"Telly Savalas".

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur et chanteur états-unien d'origine grecque Aristotelis Savalas, né le 21 janvier 1922 et mort le 22 janvier 1994.

Il est particulièrement connu pour avoir interprété dans les années 1970 le rôle principal dans le feuilleton télévisé policier "Kojak".

Son crâne rasé a donné lieu à la naissance de différentes expressions relatives au fait d'être chauve.

Et peu de gens se souviennent de lui avec des cheveux...

L'acteur états-unien Telly Savalas avec des cheveux

Source : wikipedia.org

"Quel est donc le prénom du Commissaire Navarro ?".

Commissaire Navarro
Réponse
Antoine !

"Le commissaire Navarro" est un feuilleton télévisé français en 108 épisodes de 90 minutes, créée par Pierre Grimblat et Tito Topin, diffusée entre le 26 octobre 1989 et le 19 avril 2007 sur TF1 puis rediffusée sur TMC, Jimmy, 13e rue, C8, Chérie 25 et RTL9.

Cette série met en scène les enquêtes du commissaire Navarro, interprété par l'acteur français Roger Hanin, commissaire de police à Paris (75), qui élève seul sa fille Yolande.

"Quel est donc le prénom de Mademoiselle Joubert ?".

Mademoiselle Joubert
Réponse
Nathalie !

Mademoiselle Joubert est une série télévisée française en 5 épisodes de 90 minutes dont 4 épisodes ont été diffusés entre le 24 octobre 2005 et le 30 avril 2012 sur TF1, puis rediffusé en 2012 sur NT1 et en janvier 2015 sur Gulli.

Elle met en scène Mademoiselle Joubert, institutrice à Ars-en-Ré (17) sur l'Île de Ré, interprétée par l'actrice française Laurence Boccolini, qui élève son neveu Romain depuis la mort accidentelle de ses parents.

Source : wikipedia.org

Quel est donc le prénom du détective privé Mannix ?

Réponse
Joe !

Joe Mannix

"Mannix" est une série télévisée états-unienne en 194 épisodes de 50 minutes, créée par Bruce Geller, Richard Levinson et William Link et diffusée entre le 16 septembre 1967 et le 13 avril 1975 sur le réseau CBS.

La série met en scène les enquêtes de Mannix, tout d'abord pour la société de sécurité et de renseignements Intertect, puis à son compte, comme détective privé, à Los Angeles (Californie).

Et elle a révélé au grand public l'acteur états-unien Mike Connors.

Source : wikipedia.org

Quel était donc le prénom du lieutenant Kojak dans la série télévisée états-unienne du même nom ?

Réponse
Theo !

Le lieutenant Kojak

"Kojak" est un feuilleton télévisé états-unienne en 118 épisodes de 48 minutes et 7 épisodes de 90 minutes, créé par Abby Mann et diffusé du 24 octobre 1973 au 18 mars 1978 sur le réseau CBS.

Une sixième saison fut ensuite diffusée aux États-Unis d'Amérique, sur le réseau ABC, dans le cadre du "ABC Mystery Movie", du 2 novembre 1989 au 7 avril 1990.

En France, le feuilleton a été diffusé du 8 janvier 1975 au 10 décembre 1978 sur Antenne 2 et rediffusé sur La Cinq à partir du 1er juin 1986.

La sixième saison inédite a été diffusée du 29 janvier 1992 au 29 février 1992 sur La Cinq et rediffusée du 2 juillet 1995 au 20 août 1995 sur France 2.

Cette série met en scène les enquêtes du lieutenant Kojak, interprété par l'acteur états-unien Telly Savalas, élégant policier d'origine grecque au crâne rasé et grand amateur de cigares et de sucettes, dans le onzième district de police de New York (États-Unis d'Amérique).

"Touch Connors" puis "Mike Connors".

Mike Connors

Il s'agit des deux noms d'artiste successifs de l'acteur états-unien d'origine arménienne Krekor Ohanian, né le 15 août 1925 et mort le 26 janvier 2017.

"Touch" était son surnom lorsqu'il était un joueur émérite de basket-ball, avant de débuter sa carrière à la télévision et au cinéma. Et il s'est donc d'abord fait appeler "Touch Connors" de 1952 à 1958.

Également producteur, il est notamment célèbre pour son rôle du détective privé Joe Mannix dans la série télévisée "Mannix".

C'était un cousin du chanteur et acteur franco-arménien Charles Aznavour.

Source : wikipedia.org

"Bruno Solo".

Bruno Solo

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur français Bruno Lassalle, né le 23 septembre 1964.

Scénariste, producteur et réalisateur, on l'a d'abord connu comme animateur de télévision, lors de ses débuts auprès d'Yvan Le Bolloc'h, qui le repéra parmi le public de l'une des émissions et lui offrit de la présenter avec lui.

"Stefanie Powers".

Stefanie Powers

Il s'agit du nom de scène de l'actrice et chanteuse américaine Stefania Zofia Federkiewicz, née le 2 novembre 1942.

Elle est principalement connu des téléspectateurs français pour avoir incarné, auprès de l'acteur américain Robert Wagner, de 1979 à 1984 le rôle de Jennifer Hart, dans la série télévisée américaine "Pour l'amour du risque".

"Flash Talk" sur LCP Assemblée Nationale : l'émission qui fait honte au service public audiovisuel.

