"Impayable" ou "Être impayable".

Cet adjectif signifie :

  • au sens propre : qui ne peut se payer,

On dit par exemple : "Mon frère a pris un appartement immense avec un loyer impayable".

  • et au sens figuré, dans le registre familier : qui étonne par son côté extraordinaire ou très comique, ridicule.

On dit par exemple : "J'adore cet humoriste : il est impayable".

Ou : "Tu aurais vu comment était habillé le nouveau : sa tenue était impayable".

Sources : wiktionary.org et www.larousse.fr

"Storage wars France. Enchères surprise".

L'émission de télévision française de 6ter "Storage wars france. Enchères surprises"

Tel est le nom donné par la chaîne de télévision française 6ter à son émission de téléréalité, diffusée du 21 novembre 2015 au 30 janvier 2016, et adaptée de l'émission états-unienne "Storage Wars", diffusée depuis le 1er décembre 2010 sur la chaîne A&E, et diffusée en France sous le nom "Storage Wars : Enchères surprises", depuis le 3 janvier 2015, sur 6ter (saisons 1 à 7), depuis le 2 mai 2015 sur M6, et depuis le 18 juin 2016 sur C8 puis CStar (saison 8 à 10).

Pur décalque de l'émission états-unienne, la version française se déroule en région parisienne et montre les ventes aux enchères du contenu de garde-meubles abandonnés.

Le programme suit différents brocanteurs français, dont Alexandra Morel et Julien Cohen, que les spectateurs ont pu ensuite retrouver dans l'émission de France 2 "Affaire conclue", créée le 21 août 2017 et présentée par Sophie Davant.

Il est cocasse d'entendre la promotion de l'émission sur 6ter, qui annonce "sto-rè-dj-ou-arz"... comme "star-ou-arz" vraisemblablement !

À l'insupportable scandale qui consiste à donner des noms anglais à des émissions françaises diffusées en France pour des français s'ajoute donc le ridicule qui consiste à les prononcer "moitié à l'anglaise", moitié "à la française", histoire de ne plus savoir parler correctement aucune langue !

Source : wikipedia.org

"L'habit vert".

Un habit vert d'académicien français avec bicorne

Cette locution nominale masculine en forme d'itiotisme textile ou vestimentaire et d'idiotisme chromatique désigne : un habit d'académicien, membre de l'Institut de France, porté lors des réunions solennelles et des cérémonies officielles.

"Un habit d'académicien" et pas seulement - ainsi qu'on le croit souvent, me semble-t-il - de "membre de l'Académie française".

L'habit vert est donc également porté par les membres des quatre autres académies de l'Institut de France.

L’Institut de France demandant officiellement un costume simple et décent, sa composition fut décidée par un arrêté du Consulat du 13 mai 1801, puis amendée au fil des siècles.

Il consistait en :

  • d'une part un grand costume : habit, gilet ou veste, culotte ou pantalon noirs, brodés en plein d’une branche d’olivier en soie vert foncé, chapeau à la française,
  • et d'autre part un petit costume : habit plus sobre n’ayant de broderie qu’au collet et aux parements de la manche avec une baguette sur le bord de l’habit.

Victor Hugo inaugure en 1848 une nouvelle mode à l'origine de l'évolution de l'habit : le frac à la place de la redingote, le jabot transformé en plastron et cravate blanche et le port du pantalon en remplacement de la culotte et des bas de soie.

À l'origine en deux versions, le petit costume tomba rapidement en désuétude, seul le grand costume subsiste encore de nos jours.

Il est actuellement composé d'un chapeau bicorne, d'un gilet et d'un pantalon en drap noir ou bleu foncé, et non plus vert foncé comme à l'origine, brodés de branches d'olivier vertes et or, d'une cape et d'une épée.

Le port de la tenue est obligatoire - sauf pour les ecclésiastiques - et sa confection très codifiée.

S'il est "conçu dans les règles de l'art", ce qui peut prendre six mois, l'habit peut coûter jusqu'à... 35 000 € !

L'épée d'académicien

L, qui sont dispensés du port de l'habit, peuvent également s'abstenir de porter l'épée.

L'arrêté de 1801 ne prévoyait pas de tenue féminine ; une certaine liberté vestimentaire est donc accordée aux femmes.

Les ecclésiastiques et, en principe, les femmes n’en reçoivent pas. Pourtant, si Jacqueline de Romilly porte un sac à main brodé assorti à sa cape, Hélène Carrère d'Encausse, Florence Delay, Assia Djebar, Simone Veil, Danièle Sallenave et Dominique Bona ont toutes choisi d'en porter une.

Son origine est liée à l'Institut d'Égypte et rappelle les usages de l'Ancien Régime.

