini de prononcer la première syllabe "Mer", vous pouvez classiquement vous exclamer : "M... iel !".
et si vous avez déjà prononcé cette première syllabe "Mer", il vous reste la possibilité de vous écrier : "Mer...credi !" ou "Mer...le !".
ou encore : "Mer... d'Aral !" ou "Mer... d'Azov !".
Cela aura le double mérite de ne pas écorcher les oreilles de vos interlocuteurs les plus jeunes et de prouver aux adultes que vous disposez d'un minimum de connaissances géographiques concernant les étendues maritimes intracontinentales propres à l'ancienne URSS !
La mer d'Aral est en effet un lac d'eau salée d'Asie centrale situé au milieu d'espaces désertiques et partagé entre le Kazakhstan au Nord et l'Ouzbékistan au Sud, aujourd'hui quasiment disparu (68 900 km2 en 1960 et 8 300 km2 en 2015).
Mais encore intact à la fin des années 1960, lorsque, enfant, je m'étais mis en tête de trouver des noms de mers commençant par "a" dans les 6 volumes du "Larousse du XXe siècle",afin de trouver des solutions astucieuses à mon problème !
Et la mer d'Azov est une mer intracontinentale, bordée à l'Ouest et au Nord par l'Ukraine et à l'Est par la Russie (37 600 km2).
À l'écrit :
, la pratique la plus courante consiste à écrire les seules première et dernière lettre du mot, séparées par autant de points ou d'astérisques, que vous omettez d'écrire de lettres, soit trois ("erd") pour le mot qui nous intéresse ici :
"M...e !"
ou "M***e !".
On écrit par exemple : "Tu es un sale c.....d et je te dis m...e !".
Enfin, s'il vous faut évoquer le mot "merde", mais que vous ne souhaitez pas le faire, vous disposez encore de trois options :
"Le mot de cinq lettres".
On dit par exemple : "Monsieur, je vous dis le mot de cinq lettres !".
"Les cinq lettres".
On dit par exemple : "Le ministre est sorti et lui a dit les cinq lettres !".
On désigne ainsi l'enceinte créée entre 1841 et 1844 autour de Paris (75), à la suite de l'approbation donnée, en 1840, par le président du Conseil, à la loi déposée par Adolphe Thiers, alors député de l'opposition.
Englobant la totalité de la capitale, soit près de 80 km2, ladite enceinte se situe alors entre les actuels boulevards des Maréchaux - appelés à l'origine "rue Militaire"- et le futur emplacement du boulevard périphérique.
Toutes ces locutions nominales désignent d'importants axes circulaires de circulation routière ceinturant la ville de Paris (75).
"Les boulevards des maréchaux" (ou, par ellipse : "Les maréchaux") constituent un ruban quasiment continu ceinturant Paris (75), à la limite de la ville, sur une longueur de 33,7 kilomètres.
Il s'agit de boulevards classiques, à double sens, qui occupent l'emplacement de l’ancienne "rue militaire", bâtie en 1840, le long de l'enceinte deThiers.
Et ils tiennent leur nom de ce que, à leur création, en 1864, la totalité de ces boulevards portaient des noms de maréchaux du Premier Empire : "Ney", "Davout", "Murat", "Kellermann", "Victor", etc
"Les boulevards extérieurs" sont tout simplement un autre nom de cet axe.
"Le boulevard périphérique de Paris" - également appelé par ellipse "Le boulevard périphérique" ou par apocope "Le périph", voire "Le BP (Boulevard Périphérique)" - est une voie circulaire, d'une longueur de 35,04 km, qui fait le tour de la ville de Paris (75).
Construit de 1956 à 1973, en grande partie sur l'emplacement des anciennes fortifications de la commune de Paris et de la Zone, il est inauguré par le Premier ministre Pierre Messmer le 25 avril 1973.
Il comporte le plus souvent quatre voies de circulation dans chaque sens (exceptionnellement deux ou trois et parfois cinq).
Malgré une forte baisse depuis la fin des années 1990, certains tronçons de cet axe dépassaient encore les 250 000 véhicules par jour en 2010.
Le boulevard périphérique est constitué du "Périphérique intérieur" et du "Périphérique extérieur" :
"Le périphérique intérieur" est le nom donné à la voie de circulation située sur le côté intérieur du boulevard périphérique, laquelle tourne dans le sens des aiguilles d'une montre.
et "Le périphérique extérieur" est le nom donné à la voie de circulation située sur le côté extérieur du boulevard périphérique, laquelle tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre.
La différence ne tient nullement à leur longueur ou à leur débit, mais n'en demeure pas moins fondamentale.
en effet, alors qu'une rivière se jette dans un autre cours d'eau (elle est alors un "affluent" du second, dont elle vient grossir le débit) ou dans un lac,
un fleuve se jette, lui, directement dans une mer ou un océan.
Il peut parfaitement être plus court et moins puissant qu'une rivière. Et peut même n'être qu'un ru ! L'un de mes bons amis toulonnais se plait ainsi à évoquer le "fleuve" qui traverse son jardin !
Cette localité de Nouvelle-Zélande, dont elle est la capitale depuis 1865, est également la deuxième ville la plus peuplée du pays.
Située à l'extrémité sud de l'île du Nord, dans la région de Wellington, au centre du pays, la ville de Wellington est la capitale de pays la plus australe.