Seuls 45 manquent encore par conséquent à mon "tableau de chasse" !
Dont seulement 6 de taille notable, puisque les 39 plus petits ne comptent - au total - que 2,47 millions d'habitants :
le Lesotho (2,23 millions),
la Papouasie-Nouvelle Guinée (8,25 millions),
le Soudan du Sud (12,58 millions),
la Somalie (14,74 millions),
le Zimbawe (16,53 millions),
et le Mozambique (29,67 millions).
Les "îles Caïmans" ou "îles Caïman" ou "îles Caïmanes" (en anglais : "Cayman Islands") sont un territoire britannique d'outre-mer, connu pour être un paradis fiscal.
Situées dans la partie Ouest de la mer des Caraïbes, les îles Caïmans ne sont pas rattachées aux Grandes Antilles dont elles sont proches. L'île de Cayman Brac se trouve en effet à 193 km au Sud-Ouest de Cuba, et à 212 km au Nord-Ouest de la Jamaïque.
Les îles Caïmans comportent trois îles : Grand Cayman, Little Cayman et Cayman Brac, dont les superficies respectives sont de 197 km2, 26 km2 et 36 km2, auxquelles s'ajoutent quelques îlots pour un total de 260 km2.
On compte environ 65 000 habitants (les "caïmaniens"), dont environ 36 000 dans la capitale George Town, située sur la côte Ouest de Grand Cayman.
Historiquement, ces îles sont atteintes pour la première fois par Christophe Colomb le 10 mai 1503 au cours de son quatrième et dernier voyage vers le Nouveau Monde. Le premier visiteur britannique attesté est Francis Drake, qui y débarque en 1586 et leur donne leur nom actuel.
L'Angleterre prend officiellement le contrôle de l'archipel, en même temps que celui de la Jamaïque, à l'issue du traité de Madrid en 1670.
Elles sont administrées comme une partie de la Jamaïque jusqu'en 1962, date à laquelle elles deviennent une colonie de la Couronne séparée, tandis que la Jamaïque devient un Royaume du Commonwealth.
Le laquais, portant livrée aux armes de son maître, annonçait la visite de personnes au domicile et accompagnait son employeur à l'extérieur, se juchant notamment à l'arrière du carrosse.
On dit par exemple : "Du temps de sa splendeur, le comte avait à sa disposition de nombreux laquais dans chacune de ses résidences".
Ce petit renard de la famille des canidés vit dans le désert du Sahara et la péninsule du Sinaï.
Avec ses oreilles caractéristiques, il est la plus petite espèce de sa famille. Sa fourrure, ses oreilles et sa fonction rénale sont adaptées aux conditions physiques du désert : températures extrêmes et pénurie d’eau.
Ses oreilles lui servent également de système de ventilation et de refroidissement du sang, l'aidant à résister aux températures élevées et au climat extrême du désert.
Le terme "Fennec" vient de l'arabe et signifie "Renard".
Caractéristiques physiques
Le fennec a de très longues oreilles (pouvant mesurer jusqu'à 10 centimètres), un nez assez long, de longues moustaches et une queue relativement longue, plate et touffue.
Son surnom de "Renard de poche" lui vient naturellement de sa toute petite taille. C'est en effet le plus petit des canidés existant sur Terre, puisqu'il ne mesure que de 20 à 40 cm de long, auxquel s'ajoute une queue de 18 à 30 cm.
Son poids moyen est de 1,7 kg contre 6 kg pour la plupart des autres espèces de renard. Et sa hauteur moyenne est d'environ 20 cm, et environ 35 cmlorsque l'on y ajoute les oreilles. Le fennec a un pelage allant du brun pâle à presque blanc et ressemble beaucoup au renard nain auquel il est apparenté, hormis ses oreilles dressées, chacune aussi grande que la face.
Comportement
La nuit, les longues oreilles du fennec lui permettent d'entendre les plus petits bruits que font ses proies, ce qui lui permet de ne pas faire de longues recherches dans le désert. Le fennec est un redoutable chasseur, rusé et véloce. Il est parfaitement adapté au climat aride, ses oreilles très vascularisées et très grandes comparées à celles des autres espèces de renard sont des éléments refroidisseurs. Les poils sous ses pattes lui permettent de ne pas glisser sur le sable et d'approcher ses proies en silence. Le jour, dans le désert, la température du sable est de 70 °C à la surface. Mais le fennec peut creuser jusqu'à deux mètres de profondeur, ramenant ainsi la température aux environs de 30 °C. La surface plantaire du fennec est couverte de poils épais qui le protègent de la chaleur du sable.
