Tel est le nom anglais de l'enseigne française de boutiques de réparation de téléphones portablesfondée en 2015 par le français Damien Maurin, à partir de la boutique Save my smartphonecréée à paris (75) en 2013.
Cette enseigne a été rachetée en 2017 par Remade group.
Puis, en 2019, par Point Service Mobiles, devenant l'unique nom du "premier réseau français agréé par les constructeurs dédié à la réparation immédiate de smartphones et objets connectés", regroupant 186 magasins, dont une centaine en franchise.
Point Service Mobiles avait été créée en avril 2010 par Martine Bocquillon et son premier magasin avait ouvert le 4 décembre 2006, à Paris (75), place de la Nation.
Sources : www.lsa-conso.fr et www.toute-la-franchise.com
"La Gaule transalpine" (Gallia Transalpina ou Gallia Ulterior en latin) désigne une région comprenant presque la presque totalité des Gaules, à l'exclusion de la "Gaule cisalpine".Le terme signifie en effet, du point de vue romain, donc depuis l'Italie actuelle : "Gaule au-delà des Alpes". Par opposition avec la "Gaule cisalpine", qui était avant les Alpe.
Après la conquête par les Romains de la partie méridionale de cette région (correspondant approximativement aux régions actuelles de Languedoc-Roussillon, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Rhône-Alpes), entre 122 et 118 av. J.-C., le nom de Gallia Transalpina tend à ne plus désigner que la partie conquise.
Celle-ci ne prit le statut de province de la République romaine que bien après la conquête, dans les années 70 av. J.-C.
Et ce n'est que plus tard encore que cette région prit le nom de "Narbonnaise", sous Auguste.
L'autre partie fut conquise entre 58 et 51 av. J.-C. par Jules César, lors de la Guerre des Gaules, et prit le nom, attesté seulement après César, de Gallia comata, "la Gaule chevelue".
tandis que "La Gaule cisalpine" est la partie de la Gaule couvrant l'Italie du Nord, également appelée "Gaule citérieure" (en latin : Gallia Cisalpina, Gallia Citerior, Gallia togata ou Provincia Ariminum), ainsi nommée par les Romains en raison de sa position en deçà des Alpes (par opposition à la Gaule transalpine, s'étendant au-delà).
La "Gaule cisalpine" (Gallia Cisalpina) est à l'origine le terme utilisé pour dénommer certaines parties du Nord de l'Italie, qui ont vu s'installer des tribus celtes arrivant de l'autre côté des Alpes : la "Gaule cispadane" (Gallia Cispadana) et la "Gaule transpadane" (Gallia Cispadana).
Il fut étendu plus tard, au XIXe siècle, pour désigner l'ensemble de l'Italie du Nord, peuplé de populations diverses.
Localisation
Le territoire de la Gaule cispadane couvrait approximativement l'actuel territoire de l'Émilie-Romagne.
Tandis que le territoire de la Gaule transpadane couvrait approximativement les actuels territoires du Piémont (la partie au Nord du fleuve du Pô), de la Lombardie (la partie Ouest) ainsi que de la Vallée d'Aoste.
Et ses limites topographiques étaient : à l'Ouest et au Nord, l'arc alpin ; et au Sud, le Rubicon, et l'Étrurie.
Cette locution verbale se retrouve dans deux niveaux de langue différents :
dans le langage courant tout d'abord :
comme formule de politesse, pour exprimer sa reconnaissance, ses remerciements.
On dit par exemple : "C'est trop... c'est trop pour moi, voyons : il ne fallait pas !".
ou pour dire son indignation et affirmer que sa patience vient à bout.
On dit par exemple : "C'est trop ! Non, non : je n'en supporterai pas davantage !".
Ou : "C'en était trop, monsieur le commissaire : c'est pour ça que j'ai découpée ma femme en rondelles. Je lui avais dis cent fois que je détestais les brocolis".
et dans le registre familier, chez les jeunes, sur le modèle de l'anglais "Too much" : être remarquable dans son genre, susciter l'admiration, l'enthousiasme ; être épatant, formidable, sensationnel, terrible.
