Cette locution nominale féminine relève du jargon médical.
Et elle désigne : l'épilepsie.
Richesse et défense de la langue française
Cette locution nominale féminine relève du jargon médical.
Et elle désigne : l'épilepsie.
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotisme animalier et d'idiotisme médical relève du registre familier.
Et elle désigne au sens figuré : avoir une température corporelle extrêmement élevée, avoisinant les 40 degrés centigrades ; la température normale se situant entre 36,2 °C et 37,7 °C environ.
Source : www.microlife.fr
Cet adjectif souvent méconnu du grand public relève du jatgon médical.
Et il désigne : ce qui est introduit dans l'organisme par une voie autre que le tube digestif.
Comme par exemple les médicaments ou nutriments introduits par perfusion intraveineuse ou "infusion".
Ce substantif féminin polysémique en forme d'apocope relève du registre familier.
Et il désigne selon le contexte :
C'est à dire une oeuvre d'art ou un échantillon artistique traditionnellement interdisciplinaires, créé par des actions menées par l'artiste ou d'autres participants, et ayant souvent lieu en direct et en public.
C'est à dire, par ellipse de "perfusion intraveineuse", une technique - parfois nommée par son principe, infusion - permettant l'administration par voie parentérale de médicaments ou de nutiments.
C'est à dire : un résultat, une distance ou un temps, réalisé le plus souvent lors de compétitions officielles et à l'issue d’un entraînement long, complexe et éprouvant.
Source : wikipedia.org
Cette locution nominale masculine relève du registre désuet.
Et elle désignait : l'épilepsie, également appelée mal comitial.
Elle a servi de titre à un roman policier de l'écrivain belge Georges Simenon, paru en 1933 aux Éditions Fayard.
Cette affection neurologique touche plus de 50 millions de personnes à travers le monde.
Elle est définie comme une famille de maladies dont le point commun est une prédisposition cérébrale à engendrer des "crises" épileptiques dites "non provoquées", c'est-à-dire spontanées, non expliquées par un facteur causal immédiat.
Une crise épileptique est caractérisée par une altération fonctionnelle transitoire au sein d'une population de neurones, due à une "décharge" épileptique :
L'épilepsie se manifeste habituellement durant l’enfance ou à l’adolescence, ou encore après l’âge de 65 ans, plus rarement à partir de 30 ans. Chez les personnes âgées, l'augmentation des cas de troubles cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux accentue le risque. Un tiers des patients souffre d'une épilepsie réfractaire et présente des crises malgré l'utilisation des anti-épileptiques.
Un facteur prédisposant peut être d'origine génétique, lésionnel (lésion cérébrale présente depuis la naissance, malformative, ou acquise au cours de la vie, comme un accident vasculaire cérébral ou les complications d'un traumatisme crânien grave), toxique (certains médicaments tel que le tramadol abaissent le seuil épileptologène) ou autre (par exemple, une anomalie de l'électroencéphalogramme peut être considérée comme prédisposant).
Il n'existe pas une seule épilepsie, mais de nombreuses formes différentes, à l'origine de crises épileptiques elles-mêmes très variées ; les plus fréquentes sont les crises tonico-cloniques généralisées dites convulsions, les crises myocloniques, les absences épileptiques, les crises partielles simples, les crises partielles complexes.
Une épilepsie est caractérisée par deux traits essentiels :
Chez les personnes souffrant d'épilepsie, la survenue d'une crise est souvent due à un état de fatigue inhabituel, un manque de sommeil, ou un état anxieux. Dans une minorité de cas dits "photosensibles", une stimulation lumineuse intermittente (par exemple, un stroboscope ou un éclair lumineux) peut être à l'origine des crises.
Source : wikipedia.org
Cette locution nominale masculine en forme d'idiotisme animalier et d'idiotisme médical appartient au registre familier.
Et elle désigne, au sens figuré :
On dit par exemple : "Le médecin m'a prescrit un remède de cheval qui m'a permis de retourner travailler rapidement".
On dit par exemple : "Le redressement de ce journal passe par l'application d'un remède de cheval".
Mais : "La SALPÉ", "L'Hôpital de la SALPÊTRIÈRE" et "L'Hôpital de la Pitié-SALPÊTRIÈRE" !
Ce célèbre hôpital relevant de l'AP-HP (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) est situé 47-83, boulevard de l'Hôpital dans le 13e arrondissement, au Sud-Est de Paris (75).
L'hôpital de la Pitié-Salpêtrière est le plus grand des hôpitaux français par sa superficie. Au sein de ses 90 bâtiments répartis sur 33 hectares, sont présents 77 services regroupés en 10 pôles, dont les urgences.
