Cette locution nominale masculine en forme d'idiotisme textile ou vestimentaire désigne :
au sens propre, dans le langage courant : une longue chaussette de laine, dans laquelle on avait coutume, autrefois de dissimuler ses petites économies, son épargne.
et ausens figuré, par métonymie, dans le registre familier : l'argent que l'on a économisé ; ses petites économies, sa petite épargne.
Également appelée "Baignoire assise", elle désigne : une baignoire en forme de siège, plus courte et plus haute qu'une baignoire tradtionnelle, permettant de prendre un bain en position assise.
Elle est particulièrement adaptée aux personnes à mobilité réduite ou aux salles de bains de petites surfaces, puisqu'un modèle de seulement 120cm x 70cm convient parfaitement a une personne de taille moyenne.
Outre un gain de place considérable, elle offre un grand confort, la position assise créant un sentiment de sécurité immédiat chez les personnes âgées. Et davantage encore, bien sûr, lorsque la baignoire sabot intègre une porte facilitant l'entrée et la sortie.
Enfin - et je l'ai expérimenté pour ma part, à la fin des années 1990, avec ma fille aînée, aujourd'hui devenue médecin (comme le temps passe !) - la baignoire sabot est idéale pour les enfants : un petit de 2 à 4 ans qui joue ne remarque absolument pas la différence entre une petite et une grande baignoire, l'important étant de passer un bon moment, puis d'être correctement savonné !
Cette ignoble locution verbale raciste en forme d'idiotisme alimentaire et d'idiotisme vestimentaire est semble-t-il utilisée dans les milieux néofascistes français pour signifier : effectuer une ratonnade, brutaliser des Maghrébins.
Cette locution adverbiale en forme d'idiotisme textile relève du langage courant.
Et elle signifie, ausens figuré : complètement, entièrement, intégralement, totalement ; entièrement ; attentivement, méticuleusement, minutieusement; sous toutes ses faces, dans tous les sens, de toutes les manières, de tous les côtés, partout.
On dit par exemple : "J'ai examiné ce tableau sous toutes les coutures : il ne s'agit absolument pas d'un faux mais d'une oeuvre authentique".
Sources : www.expressio.fr, wiktionary.org et www.languefrancaise.net
Ces deux curieuses locutions verbales relèvent du registre vulgaire.
Et elles s'utilisent toutes deux, au sens figuré pour dire : avoir les sous-vêtements collant à la peau à cause de la transpiration.
"Avoir les bonbons qui collent au papier" est ainsi un idiotisme alimentaire signifiant : avoir les bourses collées au slip, pour un homme, en cas de forte chaleur,
On dit par exemple : "Vivement ce soir que je puisse me laver : j'ai les bonbons qui collent au papier".
et "Avoir le rideau qui colle aux fenêtres" est un idiotisme architectural et un idiotisme textile signifiant : avoir les fesses collées à la culotte, pour une femme, lorsqu'il fait très chaud.
On dit par exemple : "Je n'en peux plus de cette chaleur : j'ai le rideau qui colle aux fenêtres".
Ces différentes locutions verbales du registre familier appartiennent désormais également au registre désuet.
Et elles signifient :
au sens propre : avoir revêtu, revêtir de ou revêtir ses plus beaux habits, des habits qui sortent de l'ordinaire.
On dit par exemple : "Lorsque j'étais en vacances dans le Lot (46), dans les années 1960-1970, les gens se mettaient encore en habits du dimanche même s'ils n'allaient pas à la messe dominicale".
et par extension : avoir revêtu, revêtir de ou revêtir des habits trop apprêtés, différents des habits quotidiens, dans lesquels on n'est pas à l'aise, ce qui enlève un certain naturel, donne une allure empruntée.
On dit par exemple : "Ayons une pensée émue pour tous ces gamins que l'on endimanchait pour rendre visite à la famille".
Sources : www.cnrtl.fr, www.larousse.fr et wiktionary.org