Ce mot du registre familier désigne un arceau métallique, parfois hérissé de piquants, destiné à préserver les angles des murs de l'urine des passants.
Plus ou moins efficaces, il en existe de très nombreuses variations.
Richesse et défense de la langue française
Cette collection réunit l’ensemble de mes articles consacrés à ces mots, locutions et expressions du registre familier utilisés dans la vie de tous les jours, dans les conversations non formelles.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 1 472
Ce mot du registre familier désigne un arceau métallique, parfois hérissé de piquants, destiné à préserver les angles des murs de l'urine des passants.
Plus ou moins efficaces, il en existe de très nombreuses variations.
Cette expression désigne :
Comme pour tout ce qui a trait au sexe, mais davantage encore cette fois sans doute, le registre argotique est extrêmement riche pour désigner les testicules, puisque l'on peut tout aussi bien évoquer "les balloches" que "les ballutrines", "les boules", "les burnes", "les couilles", "les glaouis", "les grelots", "les joyeuses", "les roubignoles", "les roupettes", "les roustons" ou "les valseuses".
Le registre familier nous offre "les bonbons", "les choses de la vie" et "les coucougnettes". Ainsi que l'anglicisme "les balls".
Ainsi que cinq idiotismes avec des noms de fruits et légumes : "les noisettes", "les noix", "les olives", "les pruneaux" et "les prunes".
Voire six, si l'on prend en compte l'expression argotique "Avoir les patates au fond du filet".
Et trois autres idiotismes alimentaires : "les chouquettes", "les amourettes" et "les rognons" ; ces deux derniers désignant des testicules d'animaux.
Étonnamment, le langage courant ne nous propose aucun mot !
Tandis que nous en trouvons tout de même trois dans le registre soutenu, avec "les bourses", "les gonades" et "les parties" ou "les parties génitales".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Les organes génitaux masculins".
les « testiboules », les « couillasses », les « castagnettes », les « roubignoles », les « sac à jus », les « raisins secs », les « précieuses », les « bouboules », les « boulettes », la « paire sacrée ».
On répugne souvent à évoquer le pénis et les deux testicules, lesquels constituent, réunis, "l'appareil génital masculin" (langage courant).
Certains parlent des "attributs masculins", "des attributs sexuels", des attributs virils" et d'autres des "parties génitales", "des parties intimes" ou "des parties viriles" (registre soutenu),
D'autres encore évoqueront simplement, par ellipse, les seuls "attributs" et "parties".
Les plus nombreux utilisent cependant les formules "les bijoux de famille" ou "le service trois pièces" (registre familier) voire "le bazar" ou "le paquet" (registre argotique).
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Les testicules".
Cet adjectif invariable et péjoratif du registre familier signifie "lourd, épais, massif, sans grâce", en parlant généralement de formes.
On dit par exemple : "Ta nouvelle table basse est sympa mais un peu mastoc à mon goût".
Cette expression étrange du registre familier signifie, selon le contexte :
Elle trouve son origine dans la croyance populaire en vertu de laquelle appliquer le poil d’une bête ayant mordu quelqu'un sur la plaie permettrait de guérir celle-ci.
Source : www.expressio.fr et wikipedia.org
On parle par exemple de "vêtements d'enfants tout pisseux".
On parle par exemple d'un "vieux papier peint pisseux".
On dit par exemple : "Ce pisseux s'était réfugié aux toilettes tant il avait eu peur de l'orage !".
Voir également mon article "Pisseuse" ou "Une pisseuse".
Cette locution nominale du registre familier, qui ne s'emploie plus beaucoup, sinon par les personnes très âgées, désigne le prénom.
On dit par exemple : "Vous êtes bien jolie mademoiselle... et c'est quoi votre petit nom ?".
Cette locution verbale relève du registre familier.
Elle constitue une corruption de "C'est un prêté rendu", qui signifie "C'est une juste compensation, une juste revanche".
Et elle s'utilise lorsque l'on veut évoquer un tour que l'on vient de jouer à quelqu'un et qui vaut bien celui dont on été au préalable victime de son fait.
On dit par exemple : "Comme sa copine l'a trompé avec un de ses voisins, il a couché avec une autre fille : c'est un prêté pour un rendu".
L'expression "Rendre la monnaie de sa pièce" est assez proche de "C'est un prêté pour un rendu".
Ce mot en forme de gémination du registre familier désigne une transaction dans laquelle on accepte de donner une chose en en recevant une autre, sans que la notion de générosité entre en ligne de compte, comme ce peut être le cas avec l'échange de bons procédés.
C'est donc uniquement parce que l'un a fait ceci que l'autre fera cela.
On dit par exemple : "Si tu veux que je t'aide pour ton devoir de français, tu m'aides à ranger ma chambre : c'est donnant-donnant !".
Je déteste cette expression du registre familier en forme d'ellipse d'un usage relativement récent et de plus en plus couramment utilisée, il me semble.
On utilise cette formule pour signifier que l'on a les poils qui se hérissent, du fait de l'émotion qui est la nôtre ; phénomène très proche de celui que l'on qualifie ordinairement de "chair de poule".