Ce mot lyonnais du registre populaire, synonyme de "gosse", désigne un jeune enfant.
Sur le même sujet, je vous recommande la lecture de mon article sur toutes les façons de dire "Un jeune enfant ou "Un enfant".
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
Ce mot lyonnais du registre populaire, synonyme de "gosse", désigne un jeune enfant.
Sur le même sujet, je vous recommande la lecture de mon article sur toutes les façons de dire "Un jeune enfant ou "Un enfant".
Ce mot peut désigner différentes choses :
(*) Concernant les enfants, je vous recommande la lecture de mon article sur toutes les façons de dire "Un jeune enfant ou "Un enfant".
Le registre argotique foisonne de mots pour désigner les enfants :
"Un chiard", "un lardon", "un marmot", "un merdeux", "un mioche", "un morveux", "un mouflet", "un moutard" ou "une pisseuse" pour une petite fille (oui, je sais, cela est très misogyne, mais je me contente ici de recenser).
"Un loupiot" relève du registre populaire et désuet.
"Un bout de chou", "un canaillou", "un gamin", "un gosse", "un môme", "un petiot", et la locution "un petit bonhomme" ("une petite bonne femme" au féminin) ou "une pépète" (pour les filles) relèvent du registre familier.
De même que les idiotismes animaliers "une crevette", pour désigner un nourrisson de très petit gabarit (ou un enfant prématuré), "un asticot" pour un bébé très remuant et "une puce" pour un jeune enfant de faible corpulence.
"Un têtard" relève du registre populaire et "un babouin", "un crapaud" ou "un morpion" du registre argotique ; ces quatre autres idiotismes animaliers désignant un enfant en général.
Toujours dans le registre familier, les auvergnats ou les languedociens disent "un petitou", les lyonnais "un gone", les marseillais "un minot", les méridionaux "un pitchou", "un pitchoun" ou "un pitchoune", les provençaux (autrefois) "un miston" et les parisiens (autrefois, également) "un titi", "un gavroche" ou un "poulbot".
"Un bambin", "un bébé", "un garçonnet", "une fillette" ou "un petit" relèvent du langage courant. Ainsi que les mots "un chenapan", "un galopin", "un garnement" et "un vaurien", qui désignent tous les quatre des enfants turbulents.
Enfin, "Un chérubin", "un petit ange" et la locution "chères petites têtes blondes", qui ne s'emploie qu'au pluriel, appartiennent au registre soutenu.
Sur le même sujet, je vous recommande la lecture de mon article sur toutes les façons de dire "Ses enfants".
On peut naturellement parler de "ses gosses" ou de "ses mômes" (registre argotique).
Mais également de "sa marmaille" ou de "ses rejetons" (registre familier).
Ou de "ses héritiers" (registre normal).
Voire, pour une fois que le registre soutenu s'avère être assez étoffé, du "fruit de ses entrailles" (si l'on est une femme), de "la chair de sa chair", de "sa descendance", de "sa postérité" ou de "sa progéniture".
Sur le même sujet, je vous recommande la lecture de mon article sur toutes les façons de dire "Un jeune enfant ou "Un enfant".
J'aime beaucoup cette locution adverbiale, qui signifie :
Et ce, en référence à la commune belge de Quiévrain, située en Wallonnie, dans la province du Hainaut, sur la frontière franco-belge.
Les verbes "barboter", "chouraver" et "étouffer" relèvent du registre argotique, tandis que "chiper", "faucher" et "piquer" appartiennent au registre familier.
Dans le registre normal, on peut utiliser les verbes "escamoter" ou "emprunter", en l'assortissant de guillemets, qui sous-entendent que la personne "emprunteuse" n'a aucune intention de restituer ce qu'elle a pris sans autorisation.
Enfin, le registre soutenu nous offre tout autant voire davantage de choix que les registres argotique ou familier, avec les verbes "dérober" ou "subtiliser" et les locutions "prendre indûment" ou "s'emparer indûment".
Mais aussi, parfois, : "Lorsque" !
Par exemple : "Lorsqu'il fait beau, je vais me promener" plutôt que "Quand il fait beau, je vais me promener".
Ou :"Lorsque je suis fatigué, je me couche" plutôt que "Quand je suis fatigué, je me couche".
J'aime bien ce mot qui désigne :
Je déteste cette expression du registre familier en forme d'ellipse d'un usage relativement récent et de plus en plus couramment utilisée, il me semble.
On utilise cette formule pour signifier que l'on a les poils qui se hérissent, du fait de l'émotion qui est la nôtre ; phénomène très proche de celui que l'on qualifie ordinairement de "chair de poule".
Ce verbe signifie :
Ce verbe polysémique du registre soutenu possède trois significations distinctes :
On dit par exemple : "Ma voisine a tendance a s'immiscer dans la conversation des gens".
On dit par exemple : "Les cambrioleurs se sont immiscé nuitamment dans la demeure afin d'y dérober l'ensemble des bijoux de la maisonnée."
On dit par exemple : "Celui qui s'est immiscé dans une succession a fait acte de propriétaire sur les biens qui la compose et il n'y peut plus renoncer".
Source : www.cnrtl.fr
Le vocabulaire est l'ensemble des mots effectivement employés par une personne dans un énoncé oral ou écrit.
Par exemple : de nombreuses personnes comprennent la formule "mon fils a voulu s'immiscer dans notre conversation" lorsqu'elles la lisent ou l'entendent. Et elle appartient donc à leur vocabulaire passif.
Mais infiniment moins nombreux sont ceux qui l'utilisent couramment à l'écrit comme à l'oral, et pour lesquelles le verbe "s'immiscer" appartient au vocabulaire actif ; l'immense majorité des gens se contentant de dire "Mon fils a voulu se mêler de notre conversation".
C'est d'ailleurs l'un des enjeux de ma démarche à travers la rédaction de J'aime les mots, que d'essayer de contribuer à une amélioration du niveau de langue moyen de mes compatriotes, en leur redonnant le goût d'utiliser davantage de très nombreux mots, verbes et locutions jolis ou pertinents, qui appartiennent à leur vocabulaire passif mais pas à leur vocabulaire actif.
Source : wikipedia.org
Née Édith Campion, le 27 janvier 1934, cette femme politique socialiste, diplômée d'HEC et docteur en démographie, devient d'abord Maire de Châtellerault (86) (du 16 mars 1983 au 27 mars 1997) et Député de la Vienne (86) (du 2 avril 1986 au 28 juillet 1988).
Et elle devient par la suite Ministre du Commerce extérieur et du Tourisme des 2e et 3e gouvernements de Pierre Mauroy (du 23 mars 1983 au 17 juillet 1984), Ministre du Redéploiement industriel et du Commerce extérieur de Laurent Fabius (du 19 juillet 1984 au 20 mars 1986), Ministre des Affaires Européennes des 1er et 2e gouvernement de Michel Rocard (du 10 mai 1988 au 2 octobre 1990) et Commissaire européenne à la Recherche, aux Sciences et Technologies des commissions Jacques Santer et Manuel Marin du 23 janvier 1995 au 15 septembre 1999.
Tout en ayant été, entretemps (du 15 mai 1991 au 2 avril 1992), nommée premier ministre de François Mitterrand. Ce qui fait donc d'elle, à ce jour, l'unique femme devenue chef du gouvernement en France.