Ainsi qu'a lamentablement pu le déclarer, le 12 mars 2023, le journaliste français Adrien Gindre, dans l'émission "En toute franchise", qu'il présentait, sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Mais simplement, en français : "On PARLE DE plusieurs dizaines VOIRE CENTAINES DE KILOMÈTRES" !
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 19 mars 2023, le journaliste français Renaud Pila, dans l'émission "20H Darius Rochebin", sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Et pas simplement, en français : "LE SPECTACLE CONTINUE !" !
Ainsi qu'à pu le déclarer, début mars 2023, la journaliste sportive française Carine Galli, dans l'émission "L'Équipe de Greg", qu'elle présentait sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Cette homophonographie ne manque pas d'étonner nos amis étrangers ou nos jeunes enfants.
"Un casque" est en effet un substantif masculin, qui désigne, dans le langage courant :
au sens propre :
une coiffure rigide (de métal, de cuir, de plastique) qui couvre et protège la tête.
On parle ainsi de :
casque militaire,
casque de policier,
casque anti-émeutes,
casque de pompier,
casque de motocycliste,
casque cycliste,
casque de chantier, etc.
ou : un dispositif se portant sur la tête.
On parle ainsi de :
casque audio : appareil d'écoute radiophonique ou téléphonique comprenant deux écouteurs montés sur un support formant serre-tête,
casque de réalité virtuelle,
ou de casque de coiffure : appareil électrique soufflant de l'air chaud pour sécher les cheveux.
en botanique, chez diverses fleurs, : la partie supérieure de la corolle, recourbée en casque,
en boucherie : la partie du mouton comprenant les épaules, les côtelettes découvertes, le collet et la poitrine,
en héraldique : l'ornement extérieur de l'écu (ou "Heaume"), qui se place au-dessus de celui-ci,
et enfin, en zoologie : un mollusque gastropode des mers chaudes, à coquille très épaisse et bossuée, recherchée pour fabriquer des camées.
et au sens figuré : une abondante et belle chevelure, le plus souvent féminine.
"Casque d'or" était ainsi le surnom - en référence à leur abondante chevelure blonde - de :
la prostituée française Amélie Élie, interprétée par l'actrice française Simone Signoret, dans le film français "Casque d'or", réalisé en 1952 par Jacques Becker.
ainsi que du champion de rugby français Jean-Pierre Rives.
tandis que "Casque" est laforme conjuguée, à la troisième personne du singulier et au présent du verbe "Casquer", qui relève du registre populaire.
Et qui signifie : donne de l'argent, paye, fait les frais.
On dit par exemple : "Vas-y régale-toi : c'est moi qui casque !".
Ou : "Tu n'as que quinze ans, donc c'est moi qui casque pour toutes tes bêtises, et je suis poli !".
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 19 mars 2023, l'ancien joueur de football international franco-polonais Ludovic Obraniak, dans l'émission vespérale "L'Équipe du Soir", sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Mais : "C'est TOUT SIMPLEMENT impardonnable", "C'est TOUT SIMPLEMENT impossible", "C'est TOUT SIMPLEMENT inadmissible" et "C'est TOUT SIMPLEMENT insupportable" !
Ainsi qu'a lamentablement pu le déclarer, le 19 mars 2019, la sénatrice française Les RépublicainsCatherine Dumas, sur la chaîne de télévision publique française public Sénat.
Mais : "Ce qui a pour conséquence immédiate de GÉNÉRER ces mouvements de foule" et "Les 17 premiers épisodes ont GÉNÉRÉ un manque à gagner de" !
Cette pauvreté de vocabulaire est, pour moi, indigne d'un élu de la Nation.
Ainsi qu’a pu le déclarer, le 21 mars 2023,le journaliste français Éric Brunet, dans l’émission "Brunet, Hammett et compagnie", qu'il animait, sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Toutes mes félications à l'actrice franco-finlandaise Nadia Tereszkiewicz, née le 24 mai 1996, pour avoir conserver son nom patrimonial d'origine polonaise, pourtant si difficile à écrire pour un français.
Après plusieurs seconds rôles au cinéma et à la télévision, elle obtient un succès critique pour son rôle de Stella dans le drame semi-biographique "Les Amandiers", qui lui vaut le César du meilleur espoir féminin, en 2023.
La première apparition de Nadia Tereszkiewicz est une figuration en 2016 dans "La Danseuse" de Stéphanie Di Giusto.
En 2019, elle tient le rôle principal dans le film "Sauvages" de Dennis Berry et elle joue dans "Persona non grata" de Roschdy Zem et "Seules les bêtes" de Dominik Moll.
Elle reçoit le prix de la Meilleure actrice à Tokyo pour "Seules les bêtes" et fait partie des révélations aux Césars 2020. La même année, elle joue aux côtés de Reda Kateb dans la série "Possessions", diffusée sur Canal + et elle est présente dans deux épisodes de la quatrième saison 4 du feuilleton français "Dix pour cent".
En 2022, l'actrice et réalisatrice Valeria Bruni-Tedeschi lui confie le premier rôle de son film "Les Amandiers", présenté en compétition au festival de Cannes. Elle incarne le double de la réalisatrice lorsque celle-ci faisait partie de la troupe des Amandiers dirigée par Patrice Chéreau. Sa prestation lui vaut le César du meilleur espoir féminin 2023.
Ainsi qu'a lamentablement pu le déclarer - à deux reprises ! - le 21 mars 2023, le journaliste français Renaud Pila, dans l'émission "Brunet, Hammett et compagnie", sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.