Réponse
L’enfer ! Parce que « Satan l’habite » !
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie des locutions « Satan l’habite » et « Ça tend la bite » (registre argotique pour « Cela provoque l’érection de la verge »).
Richesse et défense de la langue française
Il s'agit simplement d'une personne aimant faire des cachotteries, des mystères à propos de tout.
Sur le même thème, je vous recommande également : "C'est l'histoire d'un zoophile qui prend son élan...".
Cette drolatique chanson constitue une parodie méconnue de la célèbre chanson grivoise de 1963 "Les nuits d'une demoiselle", écrite par Guy Breton, composée par Raymond Legrand et interprétée par Colette Renard.
Comme dans celle-ci, l'interprète, "Robeurt Féneck", y énumère pas moins de 17 délicieuses expressions imagées et "poétiquement incorrectes" pour reprendre ses mots, évoquant la fellation et la masturbation, envisagée cette fois du côté masculin.
Que c'est bon d'être damoiseau, car le soir dans mon petit lit,
Quand Mars à Vénus fait son show, quand doucement tombe la nuit,
Je m'fais sucer la mignardise, je m'fais essorer le pinceau,
Je m'fais r'dresser la tour de Pise, je m'fais souffler dans le manchot,
Je m'fais mousser le créateur, je m'fais secouer le goupillon,
C'est là qu'elle cria Vive l'ampleur ! en sortant la mine du crayon,
Je me fais plumer le caribou, chatouiller l'étendard sacré,
Si en zinc étaient mes dessous, c'est l'angélus qu'on entendrait,
Je me fais jouer du trombone, j'aimerais glisser le dieu Râ,
J'aurais dû éviter la bonne et invoquer la déesse Kâ,
Je m'fais lustrer le bras de nain, le grand ridé, le Mont Pelé,
Il fallait bien dans ces quatrains, un p'tit hommage au sieur Perret,
Je me fais gonfler le colosse, mamourer les bijoux en prime,
Je n'ai jamais vu Mykonos, y a pas d'rapport, c'est pour la rime,
Je me fais lustrer le grand chauve, taquiner le complet pour dames,
Avant qu'il ne devienne tout mauve, demande Grâce, ne rende l'âme,
Et vous demanderez peut-être ce que je fais le jour durant,
Oh, cela tient en peu de lettres, le jour, je dors, tout simplement.
Pour les amateurs, il existe une autre version de cette parodie, sensiblement moins poétique et d'un auteur dont j'ignore le nom, énumérant 27 expressions du registre argotique évoquant la fellation et la masturbation masculine.
Mais : "Jean-Claude Gaudin déteste le Vieux-Port de Marseille".
Né le 8 octobre 1939, cet homme politique français, républicain, professeur d'histoire et de géographie de formation, a été député de 1978 à 1989, sénateur entre 1989 et 2017 et à plusieurs reprises vice-président du Sénat, maire de Marseille (13) depuis 1995, président du conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur de 1986 à 1998, président de la métropole d'Aix-Marseille-Provence entre 2015 et 2018 et ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ville et de l'Intégration, dans le second gouvernement Juppé, du 7 novembre 1995 au 2 juin 1997.
Mais une très ancienne pratique policière, dont certains mauvais esprits osent prétendre qu'elle perdurerait dans certains de nos commissariats !
Cette curieuse locution nominale du registre familier désigne en effet un tabassage, le fait de frapper un individu de manière répétée, avec violence, en lui donnant de nombreux coups.