Ce néologisme proposé en décembre 2017 par la Commission d'enrichissement de la langue française, qui travaille en liaison avec les services de l'Académie française, désigne ce que l'on appelle dans le langage courant "Un nègre littéraire".
Et que "Le Figaro" propose d'appeler, selon le contexte, "Un auteur caché", "Un écrivain caché" ou "Une plume cachée», voire "Un auteur de l'ombre", "Un écrivain de l'ombre" ou "Une plume de l'ombre».
Telle a en effet été mon impression première en suivant la première rencontre de l'équipe nationale sénégalaise, lors de la Coupe du monde 2018 !
Tous ceux qui ont l'habitude de suivre une compétition sportive internationale de type Jeux Olympiques ou Coupe du monde de football le savent bien : il n'est pas toujours facile de s'y retrouver parmi tous les patronymes des participants non francophones.
Les noms anglophones, italiens germanophones ou hispaniques nous sont en général relativement familiers. Mais il en va évidemment très différemment des patronymes serbo-croates, asiatiques ou africains.
Même chose naturellement en ce qui concerne les visages : en tant qu'européen blanc vivant en France métropolitaine et à Aix-en-Provence (13) depuis 1999, j'ai longtemps été - tant sur le plan social que professionnel - essentiellement habitué à côtoyer et voir, depuis mon enfance, des visages de blancs.
Et éprouve donc beaucoup plus de difficultés à distinguer un visage asiatique d'un autre ou un visage africain d'un autre. Et ce, même si ces visages sont évidemment - de fait - tout aussi différents les uns des autres que ne le sont des visages d'européens.
Alors imaginez ma difficulté à reconnaître un joueur africain d'un autre si - au surplus - je dois avoir affaire à des homonymes !
Or l'équipe des Lions de la Téranga comptait dans ses rangs pas moins detrois joueurs du nom de "N'Diaye" ! :
Khadim N'Diaye, au poste de gardien,
mais également Alfred N'diaye
et Papa Alioune (dit Badou) N'Diaye aux postes de milieu de terrain !
Une fois compris cela, je m'y suis finalement retrouvé lors du troisième match, disputé face à la Colombie.
Et n'ai donc pu que regretter que le Sénégal soit la première équipe éliminée... au simple nombre de cartons encaissés !
Après leurs trois matches, le Sénégal et le Japon étaient en effet à égalité de points (4) et de buts marqués (4) et encaissés (4). Conformément au règlement, ils ont donc été départagés au classement du franc-jeu, favorable au Japon, celui-ci n'ayant encaissé que 4 cartons jaunes contre 6.
On le surnomme communément, depuis 1966, "Congo-Kinshasa", du nom de sa capitale (l'ancienne Léopoldville), par opposition à la République du Congo (l'ancien "Congo français"), elle-même surnommée "Congo-Brazzaville", du nom de sa capitale politique.
Ce pays d'Afrique centrale est un véritable géant géopolitique, avec ses 82 millions d'habitants, le quatrième pays le plus peuplé d'Afrique, ainsi que le pays francophone le plus peuplé.
Et le 11e plus vaste pays du monde, avec ses 2,34 millions de kilomètres carrés.
Il s'agit du nom porté par le territoire de l’actuelle RDC (République Démocratique du Congo), communément appelée "Congo Kinshasa", entre le 15 novembre 1908, fin de l'EIC (État indépendant du Congo), possession personnelle pendant 23 ans du roi des Belges Léopold II, et l’accession à l’indépendance congolaise, effective le 30 juin 1960.
Ces différentes locutions nominales désignent souvent désormais la "Tête-de-nègre", cette pâtisserie constituée de deux meringues entre lesquelles repose de la crème au beurre, le tout étant enrobé de chocolat.
Nos amis québecois, pour leur part, l'appellent "Whippet", par antonomase d'un nom d'une marque.
Son nom traditionnel de "Tête-de-nègre" a en effet parfois été l'objet de polémique, du fait du rappel péjoratif, pour certains, de l'esclavage, de la colonisation et du racisme ; ces esprits chagrins trouvant cette appellation galvaudée ou insultante.
Ce qui est - comme la plupart des fois, en pareil cas - parfaitement ridicule, puisque cela revient à sortir les choses de leur contexte. Le mot "nègre" désignait en effet, à l'origine une couleur ; l'expression " Tête de nègre" étant apparue en France pour la première fois en 1829 et désignant la couleur d'un vêtement.
Couramment appelée "Fièvre Ebola", par ellipse de l'ancienne appellation de "Fièvre hémorragique à virus Ebola", il s'agit d'une maladie très grave, contagieuse, souvent mortelle, qualifiée par l'OMS d'"une des maladies les plus virulentes au monde".
Le virus Ebola - du nom d'une rivière de la RDC (République Démocratique du Congo) également appelée "la Legbala", et anciennement aussi "l'eau blanche" - peut en effet provoquer la mort de 25 à 90% des malades selon les épidémies ; celle de 2014 ayant eu un taux de mortalité d'environ 54%.
Il n'existe ni traitement pouvant guérir ce virus, ni vaccin homologué pouvant la prévenir.
Les soins dispensés n'ont donc pour but que de lutter contre les symptômes provoqués par la maladie et d’aider les malades à survivre à l’infection.
Il s'agit des différents noms de scène du chanteur, compositeur, producteur et arrangeur musical ivoirien Ange Didier Ouon, né le 26 janvier 1986 et mort accidentellement le 12 août 2019.
Fils de la chanteuse ivoirienne "Tina Glamour" ou "Tina Spencer", née Valentine Logbo, il était également surnommé "le roi du coupé-décalé".
Il s'agit du surnom du chanteur, compositeur, producteur et arrangeur musical ivoirien Ange Didier Ouon, né le 26 janvier 1986 et mort accidentellement le 12 août 2019 ; le coupé-décalé étant un genre musical populaire dans les années 2000 et 2010 en Côte d'Ivoire, et adopté par les jeunes adolescents de cette période.
Joseph-Désiré Mobutu, né le 14 octobre 1930 et mort le 7 septembre 1997 était un militaire et homme d'État congolais, autoproclamé maréchal, qui dirigea son pays durant plus de 31 ans, de novembre 1965 à mai 1997.
Ce dictateur s'était donné le nom de "Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu wa Za Bangau", souvent abrégé en "Mobutu Sese Seko".