- La "Péladophobie" ou "Alopophobie est une peur ou une aversion irraisonnée des personnes chauves,
- tandis que la "Peladophobie" est une crainte de la pelade et de sa contagion.
Richesse et défense de la langue française
J’ai réuni dans cette collection l’ensemble de mes articles consacrés aux noms d’affections, maladies ou pathologies, souvent très mystérieux, parfois étranges, voire assez cocasses.
Un certain nombre sont relativement communs, voire très courants, mais sauf à être soi-même atteint ou à connaître des personnes qui en sont victimes – ce que je ne vous souhaite pas – on ignore souvent en quoi est-ce que consistent au juste ces affections, maladies ou pathologies.
Vous en saurez davantage en lisant le contenu des articles de cette collection.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 457
Signe de renonciation au monde, elle est aussi, avec la prise d'habit et le changement de nom, un élément d'un rituel de mort et de renaissance qui efface les péchés antérieurs.
Elle fut par ailleurs à l'origine du port de la calotte.
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Être chauve".
Source : wikipedia.org
C'est cette maladie que l'on appelle dans le langage courant "La maladie des os de verre".
Concrètement, il s'agit même d'un groupe de maladies caractérisées par une fragilité osseuse excessive, due à un défaut congénital d'élaboration des fibres collagènes du tissu conjonctif formant la trame de l'os.
Tous les types se caractérisent par une extrême fragilité des os, signe le plus typique de la maladie. Cependant, tous les tissus contenant du collagène sont aussi touchés (os, peau, tendon).
La plupart du temps cette maladie est due à une mutation génétique spontanée, mais elle peut aussi être familiale et transmise par seulement l’un des deux parents.
Source : wikipedia.org
Il s'agit d'un ralentissement de la croissance biologique, en raison d'une condition héréditaire ou accidentelle (maladie, carence, environnement).
Il est à noter que celui-ci concerne l'ensemble des êtres vivants (végétaux ou animaux).
Les sujets du nanisme sont généralement désignés comme "nains", à l'exemple des personnes naines, des plantes naines, des animaux nains.
Ou bien, d'après l'ancienne désignation, impropre, comme "pygmées".
Il s'agit d'une maladie génétique lysosomale très rare, décrite en 1962, due à une dégénérescence du noyau cellulaire et caractérisée par une condensation de la chromatine.
Les signes cliniques observés sont le nanisme, avec un crâne volumineux et de petites mandibules, la persistance de la grande fontanelle et des fractures spontanées.
On a émis dès 1965 l'hypothèse que le peintre Henri de Toulouse-Lautrec en était atteint.
On se fondait sur plusieurs considérations :
D'autres informations cependant laisseraient croire que le peintre français souffrait d'une ostéogénèse imparfaite, maladie dont les manifestations sont assez semblables.
Ce doute qui divise la communauté scientifique pourrait être résolu une fois pour toutes si l’on procédait à une analyse génétique chez les descendants de familles apparentées au grand peintre, ou bien en exhumant et en analysant les os de l'artiste.
Affaire à suivre, donc, dirai-je.
Il s'agit de ce que nous appelons communément "Une ampoule" ou "Une cloque".
Une phlyctène est une lésion de la peau qui trouve son origine dans une brûlure ou un coup de soleil, un frottement répété (friction de la peau contre une chaussure par exemple, on parle alors de "Phlyctène de friction"), le gel (qui constitue une brûlure au froid), une infection (de type staphylocoque ou streptocoque) ou encore un contact avec des produits chimiques corrosifs.
Elle peut également être due à une réaction allergique à des médicaments, à une très forte sensibilité du sujet à la lumière ("Photo-dermatose"), à une maladie virale de type herpès, etc.
Quelle que soit sa cause, l’épiderme se décolle créant une cavité localisée qui se remplit de liquide séreux et translucide ("Phlyctène séreuse") : c’est la fameuse "Cloque" ou "Ampoule".
Mais elle peut également contenir des éléments sanguins, coagulés ou non ("Phlyctène hématique").
Une phlyctène est généralement douloureuse.
Si elle est peu étendue (l’ampoule classique), elle se résorbe d’elle-même, lentement, le temps que les sérosités repassent dans les tissus mous. L’épiderme reste décollé jusqu’à ce qu’un nouveau se forme. Il est possible de protéger dans ce cas la phlyctène à l’aide d’un pansement hydrocolloïde.
S’il n’y a pas eu rupture de l’épiderme et que la phlyctène est volumineuse et douloureuse, on peut percer la bulle à l’aide d’une aiguille désinfectée, sans toucher l’épiderme. On applique ensuite un antiseptique dépourvu d’alcool, on sèche et on applique un pansement hydrocolloïde.
S’il y a rupture de l’épiderme, il faut désinfecter comme mentionné en cas de non rupture et consulter un médecin : en effet, dans la plupart des cas, il est préférable de retirer tout l’épiderme décollé.
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Cette locution nominale très imagée et pour le moins macabre, désigne un traumatisme du rachis cervical, pouvant être dû au mouvement de la tête ou à un coup porté.
Son nom provient de la technique traditionnelle consistant à tuer le lapin en lui assénant un violent coup direct derrière la nuque.
Le "coup du lapin" peut constituer :
Il s'agit dans ce cas d'un traumatisme indirect du rachis cervical en flexion-extension, en général lors d'un accident dans un véhicule brutalement arrêté ou percuté par l'arrière. Il produit plutôt des entorses du rachis cervical, habituellement bénignes, mais pas toujours. Il peut également produire des fractures, particulièrement des fractures du corps en compression. C'est notamment pour en limiter l'impact que les véhicules sont désormais systématiquement équipés d'appui-têtes.
Dans ce cas, le coup du lapin désigne un coup reçu au niveau du cou ou à la base du crâne. Il est dangereux à cause des risques de dommage à la colonne vertébrale et par conséquent à la moelle épinière, qui peuvent entraîner la paralysie ou la mort.
Il s'agit d'un choc musculaire, d'une blessure d'un muscle sans déchirure de la peau.
Ce mot peut revêtir différentes significations :
Source : wikipedia.org
Il s'agit dans les deux cas d'une rupture de vaisseaux sanguins causée par une contusion. Mais celle-ci est moins importante pour une ecchymose que pour un hématome.
En fonction de l'emplacement de l'hématome sur le corps, cet hématome peut porter différents noms et d'autres symptômes peuvent apparaître :
L'ongle prend une coloration noire et peut ensuite tomber deux à trois semaines plus tard.
Il s'agit d'un hématome de l'oreille, qui se caractérise par une accumulation de sang dans le pavillon (oreille externe), le plus souvent à la suite d'un traumatisme contondant de type coup de poing.
On parle également de "L'oreille du boxeur".
Il s'agit d'une augmentation de volume, souvent visible, de la glande thyroïde.
Cette affection est extrêmement fréquente, puisqu'elle touche entre 200 et 800 millions de personnes dans le monde. Elle est souvent familiale et est près de quatre fois plus fréquente chez la femme que chez l'homme.
Le malade est appelé "Goîtreux" ou "Goitreuse".
Source : wikipedia.org