Il s'agit du pseudonyme choisi par une personne du monde du spectacle pour se produire sur scène : acteur, chanteur ou humoriste.
Par exemple : "Johnny Hallyday" pour Jean-Philippe Smet ou "Bob Sinclar" pour Christophe Le Friant.
Richesse et défense de la langue française
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Il s'agit du pseudonyme choisi par une personne du monde du spectacle pour se produire sur scène : acteur, chanteur ou humoriste.
Par exemple : "Johnny Hallyday" pour Jean-Philippe Smet ou "Bob Sinclar" pour Christophe Le Friant.
Il s'agit d'un registre de langue utilisant de manière abondante des mots ayant rapport aux excréments ; qu'il s'agisse :
Le registre scatologique se confond souvent avec le registre vulgaire ("Va chier !", "Je t'emmerde !", etc.) ou avec le registre argotique ("C'est de la merde !", "Il est chiant", "Je m'emmerde", etc.).
Plus rarement avec le registre familier ("Crotte de bique !", "C'est de la crotte", "Ma crotte", etc.)
Exceptionnellement avec le langage courant ("Être tout crotté").
Et occasionnellement avec le langage enfantin ("C'est caca !", "Faire caca", etc.).
Il s'agit d'un participe présent devenu adjectif.
Comme tout adjectif, il exprime une qualité ou un état, et il s'accorde en genre et en nombre avec le nom auquel il se rapporte.
Exemple : "Un garçon fatigant" et "Des garçons fatigants".
Cet adjectif qualifie les mots désignant indifféremment l’un ou l’autre des deux sexes, mâle ou femelle, et ce sans que la forme varie.
Pour l'anecdote, la romancière belge Amélie Nothomb, fervente adepte des titres originaux ("Hygiène de l'assassin" en 1992", "Les catilinaires" en 1995, "Métaphysique des tubes" en 2000 ou "Cosmétique de l'ennemi" en 2001") a publié, en août 2018, son 27e roman sous le titre "Les prénoms épicènes".
En linguistique, et plus précisément en lexicologie, étymologie et linguistique comparée, "Un calque" est un type d'emprunt lexical consistant à traduire littéralement un mot d'une langue à une autre, en s'inspirant davantage de sa lettre que de son esprit.
Exemples de calques :
Ce mot latin du registre soutenu - qui se prononce "i-a-tus" et non "yatus" - désigne :
Par exemple : "AÉrer", "ÉOlienne" ou "rÉUssir".
Par exemple : "elle A Été" ou "il A Oublié".
On dit par exemple : "On constate un hiatus entre les discours tenus et les réalisations concrètes".
Source : www.larousse.fr et wikipedia.org
Il s'agit d'une brève exclamation, plus ou moins grossière, vulgaire ou blasphématoire, dont on se sert pour donner une intensité particulière à un discours.
Que cela soit pour exprimer ce qu'on ressent face à une situation donnée, pour manifester sa colère, son indignation ou sa surprise (dans ce dernier cas il fera office d'interjection) ou encore pour donner de manière générale plus de force à un propos.
Un juron peut éventuellement être interprété comme une insulte selon les circonstances dans lesquelles il est proféré.
Cependant, de façon générale, le juron est une réaction devant une situation et ne vise pas, en principe, un destinataire particulier.
Exemple de jurons : "Crotte !" (registre familier), "Sacré nom d'une pipe !" (registre populaire), "Merde !" ou "Nom de Dieu !" (registre argotique et blasphématoire), "Bordel de merde !" (registre vulgaire).
Source : wikipedia.org
Ce mot désigne une forme linguistique exprimant une intention tendre ou affectueuse.
"Soeurette", "Frérot", "Mimile" et "Pierrot" sont des hypocoristiques de "Soeur", "Frère", "Émile" ou "Pierre".
"Chienchien" ou "Fifille" sont des exemples de redoublement hypocoristique.
Ces cinq termes désignent des notions assez proches et, de ce fait, difficiles à distinguer et souvent confondues.
J'ai essayé de préciser brièvement ce qui les distingue les unes des autres, tout en étant conscient de la difficulté de l'exercice.
Et voici le résultat de mes recherches :
On dit par exemple : "Nous devrions tous veiller à avoir une articulation correcte ! Et nous efforcer de systématiquement dire "Je re.viens sa.me.di pro.chain" et non pas "Je r'viens sam'di prochain", comme nous avons malheureusement trop souvent tendance à le faire !".
Je vous recommande à ce sujet la lecture des articles de ma collection : "Les mots ne sont pas comestibles : cessons donc de les avaler".
On dit par exemple : "Une bonne articulation est indispensable pour avoir une bonne diction".
On dit par exemple : "Quelqu'un qui a "Un cheveu sur la langue" a un défaut d'élocution". Alors que l'on devrait plutôt - à mon sens - parler de "Défaut de diction" !
Mais également : "Je trouve très plaisante l'élocution de cet extraordinaire comédien qu'est Fabrice Luchini".
On dit par exemple : "Connaître par coeur un poème est une chose. Mais être capable de le déclamer avec la bonne intonation est une autre paire de manches !".
On dit par exemple : "Cet homme politique est un orateur né : la prononciation de ses discours est toujours excellente".
Mais : "Euphémique" et "Euphémiques" !
"Euphémistique" est un calque de l'anglais "Euphemistic" !
Cet adjectif qualifie ce qui appartientient à l'euphémisme, figure de pensée par laquelle on adoucit ou atténue une idée dont l’expression directe aurait quelque chose de brutal, de déplaisant.
Lorsque l'on dit par exemple : "Une longue et pénible maladie" pour "Un cancer" ou "Remercier quelqu’un" pour "Le licencier".
J'adore ce terme du registre soutenu désignant :
Source : www.cnrtl.fr
Il s'agit d'une figure de style, consistant à employer dans une même phrase des mots (les "Paronymes") dont le son ou l'orthographe est à peu près semblable, mais le sens différent.
La paronomase est fréquemment employée dans les expressions, les proverbes ou les slogans publicitaires :