On dit par exemple : "J'adore ce mec, il est trop !".
Et pas simplement, en français : "Bon flic/mauvais flic" ou "Gentil flic/méchant flic" !
Cette technique est une tactique psychologique couramment utilisée dans la négociation et les interrogatoires.
Elle implique une équipe de deux négociateurs ou interrogateurs, ayant apparemment une attitude opposée à l'égard de l'interrogé. Selon les moments, le duo peut interroger la personne tour à tour ou simultanément.
Technique
Le "mauvais (ou méchant) flic" prend une attitude agressive et négative à l'égard de l'interrogé, lançant des accusations flagrantes, des commentaires désobligeants, des menaces, etc.
Le sentiment d'antipathie qu'il suscite prépare le terrain pour le "bon (ou gentil) flic", qui agit pour sa part avec bienveillance, semblant apporter un soutien et de la compréhension, voire de la compassion, et faisant ainsi naître un sentiment de sympathie à son égard.
La personne interrogée sent qu'elle peut coopérer avec le "bon (ou gentil) flic", soit parce qu'elle a confiance en lui, soit parce qu'elle a peur du "mauvais (ou méchant) flic". Auquel cas, elle peut rechercher la protection du "bon (ou gentil) flic" et fournir les informations que les enquêteurs recherchent.
Cette technique a cependant ses inconvénients puisqu'elle peut être facilement identifiée et que le "mauvais (ou méchant) flic" peut s'aliéner l'interrogé.
Une technique qui fonctionne
Une étude allemande, réalisée par Francesca D’Errico de l’université d’Uninettuno (Italie) et Cornelia Wrzus de l’université de Mayence (Allemagne), publiée dans Frontiers in Psychology, et repérée par le New York Magazine, en 2017, démontre qu’une personne soumise à des changements émotionnels répétés - c’est-à-dire passer d’un état positif (l'effet "good cop") à un état négatif (l'effet "bad cop") et inversement - est plus encline et plus prompte à se conformer à ce qu’on lui demande.
Une technique très présente dans le cinéma hollywoodien
Je ne résiste pas au plaisir de vous faire découvrir (ou revoir : on ne saurait s'en lasser) cette extraordinaire scène de l'excellent film états-unien "L.A. confidential", réalisé en 1997 par Curtis Hanson.
Avec Russell Crowe dans le rôle du "mauvais (ou méchant) flic" (le "bad cop"), Guy Pearce, dans celui du "bon (ou gentil) flic" (le "good cop") et Ron Rifkin, dans celui du procureur général, se vantant d'avoir pratiquement inventé lui-même la technique du "Good cop/bad cop".
Les plus jeunes l'ignorent souvent, cette phrase, entrée dans le langage courant est à l'origine une réplique de l'homme politique français Laurent Fabius, datant du 5 septembre 1984.
Ce jour là, en effet, dans l'émission "L'heure de vérité", diffusée en direct sur la chaîne de télévision publique française Antenne 2, le journaliste français Alain Duhamel demande à Laurent Fabius, devenu 50 jours plus tôt, le 17 juillet 1984, le second Premier ministre du président François Mitterrand, s'il peut être un chef de gouvernement autonome alors qu'il devient le premier collaborateur de celui dont pour lequel il a toujours travaillé.
Laurent Fabius lui rétorque alors : "Je vais vous faire une révélation : lui c'est lui et moi c'est moi".
Pour voir la vidéo sur le site de L'INA : https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i12048499/laurent-fabius-lui-c-est-lui-et-moi-c-est-moi
Ainsi qu'elle a pu le faire, le 28 février 2023, dans l'émission "L’Équipe de Greg", qu'elle animait ce jour-là, sur la chaîne de télévision française L’Équipe.
J'ai trouvé que l'utilisation de cette charmante interjection provençale, apportait un vent de fraîcheur sur le plateau.
Oui au retour de "Boudiou !" à la télévision et dans les organes d'information français !
