"La genuflexion" et "L'agenouillement".

Ces deux mots désignant l'action de se mettre à genoux sont souvent confondus alors qu'ils revêtent des significations relativement différentes :

  • "La genuflexion" est un substantif féminin du registre soutenu désignant un fléchissement d'un genou, que l'on pose à terre.

Poser le genou droit ou le gauche à terre n'a cependant pas du tout le même sens :

    • lorsque l'on fait une génuflexion devant Dieu ou une autorité ecclésiastique c'est le genou droit que l'on pose sur le sol.

On doit notamment faire la génuflexion en présence du Saint-Sacrement, qu'il soit conservé dans le tabernacle ou exposé à l'adoration publique.

La génuflexion tombe en désuétude dans l'église catholique française. Beaucoup d'églises ne sont désormais plus équipées de prie-Dieu, mais simplement de chaises à dossier bas, qui ne sont pas conçues pour être retournées et s'y agenouiller.

Dans ce cas, la génuflexion lors de la consécration est remplacée par une attitude silencieuse de respect et un abaissement de la tête ou du haut du corps après l'élévation du pain et du vin consacrés.

    • tandis que, lorsqu'il s'agit d'une personne laïque telle qu'un roi par exemple, c'est le genou gauche que l'on doit poser au sol.
  • et "L'agenouillement" est un substantif masculin du langage courant désignant :
    • le fait de se mettre à genoux, c'est à dire les deux genoux reposant sur le sol ; le terme désignant aussi bien l'action de se mettre à genoux, que le résultat de cette action.
      • pour supplier quelqu'un, implorer son pardon.

Ce qui se fait surtout - de nos jours et dans notre société contemporaine - par dérision et de façon humoristique.

      • dans la religion catholique :
        • pour montrer sa dévotion lorsque l'on prie,
        • pendant la consécration,
        • ou lors de la communion.

Si l'exiguïté des lieux ou l'âge et la maladie empêchent l'agenouillement, les fidèles doivent faire au moins un autre geste d'adoration approuvé par la Conférence des évêques, tel que par exemple l'inclination profonde.

    • à ski : l'action de plier les genoux, dans l'intention de modifier sa direction ou de ne pas tomber.

Sources : wikipedia.org et www.cnrtl.fr

On ne dit pas : "Un système le plus basique possible" !

François Gay, le directeur du Bioparc de Doué-la-Fontaine (49)

Comme l'a déclaré François Gay, directeur de du Bioparc de Doué-la-Fontaine (49), dans la saison 3 de la série documentaire "Zoo : le défi de demain", diffusée en décembre 2019 sur la chaîne de télévision française RMC Découverte.

Mais : "Un système le plus SIMPLE possible" !

"Un terrain miné", "Être en terrain miné" ou "Avancer en terrain miné".

La locution nominale masculine "Un terrain miné" appartient au langage courant désigne :

  • au sens propre : un terrain ou une zone garni de mines, d'explosifs,
  • par extension : un lieu ou une zone dangereuse,
  • et au sens figuré : un sujet délicat.

On dit par exemple : "Avec l'adoption pour les couples homosexuels, le gouvernement avance en terrain miné".

Ou : "Fais attention avec ce sujet : tu es en terrain miné".

Et l'on peut également utiliser - dans le même registre de langue - l'expression "Terrain glissant"Source : www.larousse.fr

"Une logorrhée".

Ce substantif féminin du registre soutenu, que l'on a souvent du mal à orthographier, désigne :

  • au sens propre : une diarrhée verbale, ou incontinence verbale ; un trouble du langage caractérisé par un besoin irrésistible de parler.
  • et au sens figuré : un long discours creux ; du verbiage, un flux de paroles inutiles et incohérentes, un blabla prétentieux pour présenter des banalités ou une analyse plus ou moins cohérente et fondée.

Source : wiktionary.org

Pourquoi les cavaliers redoudent-ils tant d'être atteint d'hypertension artérielle ?

Réponse
Parce qu’ils craignent le régime sans sel.
Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre les locutions adjectivales « Sans sel » et « Sans selle ».

Sur un sujet contigu, je vous recommande la lecture de mon article consacré à l’HTA (HyperTension Artérielle).

On ne dit pas : "Il a été à l'action au Bataclan" !

Le journaliste français Dominique Rizet, consultant police-justice sur BFMTV

Comme l'a déclaré, le 25 septembre 2020, le journaliste français, consultant police-justice, Dominique Rizet, sur la chaîne de télévision française d'information en continu BFMTV.

Mais : "Il EST INTERVENU au Bataclan" !