Véritable objet d'art, l'épée constitue l'attribut personnel de l'académicien et revêt une haute charge symbolique. Elle lui est généralement offerte par ses amis et collègues, réunis dans un "Comité de l'épée", et lui est remise lors d'une cérémonie privée quelques jours avant sa réception. Oeuvre originale conçue avec beaucoup de liberté par des artistes joailliers, elle est offerte au récipiendaire dans le cadre d'une souscription auprès des amis du futur académicien. Ou peut être une arme ancienne, comme une épée de cour par exemple.

Des membres de l'Académie françaiseUn habit vert d'académicien français

Un film portant ce titre, avec l'excellent acteur français Jules Berry, a été réalisé en 1937 par le réalisateur français Roger Richebé, d'après la pièce de théâtre homonyme de Robert de Flers et Gaston Arman de Caillavet.

Affiche du film français "L'habit vert" de Roger Richebé (1937)Affiche du film français "L'habit vert" de Roger Richebé (1937)

Assez curieusement, l'assistant réalisateur du film, Marcel Cohen (né le 22 novembre 1908 et mort le 6 décembre 2002), par ailleurs scénariste et monteur, en a réalisé par la suite une nouvelle version sous forme de téléfilm, en 1957.

Il se fera ensuite appeler Marcel Cravenne, comme son frère, l'attaché de presse, journaliste et producteur de cinéma Georges Cohen devenu Georges Cravenne, le fondateur des Césars, des Molières et des 7 d'or.

Source : wikipedia.org

 

Hannah Arendt

La philosophe allemande Hannah Arendt (née Johanna Arendt) (14 octobre 1906 - 4 décembre 1975 ), politologue et journaliste, connue pour ses travaux sur le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire.

Il s'agit du nom de plume de la politologue allemande naturalisée états-unienne Johanna Arendt, née le 14 octobre 1906 et morte le 4 décembre 1975.

Philosophe et journaliste, elle est principalement connue pour ses travaux sur la politique et en particulier le totalitarisme, ainsi que sur la modernité et la philosophie de l'histoire.

Hannah Arendt a toujours souligné que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique. Aussi se disait-elle "politologue" plutôt que "philosophe".

Élève de Heidegger, Husserl et Jaspers

Hannah arendt a suivi les cours des plilosophes allemands Heidegger, de Husserl puis de Jaspers. Elle s'y révèle d'une brillante intelligence et d'un non-conformisme encore peu commun.

La philosophe allemande Hannah Arendt (née Johanna Arendt) (14 octobre 1906 - 4 décembre 1975 ), politologue et journaliste, connue pour ses travaux sur le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire.

  • La rencontre avec Martin Heidegger (26 septembre 1889 - 26 mai 1976) en 1925 est un événement majeur de sa vie, tant sur les plans intellectuel que sentimental. Cet événement a toutefois souvent fait ombrage à la contribution originale de Arendt et a occupé une place importante dans la compréhension de sa trajectoire intellectuelle. En 1925, Arendt est très jeune et voue une grande admiration à son maître, de dix-sept ans son aîné. C'est le début d'une relation secrète (Heidegger est marié et père de deux enfants), passionnée et irraisonnée, qui laissera chez elle des traces durant toute sa vie.

Quelle que soit la position ambiguë de Heidegger à l'égard du judaïsme, elle restera en effet fidèle à leur relation et au souvenir du rôle de la pensée de Heidegger dans son propre parcours. Par-delà la guerre et l'exil, elle se fera l'infatigable promotrice du philosophe, aussi éminent que controversé, aux États-Unis d'Amérique.

  • Après avoir interrompu leur relation, Arendt devient l'élève de Edmund Husserl (8 avril 1859 - 26 avril 1938).
  • Puis, sur recommandation d'Heidegger, de  Karl Jaspers (23 février 1883 - 26 février 1969), sous la direction duquel elle rédige sa thèse, et qui a finalement été sa véritable figure d'influence.

Montée du nazisme

En 1929, Hannah Arendt épouse Günther Stern (nommé plus tard Günther Anders), un jeune philosophe allemand rencontré en 1925 dans le milieu universitaire et devenu son compagnon en 1927.

Avec la montée de l'antisémitisme et l'arrivée des nazis au pouvoir, elle s'intéresse de plus près à ses origines juives. Elle se rapproche dès 1926 de Kurt Blumenfeld, ancien président de l'Organisation sioniste mondiale, vitrine du mouvement sioniste, président de l'Union sioniste allemande depuis 1924 et ami de sa famille. Chargée par Blumenfeld de recueillir les témoignages de la propagande antisémite, elle est arrêtée en 1933 par la Gestapo et relâchée grâce à la sympathie d'un policier.

Elle quitte l'Allemagne sur le champ.