Cette locution verbale en forme de périphrase, qui relève du jargon journalistique et du h=jargon politique, désigne : Laurent Fabius.
Né le 20 août 1946, cet homme d'État français, membre du Parti socialiste à partir de 1974, est député de la 2e circonscription de la Seine-Maritime (76) de 1978 à 1981.
Sous la présidence de François Mitterrand, il est ministre du Budget, de 1981 à 1983, puis de l'Industrie et de la Recherche, de 1983 à 1984. Il est nommé, le 17 juillet 1984, Premier ministre, devenant ainsi - et demeurant à ce jour - le plus jeune chef de gouvernement de la Cinquième République.
Il occupe cette fonction jusqu'à la défaite de la gauche aux élections législatives de 1986, et retrouve ensuite son mandat de député de la Seine-Maritime.
Après la victoire de la gauche aux élections législatives de 1988, il est élu président de l'Assemblée nationale. Il doit alors faire face à l'affaire du sang contaminé, dans laquelle il est relaxé mais qui entache durablement sa popularité. Il démissionne de la présidence de l'Assemblée nationale en 1992 pour devenir premier secrétaire du PS. Il quitte la tête du parti un an plus tard, après la défaite de la gauche lors des élections législatives.
La victoire de la "gauche plurielle" aux élections législatives de 1997 lui permet d'accéder à nouveau à la présidence de l'Assemblée. Trois ans plus tard, en 2000, il est nommé ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie dans le gouvernement Lionel Jospin.
Il prend une position minoritaire au sein du Parti socialiste en appelant à voter "non" au référendum de 2005 sur le traité établissant une constitution pour l'Europe. En 2006, il se porte candidat à la primaire socialiste en vue de l'élection présidentielle de 2007, mais il est devancé par Dominique Strauss-Kahn et par Ségolène Royal, qui l'emporte.
À la suite de l'élection de François Hollande à la présidence de la République, il est ministre des Affaires étrangères dans les deux gouvernements Jean-Marc Ayrault, de 2012 à 2014, date à laquelle il voit ses compétences élargies au Développement international au sein du gouvernement Manuel Valls.
En 2016, il quitte le ministère des Affaires étrangères pour devenir président du Conseil constitutionnel, ayant été nommé par François Hollande en remplacement de Jean-Louis Debré.
Vie privée
Fils de l'antiquaire André Fabius, il est le frère de l'antiquaire français François Fabius et de la costumière et chef décoratrice française Catherine Leterrier.
Et il a été marié à la productrice de télévision française Françoise Castro, de 1981 à 2002, puis, à partir de 2002, àla femme d'affaires française Marie-France Marchand-Baylet, présidente du groupe de presse La Dépêche.
Son fils aîné, David Fabius, né en 1978 et mort le 1er septembre 2022, fruit de son union avec Christine d'Izarny-Gargas, son assistante parlementaire, travaillait dans l'audiovisuel.
Le cadet, Thomas Fabius, né le 16 novembre 1981, dirigeant de plusieurs PME, principalement dans les secteurs de l’immobilier et de la gestion d’entreprises, est connu pour ses frasques et démêlés avec la justice.
Et le benjamin, Victor Fabius, né le 15 avril 1983, est directeur associé de McKinsey & Company, à Paris (75).
Ce substantif féminin est polysémique puisqu'il désigne selon le contexte :
dans l'Antiquité romaine : un corps d’infanterie dans la légion romaine ("une cohorte de fantassins"),
par extension, surtout au pluriel, dans le registre soutenu : une troupe armée ("de vaillantes cohortes"),
au sens figuré :
un groupe important de personnes ("une cohorte d'étudiants"),
dans le domaine religieux : l'ensemble des anges, des saints et des bienheureux ("Les saintes cohortes"),
en démographie : un ensemble d’individus ayant vécu un même événement au cours d’une période donnée ("la cohorte des hommes devenu veuf en 2020),
et en biologie : un niveau intermédiaire introduit entre légion et ordre, afin de mieux décomposer l’arbre de la vie entre les classes et les ordres de la classification classique du vivant.