Ce verbe signifie :
- piquer avec le bec, picorer,
- et, dans le registre familier, manger.
Richesse et défense de la langue française
Cette collection réunit l’ensemble de mes articles consacrés à ces mots, locutions et expressions du registre familier utilisés dans la vie de tous les jours, dans les conversations non formelles.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 1 472
Ce verbe signifie :
J'aime bien cette locution verbale, qui relève du registre familier.
Et qui signifie : cela ne correspond pas à mes valeurs, à mes manières habituelles d’être ou d’agir.
On dit par exemple : "Les fidèles lecteurs de J'aime les mots le savent bien, ce n'est pas le genre de la maison que de critiquer la façon dont parlent mes contemporains".
Source : wikipedia.org
C'est au célèbre chansonnier et écrivain français Aristide Bruant, que nous devons cette expression du registre familier, qui signifie "Sans aucune valeur".
On dit par exemple : "Aller à la mer à bicyclette ? Encore une de tes idées à la noix, mon pauvre Jean-Louis !".
Ce mot italien constitue, selon le contexte :
L'adjectif féminin "pétantes" s'utilise sous la forme (une heure) + "pétantes", pour qualifier une ponctualité exemplaire :
On dit par exemple : "Il est arrivé à 20 heures pétantes".
Comme souvent, différents registres de langue s'offrent à vous pour ce faire.
Depuis le "petit branleur" ou le "petit con" (registre argotique), à la "canaille" ou au "sacripant" (registre familier).
Vous disposez également "chenapan", du "galopin", du "garnement", du "malappris" et du "vaurien" (registre désuet).
Ainsi que de la "crapule" (langage courant).
Et du célèbre "sauvageon", cher à Jean-Pierre Chevènement.
On utilisait jusque dans les années 1980 l'expression "Être mannequin chez Olida", qui appartenait au registre familier et relève désormais également du registre désuet.
Dans le registre familier, on peut aussi utiliser les adjectifs "Grassouillet/te", "Rond/e", Rondelet/te" ou "Rondouillard/e".
Ainsi que la locution verbale "Avoir de la bedaine", "Avoir du bedon", "Avoir du bidon" ou "Avoir du bidou".
On peut également recourir aux locutions "Bien en chair", "En formes" et "Un peu fort/e", ainsi qu'aux adjectifs "Bedonnant/e", "Confortable", "Dodu/e", "Enrobé/e", "Pansu/e", "Rembourré/e", "Rond/e" et "Ventru/e", qui relèvent du langage courant.
Ou aux locutions verbales "Accuser un poids excessif", "Avoir de l'embonpoint", "Avoir du ventre", "Être de forte corpulence", "Être une personne forte" et "Présenter un poids trop élevé".
Enfin, nous trouvons dans le registre soutenu, le superbe adjectif "Ventripotent/e".
Enfin, dans le registre soutenu, on peut utiliser l'adjectif "Replet/ète" et la locution verbale "Être en surcharge pondérale".
Sur un thème contigu on peut consulter l'ensemble des façons de dire "Une fille laide".
Et je précise, pour l'anecdote, à l'attention de nos amis étrangers, qu'une somme d'argent peut-être "Rondelette" (ou "Coquette"), mais en aucune façon "Grassouillette", "Rondouillarde", "Dodue", "Enrobée", "Rembourrée", "Ronde" ou "Replète" !
Cette locution désigne, au sens figuré, un raisonnement, une histoire, une explication difficile à croire, abracadabrante, paraissant compliqué ou peu logique, peu naturel.
On dit par exemple : " J'ai patiemment écouté ton grand-père me raconter ses exploits militaires mais son récit était vraiment tiré par les cheveux".
Pour ma part, je préfère utiliser le mot savant "Capillotracté".
Ces deux locutions des registres familier et normal désignent une personne manquant du strict nécessaire et n’ayant même pas de quoi manger.
Ces différentes locutions du registre familier en forme d'idiotisme animalier signifient toutes "Ce n'est pas bien grave, ce n'est pas très important".
On dit par exemple :
Ces deux locutions du registre familier réunissent un adjectif qualificatif et l'apocope d'un substantif.
Il existe de très nombreuses façons d'évoquer des "précipitations abondantes" en français dans le langage courant.
On parle par exemple de "forte averse", de "trombes d'eau" ou de "pluie battante". Et l'on utilise les formules "un temps à ne pas mettre le nez dehors" ou "un temps à ne pas sortir".
Plusieurs expressions utilisent le verbe"tomber".
On dit ainsi "tomber des cordes" ou "tomber des hallebardes". Mais aussi "tomber comme à Gravelotte".
Les mêmes expressions s'utilisent avec le verbe "pleuvoir" et l'on parle donc de "pleuvoir des cordes", de "pleuvoir des hallebardes" ou de "pleuvoir comme à Gravelotte".
Mais on dit également "pleuvoir à boire debout" ou "pleuvoir à seaux".
Les expressions "pleuvoir à torrents", "pleuvoir à verse", "pleuvoir à flots", "pleuvoir fort", "pleuvoir très fort" ou "pleuvoir comme grêle" sont tout aussi parlantes.
Mais la plus évocatrice est sans conteste "pleuvoir comme vache qui pisse" (registre vulgaire). Et la plus simple : "flotter" (registre argotique).
Dans le domaine des idiotismes animaliers, on peut également évoquer, dans le registre familier : "un temps d'escargot", "un temps de chien" ou "un temps à ne pas mettre un chien dehors". Et, bien sûr, la célèbre "fête à la grenouille".
On compte également différentes expressions régionales telles que "dracher" (dans le Nord ou chez nos amis Belges), "gloyer" (dans les Ardennes) ou "mouiller" (dans l'Ouest).
Et nos amis québecois parlent de "mouiller à siaux" ou de "pleuvoir à siaux", tandis que nos voisins helvétiques utilisent le verbe "roiller" et nos amis québecois "mouiller".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mes articles consacrés à toutes les façons de dire "Pleuvoir légèrement" et "Une pluie abondante" en français.