Il compte 2 130 lits et 7 000 salariés y accueillent chaque année 156 000 patients.
Fondé en 1656 par le roi Louis XIV, La Salpêtrière fut le premier et le plus grand des établissements de l'Hôpital général de Paris.
Et il fut construit sur l'emplacement du petit arsenal, où l'on fabriquait la poudre pour les munitions, surnommé "La Salpêtrière".
Plus ancien explosif chimique connu, la "poudre noire", parfois dénommée "poudre à canon" ou "poudre à fusil", est constituée d'un mélange déflagrant de soufre, de nitrate de potassium (ou "salpêtre") et de charbon de bois.
Après la démolition en 1896 de l'ancien hôpital de la Pitié, le nouveau fut installé en 1911 sur un site jouxtant celui de la Salpêtrière (sur l'ancien site, dans le 5e arrondissement, se trouve aujourd'hui la Grande Mosquée de Paris, inaugurée en 1926).
Les deux hôpitaux fusionnèrent en 1964.
Et ils forment aujourd'hui l'hôpital "Pitié-Salpêtrière", faisant partie du groupement hospitalier "Pitié-Salpêtrière-Charles-Foix" depuis 2012.
Le 14 décembre 1974, l'hôpital fait l'objet d'une double protection au titre des monuments historiques : un classement et une inscription.
Sources : wikipedia.fr et pitiesalpetriere.aphp.fr
Cet étrange substantif féminin est une curiosité de la terminologie juridique suisse désignant : l'abus de prescriptions médicales.
Source : www.revmed.ch
Ces mots homophonographes ne doivent surtout pas être confondus :
On dit par exemple : "Ta mater est d'accord pour samedi soir ?".
Source : www.cnrtl.fr
Ce substantif masculin polysémique nous vient du grec ancien "kopros" ("excrément") et "lithos" ("pierre").
Et il désigne, selon le contexte :
Sources : wikipedia.org et wiktionary.org
Ce syndrome peu ou mal connu est une maladie du muscle cardiaque, générée par un stress intense, dont le nombre cas ne cesse d'augmenter depuis le début de la pandémie de COVID-19.
Ce trouble toucherait principalement les femmes.
Tout choc émotionnel ou physique entraînant un stress intense peut conduire à un tako-tsubo, davantage encore lorsque cette situation spécifique est associée à une fatigue intense. Des chercheurs de l'université de Zurich parlent notamment de décès, de rupture amoureuse, d'annonce d'une maladie, mais aussi d'intervention chirurgicale, d'agression, ou encore d'accident.
Autant dire que la pandémie de COVID-19 semble propice au syndrome du coeur brisé. Le nombre de cas aurait même été multiplié par 4,58 dans plusieurs pays pendant la crise sanitaire, comme le rapporte une étude états-unienne dévoilée en juillet 2020.
Des chercheurs de l'université John Hopkins, à Baltimore (Maryland) ont décrit plus précisément cette maladie. En 1999, l'équipe des professeurs Champion et Wittstein notait le caractère inhabituel de certains patients arrivant au centre se plaignant d'attaques cardiaques. Parmi eux, une forte proportion de femmes ménopausées qui venaient d'être victimes d'une émotion intense juste avant leur accident. "L'accumulation de stress conduit à une fragilité émotionnelle, qui peut aboutir à une paralysie du muscle cardiaque. Le coeur se met en état de sidération face à l'événement de trop, qui aurait pu être anodin en d'autres circonstances. C'est le Tako-tsubo, syndrome du cœur brisé ou cardiomyopathie de stress.
Pour mieux comprendre le phénomène, ces chercheurs ont collecté les électrocardiogrammes et différents dosages biochimiques de 19 patients souffrant de cardiomyopathie de stress, caractérisée par un spasme dans la poitrine et un affaiblissement général. Parmi les événements qui avaient amené ces malheureux à consulter, les chercheurs ont répertorié : un accident, un vol à main armée, une violente dispute et même une surprise d'anniversaire ! L'âge moyen de ces personnes était de 63 ans et 95 % étaient des femmes. Ils les ont ensuite comparés avec 7 patients atteints "de crises cardiaques classiques". Le syndrome se manifeste par des symptômes proches de l'infarctus, principalement chez la femme plutôt anxieuse, plus particulièrement au moment de la ménopause et chez les personnes en situation de précarité. C'est une urgence cardio-vasculaire encore trop méconnue, à prendre très au sérieux, tout particulièrement en cette période de COVID.
Potentiellement mortel, ce syndrome a un très bon pronostic de guérison, à condition de bénéficier des traitements adéquats.