Le fennec creuse très rapidement et, quand il est poursuivi, se cache dans le sable. Le fennec dort généralement le jour et sort la nuit chercher sa nourriture. Lorsqu'un vent de sable se lève, les petits fennecs cherchent un abri auprès de leurs parents qui les dissimulent parfois sous leur longue queue touffue.
Cri
Comme le renard, le fennec glapit ou jappe, c'est-à-dire qu'il pousse des petits cris ou grognements successifs.
Régime alimentaire
Le fennec est omnivore. Il se nourrit essentiellement de souris, de petits oiseaux, de lézards ou d'insectes, et complète ce régime avec des fruits. Le fennec s'abreuve parfois à des points d'eau, bien que cela ne lui semble pas indispensable ! La capacité des fennecs à se passer de boire pour des durées indéterminées résulte en effet de leur adaptation à leur habitat désertique et de leur régime alimentaire, certains insectes figurant à son menu étant constitués de 70 % d'eau. De plus, le système rénal du fennec concentre les urines, ce qui a pour effet une élimination maximale de déchets pour un minimum de perte.
Reproduction
Le fennec est monogame et les couples restent unis toute la vie. La saison de reproduction a lieu entre janvier et février. La femelle donne naissance à une portée de 2 à 5 petits entre mars et avril, après 50 à 53 jours de gestation. Les petits sont aveugles à la naissance et ouvrent les yeux au bout de 2 semaines. Ils commencent à jouer dans la tanière à 4 semaines et sortent jouer dehors après 5 semaines. Les deux parents s'occupent d'eux. Les jeunes atteignent la maturité sexuelle entre 6 et 9 mois, lorsqu'ils atteignent leur taille adulte. La longévité est de 10 ans dans la nature.
On ne connaît pas de prédateurs au fennec bien qu'il puisse y en avoir ; sa tanière, son pelage de couleur sable et son ouïe très fine l'aident à s'en protéger8. Seul l'homme peut, en le capturant, devenir un prédateur.
Habitat et répartition
L'habitat du fennec est un terrier, creusé dans le sable ou dans de petites grottes, et tapissé d'un ensemble de matériaux moelleux tels que fourrure ou plumes.
Le fennec habite les déserts du Nord de l'Afrique et jusqu'à l'Arabie saoudite. Et l'on trouve la plupart des fennecs en Algérie. .
Les populations de fennecs sont stables au Sahara, hormis dans certaines zones du Maroc où il a disparu.
L'espèce n'est pas menacée actuellement d'extinction, mais elle pourrait le devenir. Car si la vente des jeunes fennecs aux Européens amateurs d'exotisme est désormais interdite, il s'agit toujours d'un animal de compagnie recherché et autorisé en Amérique du Nord et Japon !
Souvenir personnel
Très jeune adhérent du WWF dès 1970, je me souviens avoir été choqué lorsque j'étais enfant, au tout début des années 1970, à Conflans Sainte-Honorine (78), d'apprendre que des voisins venait d'entrer en possession d'un fennec, qu'ils logeaient dans leur pavillon... Mais n'avoir jamais bien évidemment jamais pu ne serait-ce qu'entrapercevoir celui-ci, qui - bien fait pour eux ! - leur menaient une vie impossible la nuit, durant laquelle il était redoutablement turbulent, pour dormir et se cacher toute la journée durant !
Ce qui les a - fort heureusement, à mon sens - amené à s'en débarrasser rapidement, au profit d'une association de protection des animaux.
Ces deux substantifs féminins du registre désuet désignent :
"Une gravelle" : une concrétion rénals granuleuss plus petits qu'un calcul, ordinairement de la grosseur d'une tête d'épingle,
et "La gravelle" : par métonymie, la maladie caractérisée par la formation de ces concrétions, dont l'élimination peut causer de vives douleurs. Que l'on appelle désormais "la lithiase rénale".