Fuite hors d'Allemagne et exil aux États-Unis

Arrivée en France en 1933, elle devient la secrétaire particulière de la baronne Germaine de Rothschild, milite pour la création d'une entité judéo-arabe en Palestine, participe à l'accueil des Juifs, pour la plupart communistes, fuyant le nazisme et facilite leur émigration vers la Palestine. Divorcée en 1937, elle se remarie le 16 janvier 1940 avec l'un d'eux, Heinrich Blücher, un réfugié allemand, ancien spartakiste.

En mai 1940, en raison de l'avancée éclair de l'Armée allemande en France, elle se retrouve internée par le Gouvernement français avec d'autres apatrides au camp de Gurs (64). Dans la confusion qui suit la signature de l'armistice en juin 1940, elle est libérée et parvient à s'enfuir à Montauban (64), où elle retrouve son mari. Puis, elle gagne Marseille (13) et Lisbonne (Portugal).

Aux États-Unis d'Amérique

Elle parvient à embarquer pour l'Amérique en mai 1941, par l'intervention du diplomate américain Hiram Bingham IV, qui lui délivre illégalement un visa d'entrée aux États-Unis d'Amérique, en même temps qu'à environ 2 500 autres réfugiés juifs. À l'issue d'une traversée éprouvante, elle s'installe à New York. Dans une situation de dénuement, elle doit gagner sa vie, trouve un emploi d'aide à domicile dans le Massachusetts, et envisage de devenir assistante sociale !

Naturalisée en 1951, Hannah Arendt devient conférencière et professeur invité en sciences politiques dans différentes prestigieuses universités états-uniennes telles que Berkeley, Columbia, ou Princeton, où elle a été la première femme nommée professeur.

La philosophe allemande Hannah Arendt (née Johanna Arendt) (14 octobre 1906 - 4 décembre 1975 ), politologue et journaliste, connue pour ses travaux sur le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire.

Ouvrages de référence

Ses livres les plus célèbres sont "Les origines du totalitarisme" (1951), "Condition de l'homme moderne" (1958) et "La crise de la culture" (1961). Le mot "Totalitarisme" exprime l'idée que la dictature ne s'exerce pas seulement dans la sphère politique, mais dans toutes, y compris les sphères privée et intime, quadrillant toute la société et tout le territoire.

Ce qu'elle a notamment évoqué, en 1974, au cours d'un entretien, à travers cette citation, particulièrement criante d'actualité : "Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n'est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien (...). Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d'agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez".

La philosophe allemande Hannah Arendt (née Johanna Arendt) (14 octobre 1906 - 4 décembre 1975 ), politologue et journaliste, connue pour ses travaux sur le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire.

Son livre "Eichmann à Jérusalem", publié en 1963 à la suite du procès d'Adolf Eichmann en 1961, où elle développe le concept de la banalité du mal, a fait l'objet d'une controverse internationale.

Source : wikipedia.org

"Les esgourdes", "Les feuilles" ou "Les portugaises".

Une oreille de femme

Ces trois substantifs féminins du registre argotique désignent tous : les oreilles.

On dit par exemple, pour signaler à une personne qu'elle a des problèmes auditifs et entend mal :

  • "Faut aller te laver les esgourdes, mon vieux !",
  • "Tu es dur de la feuille, on dirait !",
  • ou "Tu as les portugaises ensablées !".

Mais il existe encore près d'une vingtaine d'autres façons de le dire !

On ne dit pas : "Même pas elle est prête" ou "Même pas elles sont contentes" ni "Même pas il est venu" ou "Même pas ils sont d'accord" !

Mais : "ELLE N'EST même pas prête", "ELLES NE SONT même pas contentes", "IL N'EST même pas venu" et "ILS NE SONT même pas d'accord" !

J'avoue ne pas parvenir à comprendre comment des tournures aussi barbares ont pu se répandre à ce point de nos jours.

"Inclinaison" et "Inclination".

Ces deux subtantifs féminins paronymiques ont la même origine latine, le verbe "Inclinare".

Mais ils ont malheureusement tendance à être confondus, alors qu'ils possèdent des significations distinctes et ne doivent donc pas être employés l'un pour l'autre :

  • "Inclinaison"appartient en effet au langage courant et désigne :
    • L'ÉTAT DE CE QUI EST INCLINÉ, penché ou courbé par rapport à un axe de référence ; l'obliquité d'une ligne, d'un plan par rapport à un autre plan, en particulier celui de l'horizon ; la position inclinée d'un corps, ou d'une partie d'un corps par rapport à la verticale.

On dit par exemple : "La forte inclinaison de ce toit (ou de ce terrain) facilite l’écoulement des eaux".

La forte inclinaison d'un toit

Ou : "L'inclinaison de ce mur m'inquiète assez".