Les présentateurs et le logo de l'émission "Flash talk"

En ce 15 avril 2018, c'est la seconde fois que j'ai la malchance d'atterrir sur l'émission télévisée dominicale "Flash Talk", diffusée - honte à elle -, à 13 heures, par la chaîne LCP Assemblée Nationale. Et, comme la première fois, je n'ai tenu que... deux minutes avant de devoir changer de canal, mortifié que j'étais par la médiocrité et la teneur du vocabulaire et du niveau de langage employés.

D'abord, naturellement, pourquoi ce titre anglais absurde et inadmissible sur une chaîne parlementaire française. Ses concepteurs pensent-ils sincèrement que leurs jeunes hypothétiques téléspectateurs en saisissent la signification ?

J'incline à penser pour ma part que "Conversation impromptue" ou "Conversation improvisée" serait nettement plus clair et surtout justifié, dans un pays francophone et sur une chaîne publique émanant de la chambre haute de la représentation nationale.

Ensuite, et surtout, cette émission, qui semble avoir pour vocation de donner la parole aux jeunes, concourt surtout, à mon sens, à les conforter dans leur médiocrité langagière.

De fait, pas plus Raphaël Yem que Sonia Chironi, ses deux animateurs, ne semblent en effet capable de prononcer ou de construire correctement une phrase dans un français un tant soit peu correct.

Jugez-en plutôt : "I' sont là ! I' vont avoir la parole !", débute la jeune femme. Avant que son comparse n'enchaîne, s'adressant à un premier interlocuteur : "C'est quoi ton prénom ?", "S'appelle comment ton collège ?" ! Puis, de jargonner le "djeun's", à coups de "Arrête de mythoner" et autres formules, toutes plus familières ou argotiques les unes que les autres.

Ce n'est pas, à mon sens, faire preuve de respect à l'égard de la jeunesse que de s'adresser ainsi à elle en la tutoyant gros comme le bras et en adoptant son sociolecte, ses mots, ses expressions, son jargon et ses tics de langage. Je pense, a contrario, que l'on doit vouvoyer un jeune interlocuteur ; lui parler un langage compréhensible mais suffisamment soutenu pour lui témoigner du respect qu'on lui porte. Et, idéalement, lui donner envie d'essayer d'améliorer son niveau de langue.

Il est évidemment tout à fait néfaste pour le maintien et l'amélioration de la pratique de notre jolie langue, de chercher ainsi à se mettre au niveau de langue de ses interlocuteurs en pratiquant le nivellement par le bas.

C'est au contraire en s'efforçant d'avoir une prononciation correcte et d'utiliser des mots et des locutions pertinents d'un registre de langue courant ou d'un registre de langue soutenu, qu'il sera je pense - et j'espère - possible d'y parvenir.

"Un bon client".

Cette locution nominale désigne :

  • dans le langage courant, au sens propre : un client régulier, récurrent, fidèle, solvable, qui paye en temps et en heure, sans relance,
  • et dans le registre familier, au sens figuré : pour les professionnels du monde médiatique (animateurs, journalistes, producteurs, responsables de programmes, etc.), un intervenant extérieur - simple invité ou spécialiste d'un sujet - parfaitement à l’aise dans l’exercice médiatique et dégageant un grand intérêt en termes d’image et d’audience, par sa présence et son discours.

On dit par exemple du comédien Fabrice Luchini qu'il est "un bon client".

Elle ne doit surtout pas être confondue avec les formules "Un client", "Un gros client", "Un sacré client" ou "Un sérieux client", auxquelles j'ai également consacré un article.

Source : www.devenez-mediatique.com

Pourquoi dire : "Piratage. Deux hackers réussissent à contrôler une arme à distance" ?

Comme le fait la chaîne Neflix sur ses affiches, avec son slogan vantant la diffusion de la cinquième saison de sa série "Black mirror" à compter du 5 juin 2019.

Et pas, bien plus simplement : "Deux pirates informatiques réussissent à contrôler une arme à distance" !

Pourquoi dire : "La lip sync" !

Et pas : "La synchronisation labiale" ?

Il s'agit, dans le domaine de l'audiovisuel, de l'ensemble des techniques destinées à faire en sorte que semblent synchronisés, d'une part, le mouvement des lèvres d'une personne ou d'un personnage, et d'autre part, les paroles ou les sons qu'il est censé prononcer, dans les situations où l'un et l'autre sont enregistrés ou diffusés par des moyens différents et où il est nécessaire de les réunir.

On retrouve la synchronisation labiale :

  • dans la présonorisation ("Playback"), où elle consiste pour un chanteur à faire correspondre le mouvement de ses lèvres avec un enregistrement des paroles qu'il est supposé interpréter, afin de faire croire au public que c'est réellement lui qui chante.
  • dans le doublage, où, selon le contexte, les problèmes posés sont différents :
    • Ainsi, dans le domaine de l'animation, des jeux vidéo, ou encore des marionnettes, c'est l'animation des personnages et de leurs lèvres qui doit s'adapter à la bande son.
    • Au contraire, lorsqu'il est question de doubler une oeuvre dans une langue étrangère, ou bien lorsque des dialogues sont réenregistrés en postproduction, c'est au texte d'être choisi de manière à s'adapter aux mouvements pré-existants des lèvres qui ont été filmés.
  • Enfin, à la télévision, lorsque les signaux audio et vidéo sont transportés par des moyens différents, et que ceux-ci n'ont pas le même temps de latence, il peut apparaître un décalage, en particulier entre la bande son et le mouvement des lèvres.

Dans ce cas, il est nécessaire de retarder le plus rapide les deux signaux de manière qu'ils soient bien synchronisés.

Source : wikipedia.org