Cet adjectif du registre soutenu caractérise les sécrétions produites en abondance ou une éruption cutanée généralisée et disséminée.
On dit par exemple : "Les phobies provoquent souvent des suées profuses".
Richesse et défense de la langue française
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Cet adjectif du registre soutenu caractérise les sécrétions produites en abondance ou une éruption cutanée généralisée et disséminée.
On dit par exemple : "Les phobies provoquent souvent des suées profuses".
Ce substantif féminin désigne la peur irraisonnée des avions et du transport aérien.
Cette maladie névrotique se caractérise par une peur intense et incontrôlable au moment de prendre l'avion.
Les symptômes sont ceux de toutes les phobies : l'apparition systématique de troubles somatiques comme une tachycardie, des suées profuses, voire des pertes de connaissance.
Ces troubles apparaissent au moment de la montée dans l'appareil, du décollage et de l'atterrissage, durant le vol lui-même ou parfois, à la seule idée de prendre un avion.
À l'opposé, il existe au contraire des personnes que les avions et le transport aérien excitent sexuellement !
Source : www.futura-sciences.com
On dit par exemple : "Le médecin ausculte ses patients avec un stéthoscope".
On dit par exemple : "Les analystes vont ausculter le marché financier au lendemain de cette élection" ou "Cet un ouvrage est très ancien et il convient de l'ausculter avec précaution".
On dit par exemple : "L'auscultation de la société sera effectuée par un organisme extérieur".
Source : www.larousse.fr
Ces différentes appellations désignent une pathologie psychiatrique. Ce TCA se caractérise par un besoin irrépressible de boire constamment, essentiellement de l'eau.
La victime, appelée "potomane" boit tout liquide à sa portée, jusqu'à plus de dix litres par jour.
Cette consommation excessive peut devenir mortelle, car il est impossible pour l'organisme de tout assimiler. La potomanie génère une sécrétion d’urine en quantité abondante, et donc une augmentation du volume urinaire au-delà de 2,5 l par jour, appelée "Polyurie".
Au-delà de dix litres par jour l'apport hydrique des cellules aboutit à une diminution de la quantité de sel à l'intérieur du sang, pouvant générer un oedème au sein du cerveau, lequel peut s'accompagner de troubles neurologiques parfois très sévères.
Source : wikipedia.org
De nombreuses personnes semblent confondre ces deux notions.
En sorte que le "Tiers-payant" est un dispositif permettant - dans le cadre d'une convention préalable et valide, éventuellement assortie de conditions - à l'acheteur d'un bien et/ou au bénéficiaire d'une prestation d'en voir le règlement acquitté par une "tierce" personne ou un organisme "tiers".
En matière d'Assurance Maladie, le "tiers-payant" dispense donc le bénéficiaire de faire l'avance des frais médicaux.
Par exemple pour ce qui concerne les soins pris en charge au titre de la maternité ou d'une ALD (Affection de Longue Durée).
On parle également de "Quote-part personnelle" ou d’"Intervention personnelle", pour désigner cette part, qui est prise en charge - de façon partielle ou intégrale - par la mutuelle dont dispose éventuellement le patient.
Source : wikipedia.org
Ces deux substantifs masculins désignent : un médicament destiné à traiter les mycoses, qui sont des infections provoquées par des champignons microscopiques.
La sage-femme - qui n'est pas médecin - ne doit pas être confondue avec l'obstétricien ou gynécologue-obstétricien, qui a pour spécialité médico-chirurgicale l'étude et la prise en charge de la grossesse et de l'accouchement.
En France la profession est ouverte aux hommes depuis 1982, ce qui a occasionné la création de nombreuses appellations nouvelles destinées à ces praticiens masculins.
Source : www.larousse.fr
Il s'agit d'un "Trouble du Comportement Alimentaire" ou "Trouble des Conduites Alimentaires".
Ce type de trouble en rapport à l'alimentation se présente sous des formes diverses et peut apparaître à tout âge, notamment les adolescents et les jeunes adultes.
Ils sont très fréquents et peuvent survenir chez n'importe quelle personne. Ils peuvent être reliés, plus rarement, à des troubles psychiques plus sévères comme les dépressions, les psychoses (délire d'empoisonnement) ou traduire un fonctionnement limite ("borderline") et/ou addictif.
