Mais : "Une maison mobile" ou "Une maison-mobile" !
Il s'agit d'une habitation de forme rectangulaire pouvant servir de résidence permanente ou secondaire.
Richesse et défense de la langue française
Mais : "Une maison mobile" ou "Une maison-mobile" !
Il s'agit d'une habitation de forme rectangulaire pouvant servir de résidence permanente ou secondaire.
Cet acronyme signifie "Non Issu du Monde Agricole".
On parle par exemple d'un "porteur de projet NIMA".
Mais : "IL y a", "IL y en a", "IL N'y en a plus" et "IL N'y en a pLus" !
Mais : "Un salaud" !
Et ce, même si son équivalent féminin s'écrit bien "Salope".
Étymologiquement, en effet, "Salope" n’est pas le féminin de "Salaud", même si les deux termes désignent à l'origine quelqu'un de sale.
"Salope" signifiait d’abord "très sale". Une petite fille couverte de boue était ainsi qualifiée au XIXe siècle de "Petite salope". Mais ce sens s’est peu à peu modifié et le mot est aujourd’hui devenu un terme d’injure, employé pour désigner une personne très vile et digne du plus profond mépris.
Il est ainsi devenu un équivalent de "Salaud", qui a évolué de la même façon.
Si la forme "Salaude" existe, dans l’usage c’est bien "Salope" qui sert aujourd'hui de féminin à "Salaud".
Il en va de même avec le dérivé "Salauderie", tombé en désuétude au profit de "Saloperie".
À l’inverse, de "Salope" a été tiré un masculin, "Salop", que l’on rencontrait en particulier chez des auteurs du XIXe siècle, mais qui reste d’un usage limité et souvent archaïsant.
C’est donc bien, au masculin, "Salaud" et, au féminin, "Salope" qu’il faut employer, en précisant toutefois que le féminin "Salope" peut avoir une forte connotation sexuelle.
Source : www.academiefrancaise.fr
Mais : "Tout compris" !
Je ne comprends absolument pas comment il peut même ne serait-ce que venir à l'esprit d'un français d'utiliser cette formule en anglais qui n'apporte strictement rien au propos !
Comme l'a déclaré le journaliste français Périco Légasse, le 11 septembre 2019, dans l'émission télévisée française "Le grand débat", sur la chaîne télévisée française LCI.
Mais, simplement, : "Une star" et, mieux encore, "Une immense vedette" !
Mais : "M." !
Même si malheureusement une grande partie de la population française l'utilise, "Mr." est en effet l'abréviation anglaise du mot anglais "Mister". Et "Mr" n'existe pas !
Selon moi, l'une des causes de cette grossière erreur réside tout simplement dans l'existence d'au moins deux marques états-uniennes commercialisées en France depuis un peu plus de cinquante ans sous le nom de "Mr" quelque chose :
Et ces exemples sont, je crois, parfaitement révélateurs des incroyables dégâts provoqués par le terrible laxisme de nos dirigeants qui ont, depuis longtemps, renoncé à défendre notre langue et baissé les bras face à l'invasion de ces marques aux noms en anglais que je dénonce haut et fort dans ma collection d'articles intitulée "Pourquoi nous imposer des marques constituées de mots anglais ?".
Comme l'a déclaré le journaliste français Serge July, le 11 septembre 2019, dans l'émission télévisée française "Le grand débat", sur la chaîne télévisée française LCI.
Mais : "Deux jumelles qui ont été" ou - mais ce n'était pas le cas ici - "Deux jumelles qui sont allé" !
Comme s'abaisse à le faire la chaîne de télévision française L'Équipe, lors de la diffusion des matches de qualification à l'Euro 2020 de football, du 21 mars au 19 novembre 2019.
Mais : "Les éliminatoires européens" !
Et pas simplement : "c." et "Contre" !
Je ne supporte plus de lire et d'entendre ces mots anglais à longueur de journée !
Ainsi que je ne cesse malheureusement de l'entendre dans les différents organes d'information, alors même qu'il s'agit là de l'un des barbarismes les plus couramment décriés !
Mais : "Pallier (quelque chose)" !
On dit ainsi : "Pour pallier LE vieillissement de leur population, les japonais ont cherché à développer les robots plus que n'importe quelle autre pays".
Et pas, parmi - hélas ! - d'innombrables autres exemples :
Parce qu'il s'agit là d'une faute impardonnable pour ces professionnels du verbe, je leur décerne à tous, sans hésiter, mon label de médiocrité "Fâchés avec le français".
Le nom de ce joueur international de football français, né le 13 juin 1996 et jouant comme attaquant, se prononce au choix ko-mane ou ko-man.
L'intéressé lui-même déclare en effet : "De base, en Guadeloupe, on dit Kingsley ko-man. Mais quand j’étais petit, on me faisait beaucoup de blagues à deux balles, genre : Comment tu t’appelles ?. Après, j’ai pris l’habitude de dire ko-mane. Je trouvais que c’était plus beau. Mais ko-man ou ko-mane, les deux, c’est bon".