Et pas, en français : "Le TEST DE DISCRIMINATION" ou "Le TEST DE SITUATION" !
C'est à dire : un moyen d'investigation et une forme d’expérimentation sociale en situation réelle, destinés à déceler une situation de discrimination.
C'est à l'homme politique français Jean-Luc Mélenchon que nous devons cette superbe locution verbale en forme d'idiotisme animal, appartenant depuis 2017 au jargon journalistique ainsi qu'au jargon politique.
Et qui désigne : une gêne, un embarras à dire certaines choses, subtilement évoquées de la manière la plus naturelle qu'il soit, afin d'affecter l'innocence.
Il l'a d'abord employé sur son blogue jeanlucmelenchon.fr, lors de la campagne pour les élections régionales de 2010 : "Je n'ai pas non plus de pudeur de gazelle".
Mais surtout, le 21 mars 2017, lors du premier débat télévisé de l'élection présidentielle, opposant les 5 principaux candidats (François Fillon, Benoît Hamon, Marine Le Pen, Emmanuel Macron et lui-même) sur la chaîne de télévision française TF1, au cours duquel il avait lancé à la journaliste française Anne-Claire Coudray :
"J'ai admiré vos pudeurs de gazelle quand vous dîtes que la campagne a été polluée par les affaires de certains d'entre vous. Pardon, pas moi. Je tiens à le préciser. Ici, il n'y a que deux personnes qui sont concernées : monsieur Fillon et madame Le Pen. Les trois autres, nous n'avons rien à voir avec tout ça. Alors s'il vous plaît, ne me mettez pas dans le même sac".
Ainsi que peut le déclarer le documentariste français Matthieu Frison, dans son documentaire de 2021 "Je suis le fleuve", rediffusé le 25 juin 2023 sur la chaîne de télévision publique française France 2.
Mais : "Pour me RACONTER la genèse de cette décision" !
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 2 juillet 2023, l'homme politique français Alexis Bachelay, sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Mais, en français : "CE SONT des débordements que, c'est vrai, on n'avait pas ENCORE vu" !
Ainsi que l'on peut malheureusement l'entendre dans l'une des innombrables publicités Carglass diffusées sur nos écrans de télévision, en ce mois de juin 2023.
Mais, en français : "Passer toutes vos vacances avec ça cE Nest pas possible" !
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 1er juillet 2023, la journaliste française Narjisse Hadji, sur la chaîne de télévision française d'information en continu LCI.
Mais, en français : "Un bidon CONTENANT probablement DE L'ESSANCE" !
Et : "C'est PLUS DE 50% DE MOINS qu'hier" !
Le mot "Hydrocarburant" n'existe pas et n'est qu'un abominable barbarisme.
Ces deux termes paronymes ne doivent surtout pas être confondus !
Relevant du langage courant, ils signifient en effet respectivement :
"Hauturier" ou "Hauturière" (adjectif) : relatif à la haute mer, c'est à dire la zone maritime éloignée des côtes, hors des eaux territoriales.
Il s'emploie à propose de la navigation et de la pêche qui s'y pratiquent.
De telle sorte que l'on parle par exemple de "permis bateau hauturier".
Et de "pêche hauturière".
et "Roturier" ou "Roturière" (adjectif et substantif) : qui n'est pas noble ou n'a pas été anobli, qui n'appartient pas à la noblesse.
On dit par exemple : "Le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, héritier présomptif au trône d'Italie, a épousé une roturière, l'actrice française Clotilde Courau, devenue la princesse Clotilde de Savoie, princesse de Venise et de Piémont".
Le substantif féminin "Roture" désignait, sous l'Ancien Régime, l'ensemble des personnes appartenant au tiers état.
Sources : wikipedia.org, wiktionary.org, Le Robert et www.larousse.fr
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 20 juin 2023, le journaliste sportif français Étienne Moatti, dans l'émission vespérale d’Olivier Ménard "L’Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L’Équipe.
Mais : "Si l'arbitre avait été UN TANT SOIT PEU MEILLEUR" !