Ce substantif féminin du registre soutenu désigne :
l'état de ce qui est réduit en poudre ou en très fines particules,
par métonymie, au pluriel : de fines particules,
par analogie : l'état de ce qui est perçu comme étant pulvérisé ou en poudre,
le caractère poussiéreux, l'état d'une chose couverte de poussière,
et, dans le domaine médical : l'état des narines se caractérisant par une sécheresse de la muqueuse et l'accumulation de poussières sur les poils, observé lors d'affections fébriles graves ("pulvérence des narines" ou "pulvérence nasale").Source : www.cnrtl.fr
Ces deux substantifs masculins du registre soutenu possèdent des significations relativement distinctes :
"Un bibliophile" est en effet une personne qui aime les livres ; qui recherche et conserve les livres rares et précieux.
Pas forcément les jolies reliures ou les livres très anciens. Il peut par exemple s'agir de premières éditions, d'éditions à tirages limités ou de livres dédicacés.
Le bibliophile est atteint d'une passion appelée "La bibliophilie".
tandis que "Un bibliomane" est une personne accumulant les livres de façon déraisonnable, que ce soit en terme de quantité ou de finances.
Au point que cela puisse éventuellement nuire à la qualité de sa santé ou de ses relations sociales.
Le bibliomane est atteint d'un TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif) appelé "La bibliomanie".
Personnellement, je n'ai par exemple jamais déballé un livre acheté sous plastique scellé, même après plus de 30 ans. Et je n'ai, de toutes façons, de manière générale, pratiquement lu aucun de mes livres, de crainte de les abîmer, préférant emprunter un exemplaire en bibliothèque ou aimablement prêté par l'un de mes libraires...
Bien que possédant des significations fort différentes, ces deux substantifs masculins paronymiques sont malheureusement souvent confondus :
Le "Déboisage" désigne en effet : l'action de dégarnir une galerie de mines, un puits de mine ou une construction de son soutènement en bois ; de défaire un boisage, un coffrage, d'enlever les poteaux et les planches.
tandis que le "Déboisement" désigne :
au sens propre :
l'action de déboiser, c'est à dire : dégarnir un terrain des bois qui le couvraient,
On dit par exemple : "Cette vallée est en plein déboisement".
ou : le résultat de cette action.
On dit par exemple : "Le déboisement de cette région est une catastrophe".
Il s'agit du nom colonial de la localité algérienne de Béchar, située dans le Sud-oranais.
Située à 1 150 km au Sud-Ouest de la capitale Alger, à 852 km au Nord-Est de Tindouf et à environ 80 km à l'Est de la frontière marocaine, elle est la plus grande ville du Sud-Ouest algérien, et sa population est de 172 000 habitants.
"Colomb" était le nom de l'officier français qui la découvrit en 1870 : le général Louis Joseph Jean François Isidore de Colomb (6 janvier 1823 - 18 novembre 1902).
Ce militaire effectua toute sa carrière en Algérie, où il se distingua à plusieurs reprises. Général de Division, il commanda le 15ème Corps d'Armée et fut mis à la retraite en 1888.
La prise du Ksar Béchar datant de 1903, et la mort du Général Colomb en 1902 incita les autorités françaises à lui donner son nom.
L'aventure spatiale française a débuté à Colomb-Béchar
C'est en effet depuis l'Algérie que la France devint la troisième puissance spatiale avant de rendre les clés de ses champs de tir sahariens le 1er juillet 1967.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les militaires français cherchaient un lieu pour expérimenter de nouveaux systèmes d'armes.
Leur choix se porta sur l'oasis de Colomb-Béchar en Algérie française, dans la partie Ouest du Sahara.
Occupée depuis 1906, la région était une porte ouverte sur le vaste monde saharien. Idéale pour y tester discrètement des missiles sans mettre en danger les populations, celle-ci disposait de grandes richesses minières (charbon, manganèse), d'une main-d'oeuvre qualifiée (française, italienne et espagnole) et d'importants axes de communication (pistes, routes, aérodrome, ligne de chemin de fer "Mer-Niger" jusqu'à Oran).
Véritable havre de prospérité, Colomb-Béchar offrait - du moins pour les Européens - un niveau de vie plus élevé qu'en métropole.
L'armée de terre y implanta le 24 avril 1947 le CEES (Centre d'Essais d'Engins Spéciaux), qui devint l'année suivante un centre interarmées sous le nom de CIEES (Centre Interarmées d'Essais d'Engins Spéciaux). Les premiers champs de tir furent aménagés entre 1949 et 1952.