L'angiographie ne révélait aucune obstruction des artères alimentant le cœur, l'examen par les tests sanguins ne réussirent pas à déceler dans le sang les enzymes caractéristiques d'un dommage du muscle cardiaque. L'absence de dommage cardiaque a été confirmée par IRM (Imagerie par Résonance Magnétique). La capacité cardiaque revenait à la normale dans les deux semaines. En comparaison, la récupération partielle après une crise cardiaque peut prendre des semaines ou des mois et fréquemment, le dommage cardiaque est permanent.
Mais les analyses sanguines révélaient d'autres surprises. Les taux sanguins de plusieurs hormones appelées catécholamines (en particulier l'adrénaline) étaient deux à trois fois supérieurs aux autres patients après attaques cardiaques et 7 à 34 fois plus importants que les personnes en bonne santé. Sous l'effet d'une libération massive de ces hormones, une partie du cœur ne se contracte quasiment pas. Il se ballonne et prend une forme d'amphore, ce qui lui vaut le nom de "tako-tsubo" au Japon signifiant "piège à poulpe". Il s'agit d'une paralysie transitoire.
Les femmes davantage touchées que les hommes par le tako-tsubo
Surtout après la ménopause (probablement à cause de la chute du taux d'hormones aux effets cardioprotecteurs). Après cette première hypothèse, émise en 1999, une autre équipe états-unienne confirme cette prédominance féminine en 2005, tout comme l'issue très favorable en cas de traitement approprié.
Comment expliquer cette sensibilité féminine ? On le sait, les femmes réagissent différemment des hommes au stress. Leurs artères sont notamment plus sensibles aux effets du stress, les rendant plus sujettes aux spasmes. Ainsi, cette sensibilité féminine pourrait s'expliquer par les hormones et les liaisons nerveuses de leur cerveau et de leur coeur. Mais l'influence des hormones sexuelles sur les hormones du stress reste cependant largement mystérieuse.
Alors qu'au Japon, ces troubles sont connus depuis de nombreuses années, ces cardiopathies de stress n'avaient suscité que peu d'intérêt en Occident. Les prochains travaux devront permettre de savoir si certains patients ont une vulnérabilité d'origine génétique et surtout savoir pourquoi ce syndrome des coeurs brisés touche principalement les femmes.
Ces travaux permettront demain de distinguer plus aisément ces cardiopathies de stress des véritables crises cardiaques. Bénéficiant du bon diagnostic, ces personnes pourraient éviter d'être soignées toute leur vie pour une maladie cardiovasculaire qu'elles n'ont pas. En attendant, essayez autant que possible de prendre un peu de distance par rapport aux événements stressants.
Selon une étude réalisée par des chercheurs de l'hôpital universitaire de Zurich, en Suisse, et publiée dans l'European Heart Journal, le 5 mars 2019, il y aurait un lien entre ce problème cardiaque et notre cerveau. Les scientifiques ont analysé l'activité cérébrale de 15 personnes souffrant d'un syndrome de tako-tsubo puis l'ont comparé à celle de 39 personnes en bonne santé.
Résultat, les patients atteints du syndrome ont une connectivité cérébrale différente et ne traite pas les émotions de la même manière. Ils seraient plus sensibles aux émotions fortes. Cette découverte permet d'envisager de nouvelles pistes de traitement.
Si la prévention - qui passe notamment par l'activité physique, une alimentation saine, un bon sommeil, ou encore des techniques de relaxation - peut permettre de réduire le risque d'être exposé à ce syndrome, la prise en charge doit elle être immédiate. Pour ce faire, il est primordial d'en connaître les symptômes.
Le syndrome peut être caractérisé par un essoufflement, une douleur brutale dans la poitrine en étau, des palpitations, une perte de connaissance, ou encore un malaise vagal.
Une femme de plus de 50 ans, ménopausée, en situation de rupture, ne doit surtout pas sous-estimer les premiers symptômes liés à un stress émotionnel aigu. Le syndrome de tako-tsubo nécessite une hospitalisation en urgence, pour éviter des complications graves et permettre une prise en charge en unités de soins intensifs cardiologiques. L'appel du 15 est primordial comme dans l'infarctus du myocarde, chaque minute compte !
Source : www.doctissimo.fr
Ce substantif féminin du langage courant peut avoir différentes significations, puisqu'il peut désigner, selon le contexte :
On dit par exemple : "La maternité est une énorme responsabilité, que je n'aurais pas su assumer plus jeune".
On dit par exemple : "Votre maternité s'est bien passée, je crois".
Sources : www.cnrtl.fr et Le Robert