Il s'agit du surnom couramment attribué dans le milieu médical aux "attelles digitales", dont la forme - avant emploi - peut rappeler celle d'une grenouille.
Cette appellation d'"attelles grenouille" relève donc du registre familier.
Richesse et défense de la langue française
Il s'agit du surnom couramment attribué dans le milieu médical aux "attelles digitales", dont la forme - avant emploi - peut rappeler celle d'une grenouille.
Cette appellation d'"attelles grenouille" relève donc du registre familier.
Ces deux substantifs homonymes désignent respectivement :
La survie de ces singes - également appelés "singes-araignées" - est gravement menacée par les atteintes de plus en plus nombreuses à l'intégrité écologique de la canopée, causées par les routes qui fragmentent écologiquement les forêts.
On parlait autrefois d'"éclisse" et l'on disait alors "Éclisser un cheval" et non "Atteler un cheval".
Dans les films de guerre ou les westerns, les attelles rudimentaires improvisées par les protagonistes sont constituées de pièces rigides en bois ou en métal, destinées à maintenir immobile un membre fracturé.
Mais l'indication du port d'une attelle peut être très diversifiée.
Les attelles sont utilisées principalement lors d'atteinte ou suspicion d'atteinte traumatique (choc, coup, chute, faux mouvement, fracture), mais également dans les cas de rhumatisme pour mettre au repos l'articulation, de tendinite, etc.
Les attelles sont de différentes tailles et formes suivant le membre à immobiliser. Et il en existe pour les chevilles, les coudes, les doigts, les genoux, les hanches, les orteils ou les poignets.
Sources : www.larousse.fr et wikipedia.org
Cet adjectif et ce substantif féminin relèvent du jargon médical et signifient respectivement :
On dit par exemple : "La belladone a des propriétés mydriatiques".
Les médicaments aux propriétés mydriatiques (l'atropine, l'épinéphrine, l'homatropine, l'hyoscyamine, la néosynéphrine, etc.) sont utilisés sous forme de collyre à instiller dans l'oeil ou les yeux malades.
Source : www.larousse.fr
Ces deux locutions nominales féminines peu usitées désignent ce que l'on appelle plus couramment "les dents de lait" ; à savoir les premières dents, temporaires, formant la première dentition de l'enfant.
L'adjectif "déciduale(s)" vient en effet du latin "Deciduus" signifiant "qui tombe".
Ces dents apparaissent chez l'enfant entre six et huit mois et tombent entre six et douze ans pour laisser la place aux dents permanentes.
L'appellation "dents de lait" provient du fait que ces premières dents apparaissent au moment où l'enfant se nourrit encore principalement de lait. Mais également, peut-être, qu'elles sont aussi blanches que du lait ?
Sur un thème contigu, je vous recommande la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Les dents" en français.
"Antagonique" et "Antagoniste" sont deux adjectifs paronymiques du registre soutenu aux significations proches mais dont on ne peut pas dire qu'ils sont parfaitement synonymes :
On dit par exemple : "Le patronat et les syndicats ont naturellement des intérêts antagoniques".
On dit par exemple : "Lucky-Luke et les Dalton sont personnages antagonistes".
On dit par exemple : "L'homme possède des muscles antagonistes".
Par exemple, lorsqu'un héros combat, d'une manière ou d'une autre, un méchant, celui-ci est l'antagoniste du héros, qui est le protagoniste.
L'antagoniste peut également représenter une menace ou un obstacle au personnage principal.
On dit par exemple : "Les frères Dalton sont les antagonistes de nombreux albums de Lucky-Luke".
Sources : wiktionary.org, wikipedia.org et www.larousse.fr
Cette locution adverbiale (qui se prononce "a-jun") nous vient du latin "jejunus" : "qui n'a rien mangé") signifie :
Être à jeun pour une analyse de sang, signifie : ne pas avoir consommé d'aliments ni bu d'autres boissons que de l'eau depuis au moins 11 à 12 heures.
On dit par exemple : "À jeun, mon voisin alcoolique est plus agressif encore que lorsqu'il est ivre".
Ou : qui est en état de manque, pour toute personne intoxiquée.
On dit par exemple : "Un héroïnomane à jeun est un danger pour ses proches"
Source : www.larousse.fr
On dit par exemple : "Depuis que je suis tombé, je boite un peu".
Mais il est cependant utilisé par les militants politiques, dans le registre familier et en tant que néologisme, pour signifier : distribuer en boîtes à lettres (des tracts, des professions de foi).
On dit par exemple : "Je boîte dans ton quartier demain".
Ou : "Tu pourrais nous aider pour le boîtage de demain ?".
Ce substantif féminin du registre soutenu, que l'on a souvent du mal à orthographier, désigne :
Source : wiktionary.org
Le coccyx ("cok-siss") est un tout petit os triangulaire situé à l'extrémité de la colonne vertébrale chez certains primates dont l'Homme.
Il résulte en principe, chez l'Homme, de la soudure de quatre vertèbres atrophiées (ce nombre pouvant varier de trois à cinq), nommées "vertèbres coccygiennes" ou "vertèbres caudales".
Le mot "Coccyx" vient du mot grec signifiant "Coucou", par analogie de forme avec le bec de cet oiseau.
Cet os fait encore partie de grands débats scientifiques en ce qui concerne son rôle pour notre corps et son utilité.
Le coccyx est considéré comme un reliquat d'un appendice caudal (ou "queue") que possédaient les ancêtres de l'Homme et qui s'est amoindrie au cours de l'évolution. L'hypothèse selon laquelle cette atrophie serait liée à la bipédie n'est pas avérée, certains primates ayant vu leur queue disparaître bien avant l'acquisition de la bipédie. Selon le primatologue japonais Masato Nakatsukasa, la perte de la queue chez les hominoïdes du miocène est probablement due à l'augmentation de la taille de ces grands singes anthropoïdes chez qui la queue devient handicapante, et à une locomotion lente couplée à l'augmentation des capacités préhensiles des membres locomoteurs (pieds et mains remplaçant le rôle de contrepoids de la queue).
On l'ignore souvent, mais l'embryon humain possède une longue queue (d'environ un sixième du corps) qui subit à la huitième semaine une résorption osseuse ; les quatre vertèbres extrêmes (dite "coccygiennes" ou "caudales") se fondant en une seule pour former le coccyx.
Source : wikipedia.org
On dit par exemple : "Avoir un travail", "Chercher un second travail", "Offrir du travail", etc.
On dit par exemple : "Un travail d’embellissement et de rénovation", "Un travail de couture", etc.
Le travail commence par les contractions de l'utérus, puis se poursuit par la naissance du bébé et se termine par l'expulsion du placenta.
On dit par exemple : "J'ai encore plusieurs travails à réparer cette semaine".
On dit par exemple : "Je suis obligé d'avoir deux emplois pour m'en sortir financièrement" (et non "deux travails").
Ou : "Je connais pas mal de personnes qui exercent deux professions simultanément" (et non "deux travails").
Dans ce cas, en effet, il est d’usage de ne pas utiliser le mot "travail" au pluriel (qui serait ici "travaux").
Il s'agit du Syndrome de Gilles de la Tourette.
Et pas : "La cartographie génétique" !
C'est à dire : la construction d’une carte soit localisée autour d’un gène, soit à base large portant sur le génome entier.