On ne dit pas : "Jerrican" ni "Jerrycan" ! Mais...

Jerrycan vert
Réponse
Mais : « Je me bidonne » !
Explication du calembour
Il résulte de la prononciation « à la française » du mot anglais « Jerrican » ou « Jerrycan » (« Je ricane ») et de sa signification en français (« Un bidon »), à laquelle fait écho la réponse, « Je me bidonne ».

Pourquoi pensez-vous que l'auteur de ces lignes se délecte autant de l'"Affaire Lambourg" ?

Réponse
Parce que je la trouve passionnante. Je le concède : j’adore le cas Lambourg !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre la locution « Le cas Lambourg » – qui n’a naturellement jamais existé ! – et le mot « Calembour ».

Pourquoi la femme d'agriculteur est-elle, en moyenne, bien davantage satisfaite sexuellement que la femme de citadin ?

Un agriculteur en train de labourer un champ avec son tracteur
Réponse
Parce que son mari laboure tous les jours !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre les formes conjuguées « laboure » du verbe « Labourer » et « la bourre » du verbe « Bourrer » (pénétrer sexuellement, dans le registre argotique).

Sur un sujet contigu, je vous recommande la lecture de mon article consacré à la différence existant entre les mots "Agriculteur", "Paysan" et "Exploitant agricole".

Comment les prêtres surnomment-ils le sexe de la femme ?

Réponse
L’enfer ! Parce que « Satan l’habite » !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie des locutions « Satan l’habite » et « Ça tend la bite » (registre argotique pour « Cela provoque l’érection de la verge »).

Pourquoi les stambouliotes ont-ils la réputation d'être de gros travailleurs ?.

Réponse
Parce qu’ils bossent fort !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie avec le mot « Bosphore », qui est le nom du détroit séparant les deux parties anatolienne et rouméliote de la province d’Istanbul, dont les stambouliotes sont les habitants. Long de 32 kilomètres, pour une largeur de 700 à 3 000 mètres, il relie la mer Noire à la mer de Marmara et marque, avec les Dardanelles, la limite méridionale entre les continents asiatique et européen.

Carte D'Istamboul et du Bosphore

 

 

"C'est l'histoire d'un zoophile qui rentre dans un bar...".

Explication du calembour
Il résulte de la polysémie du mot « Bar », qui désigne ici le poisson également appelé « Loup » ; le verbe « Rentrer » étant pour sa part à interpréter ici comme synonyme de « Pénétrer sexuellement ».

Sur le même thème, je vous recommande également : "C'est l'histoire d'un zoophile qui prend son élan...".

"Un antioxydant" n'est un terroriste radicalement opposé aux pays de l'OCDE !

Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre le mot « Antioxydant » et la locution « Anti-Occident« .
Complément d'information
L’OCDE, créée le 30 septembre 1961 et sise à paris (75) est l’Organisation de Coopération et de Développement Economiques, une organisation internationale d’études économiques, dont les pays membres – des pays développés pour la plupart – ont en commun un système de gouvernement démocratique et une économie de marché.

"Les nuits d'un damoiseau" de Robeurt Féneck ou 17 délicieuses expressions imagées évoquant la fellation et la masturbation

Cette drolatique chanson constitue une parodie méconnue de la célèbre chanson grivoise de 1963 "Les nuits d'une demoiselle", écrite par Guy Breton, composée par Raymond Legrand et interprétée par Colette Renard.

Comme dans celle-ci, l'interprète, "Robeurt Féneck", y énumère pas moins de 17 délicieuses expressions imagées et "poétiquement incorrectes" pour reprendre ses mots, évoquant la fellation et la masturbation, envisagée cette fois du côté masculin.

Les nuits d'un damoiseau

Que c'est bon d'être damoiseau, car le soir dans mon petit lit,
Quand Mars à Vénus fait son show, quand doucement tombe la nuit,

Je m'fais sucer la mignardise, je m'fais essorer le pinceau,
Je m'fais r'dresser la tour de Pise, je m'fais souffler dans le manchot,
Je m'fais mousser le créateur, je m'fais secouer le goupillon,
C'est là qu'elle cria Vive l'ampleur ! en sortant la mine du crayon,
Je me fais plumer le caribou, chatouiller l'étendard sacré,
Si en zinc étaient mes dessous, c'est l'angélus qu'on entendrait,
Je me fais jouer du trombone, j'aimerais glisser le dieu Râ,
J'aurais dû éviter la bonne et invoquer la déesse Kâ,
Je m'fais lustrer le bras de nain, le grand ridé, le Mont Pelé,
Il fallait bien dans ces quatrains, un p'tit hommage au sieur Perret,
Je me fais gonfler le colosse, mamourer les bijoux en prime,
Je n'ai jamais vu Mykonos, y a pas d'rapport, c'est pour la rime,
Je me fais lustrer le grand chauve, taquiner le complet pour dames,
Avant qu'il ne devienne tout mauve, demande Grâce, ne rende l'âme,

Et vous demanderez peut-être ce que je fais le jour durant,
Oh, cela tient en peu de lettres, le jour, je dors, tout simplement.

Pour les amateurs, il existe une autre version de cette parodie, sensiblement moins poétique et d'un auteur dont j'ignore le nom, énumérant 27 expressions du registre argotique évoquant la fellation et la masturbation masculine.