Source : wikipedia.org
Il s'agit du nom usuel des deuxième et quatrième orteil, dans le langage courant.
Sur un sujet contigu, je vous recommande la lecture de mon article consacré aux noms des autres orteils ou "doigts de pied".
Source : wikipedia.org
Cette étrange locution nominale résulte du fait que, durant cette phase du sommeil, l’individu présente simultanément des signes de sommeil très profond ET des signes d’éveil.
Cet adjectif qualifie ce qui est relatif ou causé par un champignon.
On dit par exemple : "La victime avait succombé à une intoxication fongique : elle avait mangé des champignons vénéneux".
Ce substantif masculin désigne l'instrument médical utilisé par les médecins pour l’auscultation du coeur et des poumons.
Devenu le symbole même de la profession de médecin, le stéthoscope a été inventé en 1816 par un français, le docteur René -Théophile-Hyacinthe Laennec (17 février 1781 - 13 août 1826).
Laennec est le fondateur de la pathologie pulmonaire moderne. Il fut élève puis collaborateur de Jean-Nicolas Corvisart (1755-1821).
En 1816, il est nommé médecin en chef à l’hôpital Necker à Paris et fait des recherches sur les maladies pulmonaires. Il invente, cette même année, un instrument pour permettre de mieux entendre les bruits du thorax par la technique de percussion mise au point par le médecin autrichien Léopold Avenbrugger (1722-1809).
L’idée lui serait venue en observant des enfants qui jouaient dans la cour du Louvre : ceux-ci se parlaient à travers une poutre en bois. Laennec étant par ailleurs musicien (il jouait de la flûte traversière), il est probable que ses dons musicaux ne sont pas étrangers à l’invention du stéthoscope.
Au début, l’instrument se présente comme un simple rouleau de papier ficelé en forme de cylindre. Il collait son oreille à une extrémité pour écouter la cage thoracique du patient. Il crée ainsi l’auscultation médiate, à l’aide d’un instrument, contrairement à l’auscultation immédiate, en collant directement l’oreille à la poitrine. L’objectif est double : la pudeur et la performance. Ainsi, le médecin garde une distance avec la poitrine du patient et surtout de la patiente et l’éloignement s’avère, aussi, plus efficace pour écouter l’intérieur de la poitrine et les bruits pathologiques (battements du coeur, râles, épanchements, liquide…). Le diagnostic est ainsi posé de manière plus précise.
À partir de la nature des bruits, Laennec établit une classification des maladies pulmonaires toujours utilisée aujourd’hui !
Il construisit lui-même de premiers modèles en bois creux, qu'il nomma d'abord "Cylindre", puis "Pectoriloquie" et enfin "Stéthoscope", du grec "stethos" ("poitrine") et "scope" ("observer").
Le docteur Laennec présente le 29 juin 1818 à l’Académie royale des sciences son "Mémoire sur l'auscultation à l’aide de divers instruments d’acoustique, employés comme moyen d’exploration dans les maladies des viscères thoraciques, et particulièrement dans la phtisie pulmonaire". L'année suivante, en 1819, il publie le résultat de ses recherches dans un traité en deux tomes, trois ans après la découverte du stéthoscope : "De l’auscultation médiate ou Traité du diagnostic des maladies des poumons et du coeur, fondé principalement sur ce nouveau moyen d'exploration".
L’accueil fut mitigé. Le docteur Jean Noël Hallé (1754-1822) dit son admiration ainsi que François-René de Chateaubriand (1768-1848), tandis qu’une partie de la presse médicale le railla, parlant même de charlatanisme. Le cylindre fut l’objet de nombreuses plaisanteries.
Laennec a inventé l’auscultation médiate avec le stéthoscope, mais l’idée de l’auscultation et de l’observation revient historiquement à Hippocrate (460-377 av. J.-C) à qui il avait consacré sa thèse de doctorat en 1804.
Cette pratique née à l’hôpital Necker à Paris (75) en 1816 se répandit rapidement, presque partout dans le monde, et l’instrument connaîtra plusieurs évolutions techniques.
Sources : gallica.bnf.fr