Et pas simplement, en français : "UnE EXCLUSIVITÉ" !
Ou, s'il faut vraiment faire court, par apocope : "UnE EXCLU" !
Richesse et défense de la langue française
Nous usons et abusons des apocopes, ces chutes d’un ou plusieurs phonèmes à la fin d’un mot (« ordi » pour « ordinateur » ou « télé » pour « télévision »).
J’ai rassemblé dans cette collection un certain nombre d’articles évoquant ce sujet.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 39
Et pas simplement, en français : "UnE EXCLUSIVITÉ" !
Ou, s'il faut vraiment faire court, par apocope : "UnE EXCLU" !
Ces deux locutions masculines désignent : une personne dont l’identité de genre est masculine, alors que le genre qui lui a été assigné à la naissance sur la base de l'apparence de son sexe est féminin.
Certains hommes trans choisissent une opération chirurgicale de réattribution sexuelle, ou une transition hormonale, ou les deux, afin de modifier leur corps et être en adéquation avec leur identité de genre.
La dysphorie de genre pouvant parfois engendrer une intense et persistante souffrance, une transition médicalisée (mise en adéquation du corps avec l'identité de genre attendu) peut apaiser notablement l'individu.
Bien que parfois liées, la transidentité et l'orientation sexuelle sont deux concepts indépendants.
Le ratio des hommes transgenres dans la population générale n'est pas bien connu.
Source : wikipedia.org
Ces différentes locutions adverbiales signifient, au sens figuré : c'est toujours ça de pris, il n'y a pas de petit profit.
On dit par exemple : "La meuf que j'ai dépanné en lui changeant sa roue m'a filé 20 balles : c'est tout bénéf !".
"Être tout bénéfice" relève du langage courant, tandis que "Être tout bénéf" appartient au registre familier.
Ainsi qu’a pu le déclarer, le 12 décembre 2022, la commissaire-priseur française Delphine Fremeaux-Lejeune, en expertisant une lanterne magique dans l'émission "Affaire conclue, la vie des objets", sur la chaîne de télévision publique française France 2.
Mais : "C'est l'ancêtre du projecteur DE diapos" !
Tout d'abord baptisée "lanterne de peur" par son inventeur, elle est, après plusieurs appellations successives, renommée "lanterne magique" par le jésuite Francesco Eschinardi en raison de la fascination que ses images exercent sur le public.
Il est le descendant direct de la lanterne magique par son principe de fonctionnement et ses buts.
Et son usage s'est répandu dans les années 1950.
Source : wikipedia.org
Ce substantif féminin désigne :
Créé en 1972 par la société de Jean-Claude Decaux JC Decaux, la sucette est généralement, désormais, équipée d'un système d'éclairage intérieur.
Sources : wikipedia.org et www.larousse.fr
Ce substantif masculin en forme d'apocope relève du registre familier.
Et il désigne : un anniversaire.
On dit par exemple : "J'ai passé mon vendredi soir à préparer l'anniv de ma fille".
On dit par exemple : "Mon fils a un bras cassé : il ne peut plus aller au collège à vélo".
On dit par exemple : "Surtout ne fais pas appel à ce plombier c'est un bras cassé !".
On dit par exemple : "Tu as vu les bracass en train de refaire les pelouses du parc ?".
Source : wiktionary.org
Mais : "Un gYrophare" et "Un gYro" !
Avec un "y" et non un "i".
Un gyrophare est un phare rotatif placé sur le toit de certains véhicules prioritaires.
On dit par exemple : "Vu leurs prix, je ne risque pas de pouvoir rouler en béhème !".
Source : wikipedia.org
Mais : "La SALPÉ", "L'Hôpital de la SALPÊTRIÈRE" et "L'Hôpital de la Pitié-SALPÊTRIÈRE" !
Ce célèbre hôpital relevant de l'AP-HP (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) est situé 47-83, boulevard de l'Hôpital dans le 13e arrondissement, au Sud-Est de Paris (75).
L'hôpital de la Pitié-Salpêtrière est le plus grand des hôpitaux français par sa superficie. Au sein de ses 90 bâtiments répartis sur 33 hectares, sont présents 77 services regroupés en 10 pôles, dont les urgences.
Il compte 2 130 lits et 7 000 salariés y accueillent chaque année 156 000 patients.
Fondé en 1656 par le roi Louis XIV, La Salpêtrière fut le premier et le plus grand des établissements de l'Hôpital général de Paris.
Et il fut construit sur l'emplacement du petit arsenal, où l'on fabriquait la poudre pour les munitions, surnommé "La Salpêtrière".
Plus ancien explosif chimique connu, la "poudre noire", parfois dénommée "poudre à canon" ou "poudre à fusil", est constituée d'un mélange déflagrant de soufre, de nitrate de potassium (ou "salpêtre") et de charbon de bois.
Après la démolition en 1896 de l'ancien hôpital de la Pitié, le nouveau fut installé en 1911 sur un site jouxtant celui de la Salpêtrière (sur l'ancien site, dans le 5e arrondissement, se trouve aujourd'hui la Grande Mosquée de Paris, inaugurée en 1926).
Les deux hôpitaux fusionnèrent en 1964.
Et ils forment aujourd'hui l'hôpital "Pitié-Salpêtrière", faisant partie du groupement hospitalier "Pitié-Salpêtrière-Charles-Foix" depuis 2012.
Le 14 décembre 1974, l'hôpital fait l'objet d'une double protection au titre des monuments historiques : un classement et une inscription.
Sources : wikipedia.fr et pitiesalpetriere.aphp.fr
Et pas, en français : "La CULTURE POP" ou "La culture POPULAIRE" !
C'est à dire : une forme de culture - qui n'est ni la culture de masse ni la culture médiatique - dont la principale caractéristique est d'être produite et appréciée par le plus grand nombre, à l'opposé d'une culture élitiste ou avant-gardiste qui ne toucherait qu'une partie aisée et/ou instruite de la population.
Contrairement à une forme de culture jugée plus élitiste, la culture populaire se veut accessible à tous et demeure compréhensible et appréciable à plusieurs niveaux, sans exiger nécessairement de connaissances culturelles approfondies au préalable.
Mais elle ne se prive pas pour autant de références plus ou moins explicites à de nombreuses autres oeuvres, comme par exemple dans les émissions et feuilletons télévisés.
Source : wikipedia.org
Ces mots homophonographes ne doivent surtout pas être confondus :
On dit par exemple : "Ta mater est d'accord pour samedi soir ?".
Source : www.cnrtl.fr