En pleine guerre d'Algérie, entre 1959 et 1963, quatre champs de tir supplémentaires spécifiques furent aménagés à "Hammaguir", un endroit plat, situé en plein désert, à 120 km au Sud-Ouest de Colomb-Béchar. "Hammaguir" est un mot inventé créé par les militaires français, à partir du mot arabe "Hamada", désignant les plateaux du Sahara et de "Guir", un oued voisin :
"Bacchus" pour les fusées-sondes à propergols liquides et solides (Agate, Bélier, Centaure, Dragon, Rubis, Topaze, VE10 Aigle),
"Blandine" pour les fusées-sondes à propergol liquide (Véronique, Vesta),
"Béatrice" pour des engins testés en coopération (sol-air Hawk américain, fusée Cora pour le lanceur européen Europa),
et "Brigitte" pour le lanceur de satellites Diamant A et le programme de fusées expérimentales de la série des Pierres précieuses Agate, Émeraude, et les missiles MSBS M1, Saphir, SSBS S1 ou VE10 Aigle.
Avec l'indépendance algérienne, et malgré la proposition du nouvel État de rester, la France décida de quitter le Sahara. Elle craignait que Hammaguir fît l'objet de pressions et s'imaginait mal procéder à des essais en plein coeur d'un État indépendant. Dès lors, le ministre des Armées Pierre Messmer décida le 4 juillet 1962 de transférer progressivement les essais militaires près de Biscarrosse (40), dans les Landes, au plus tard le 1er juillet 1967.
En 1964, il fut par ailleurs décidé que les lancements spatiaux se feraient à partir de 1967 depuis la Guyane française (973). En attendant, les essais continuèrent et de manière spectaculaire.
Tous les ans, plusieurs centaines d'engins furent expérimentés : des missiles, des fusées météorologiques, des fusées-sondes spatiales (avec parfois à leur bord des petits animaux).
Le 26 novembre 1965 ce fut au tour de la fusée Diamant A de décoller et de placer sur orbite "Astérix", le tout premier satellite français.
La France devint alors la troisième puissance spatiale. Quelques mois avant de rendre les champs de tir, deux fuséees Diamant furent lancés en février 1967. Puis les activités de lancement déclinèrent rapidement. Vint ensuite le temps du démantèlement ; tous les instruments de mesure, de suivi et les matériels de télécommunication furent ramenés en métropole.
Le 1er juillet 1967, le général Yves Hautière, le dernier directeur du CIEES, remit officiellement les champs de tir aux autorités algériennes, ainsi que le prévoyaient les accords d'Évian signés en mars 1962.
Une page se fermait, après que plus de 270 fusées aient été lancées depuis ce site.
Bien que le site soit inhabité depuis 45 ans, les installations sont toujours en place et notamment le pas de tir de la fusée Diamant.
Sources : www.capcomespace.net, gw.geneanet.org, military-photos.com et lhistoire.fr
Il s'agit d'une lésion cutanée d'origine ischémique liée à une compression des tissus mous entre un plan dur et les saillies osseuses.
Nos amis québecois parlent d'ailleurs de "Plaie de pression".
Cette lésion inflammatoire de la peau peut aboutir à une nécrose localisée. L'escarre apparaît sous la forme d'une rougeur, qui fonce pour devenir noire. La peau nécrosée disparaît alors pour laisser place à un ulcère, laissant les tissus sous-jacents à découvert : muscles, tendons, parfois jusqu'à l'os !
Je puis vous assurer avoir eu toutes les peines du monde pour parvenir à trouver deux illustrations pas trop effrayantes, la toile regorgeant de visions d'épouvante, pour ceux que cela intéresse.
Ce substantif féminin désigne ce que l'on appelle communément "La mauvaise haleine", c'est à dire : une haleine dont l'odeur est désagréable, voire incommodante.
Cette nuisance très fréquente atteint environ la moitié de la population adulte du monde occidental.
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Avoir mauvaise haleine".
Un cyclotophyle collectionne… les voitures à pédales.
Ces jouets à destination des enfants se sont développés avec la multiplication des vraies automobiles, nombre de petits garçons rêvant d’imiter leurs papas ou les coureurs, au volant d’un modèle à échelle réduite du véhicule familial ou d’une voiture de course.