  • tandis que "Inclination" désigne :
    • au sens propre : L'ACTION D'INCLINER en avant la tête ou la partie supérieure du corps, de courber la tête, le buste, souvent en signe d'acquiescement, de respect, de politesse ou de salutation.

On dit par exemple : "Il m'a remercié par une petite inclination du buste, et sa femme a approuvé ma remarque par une inclination de la tête".

    • et au sens figuré : un penchant, une tendance, une force intérieure et naturelle orientant spontanément ou volontairement une personne vers un objet, un genre d'activité, d'occupation, etc.

On dit par exemple : "Mon fils a une inclination à la paresse".

Ou : "Mon épouse a une véritable inclination pour les langues et les apprend avec plaisir et facilité".

    • dans le registre désuet : un mouvement spontané de l'âme entraînant une personne vers une autre, inspiré par la sympathie, l'affection, l'amitié, voire l'amour.
    • On dit par exemple : "Avoir une inclination pour son petit-fils".

Ou : "Éprouver une vive inclination pour la fille de son meilleur ami".

Même si elles phonétiquement très ressemblantes et qu'elles possèdent des significations très proches, les formules "Une inclinaison de la tête" et "Une inclination de la tête" ne sont donc absolument pas synonymes !

Sources : www.linternaute.fr, www.cnrtl.fr, www.academie-francaise.fr et www.larousse.fr

"L'ancienne régie", "La régie", "La firme de Boulogne-Billancourt" ou " Le constructeur français".

Les usines Renault, à Boulogne-Billancourt (92)

Ces différentes locutions désignent toutes la société Renault, un constructeur automobile français fondé officieusement le 1er octobre 1898 et officiellement le 25 février 1899, à Boulogne-Billancourt (92) par les frères Louis, Marcel et Fernand Renault.

L'entrée de la société Renault Frères, à Boulogne-Billancourt (92)
L'entrée de la société Renault Frères, à Boulogne-Billancourt (92)

Et devenue "Régie Nationale des Usines Renault", lors de sa nationalisation par le GPRF (Gouvernement Provisoire de la République Française), le 15 janvier 1945, après l'arrestation, à la Libération, comme collaborateur, de Louis Renault, son dirigeant, qui meurt en prison avant son procès.

L'industriel français Louis Renault
L'industriel français Louis Renault
Herman Goering, Adolf Hitler et Louis Renault, au Salon de l'automobile de Berlin, en 1935 : l'industriel français leur présente le prototype de sa Juvaquatre
Herman Goering, Adolf Hitler et Louis Renault, au Salon de l'automobile de Berlin, en 1935 : l'industriel français leur présente le prototype de sa Juvaquatre

Privatisée en 1996, la société s'est ensuite successivement alliée aux constructeurs japonais Nissan, en 1999, et Mitsubishi, en 2017.

Le siège du groupe Renault, à Boulogne-Billancourt (92), de nos jours
Le siège du groupe Renault, à Boulogne-Billancourt (92), de nos jours

Source : wikipedia.org

"Les ravioli" ou "Les raviolis".

Assiettée de ravioli à la tomate en conserve

"Ravioli" est un mot italien constituant le pluriel du mot "Raviolo". En français, les deux formes - avec ou sans "s" - sont admises pour le pluriel.

Ce substantif masculin désigne un produit typique de la cuisine italienne, provenant vraisemblablement de Chine sous le nom de "Jiaozi".

Machine à ravioli

Ravioli faits maison venant d'être découpés
Ravioli faits maison venant d'être découpés

Ils se présentent souvent sous la forme de carrés de pâte remplis d'une farce - généralement à base de viande, de légumes et de fromage - et cuits à l'eau bouillante.

Raviolis faits maison
Raviolis faits maison

Les ravioli se fabriquent normalement de façon traditionnelle, mais ils existent également en conserve, bien que n'ayant pas vraiment la même saveur.

Boîte de ravioli en conserve de marque Panzani

Un plat qui existe dans le monde entier

On trouve des raviolis en France, dans l'actuel Pays niçois, la Provence, la Savoie, le Languedoc, et la Catalogne depuis le bas Moyen Âge.

Les raviolis existent aussi en Asie, où ils sont appelés "Jiaozi en Chine, "Gyoza" au Japon et "Mandu" en Corée.

Ainsi qu'en Europe de l'Est, où on les nomme "Pirojki" ou "Pelmeni" en Russie, ou "Pierogi" en Pologne.

Lorsqu'on les nomme "Ravioles", il s'agit le plus souvent de la raviole du Dauphiné, une recette farcie de fromage et de persil, fabriquée dans la Drôme (26) et dans l'Isère (38).

Sachet de ravioles du Dauphiné de marque Saint-Jean

Source : wikipedia.org