Ce mot du registre désuet désigne tout à la fois :
- la verroterie de Venise (Vénétie) (Italie), dont on se servait essentiellement pour commercer avec l'Afrique,
- et l'action de conter, de raconter.
Richesse et défense de la langue française
Ce mot du registre désuet désigne tout à la fois :
Cet adjectif du registre désuet, qualifie ce qui pousse mal, en parlant d'un végétal.
On parle par exemple d'un "arbre malvenant", lorsque celui-ci pousse sans respecter les règles de la sylviculture.
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Simone Roussel, née le 29 février 1920 et morte le 20 décembre 2016.
Elle l'a adopté en 1937, pour le film "Gribouille", de Marc Allégret, après avoir interprété cinq tout petits rôles et une figurante dans six films sortis en 1935 et 1936.
Considérée comme l'une des plus grandes actrices du cinéma français du XXe siècle, elle était souvent surnommée "les plus beaux yeux du cinéma français".
Ce néologisme encore peu connu, je crois, est un adjectif qualifiant les surfaces présentant une texture que les piétons atteints d'une déficience visuelle peuvent reconnaître au toucher par les pieds, mais également à l'aide de leur canne blanche.
On recouvre le sol de certains lieux publics de ces "surfaces podotactiles", afin de signaler un danger à ces personnes.
Par exemple : un obstacle, un arrêt de bus, l'entrée dans une zone à risque (passages piétons, ou bords des quais de voies ferrées), un changement de niveau (trottoir, marches d'escalier), etc.
On parle également de "Bande d'éveil de vigilance".
Ce mot polysémique désigne, selon le contexte, :
On dit ainsi : "Ma tante nous a régalé d'un succulent râble de lapin".
On dit ainsi : "Tomber sur le râble de quelqu'un"
Source : wiktionary.org
Ce substantif féminin désigne :
La plupart des andouilles sont ainsi constituées d'un boyau de porc rempli de tripes, de chair et de lard de ce même animal, hachés et assaisonnés.
On parle également de "dépendeur d'andouilles" ou de "grand dépendeur d'andouilles".
Sur ce même thème, je vous recommande la lecture de ma collection d'articles "Mille et une façons de dire Être idiot ou Un idiot" et, en particulier, mon article sur mes façons préférées de dire "Être idiot".
Source : www.cnrtl.fr, www.larousse.fre et wiktionary.org
J'adore ces deux locutions nominales s'utilisant au sens figuré, dans le registre familier et le registre désuet, pour désigner une personne dont la seule qualité est d’être assez grande pour décrocher ou "dépendre" les andouilles.
Autrement dit : une personne qui ne brille pas particulièrement par ses qualités intellectuelles.
Sur ce même thème, je vous recommande la lecture de ma collection d'articles "Mille et une façons de dire Être idiot ou Un idiot" et, en particulier, mon article sur mes façons préférées de dire "Être idiot".
Source : wiktionary.org
Quel français de plus de 50 ans ne connaît pas cet extraordinaire échange entre Jean Gabin et Michèle Morgan, dans le film français de 1938, de Marcel Carné, "Le quai des brumes".
Ce très beau film, attaché à la veine du réalisme poétique, est adapté du roman du roman du même nom, publié en 1927 par Pierre Mac Orlan.
Il a été réalisé par Carné la même année que le génial "Hôtel du Nord"(1938), l'année qui suit "drôle de drame" (1937) et l'année qui précède "Le jour se lève" (1939)... Après celà cette feignasse a pris prétexte d'un vague conflit mondial pour mettre trois ans à sortir "Les visiteurs du soir" (1942), et encore trois pour "Les enfants du paradis"... Mais non, voyons, le niveau moyen du cinéma français (et international) ne baisse absolument pas, bande d'odieux passéistes ! Que me chantez-vous donc là !
Ce superbe dialogue demeure durablement implanté dans la culture populaire.
Et il résonne encore aux oreilles des téléspectateurs et cinéphiles de plus de cinquante ans, pour l'avoir entendu, des années durant, dans le générique en noir et blanc annonçant le grand film du dimanche soir. Nostalgie, quand tu nous tiens !
J'adore cet adjectif et cet adverbe du registre soutenu qui caractérisent :
On dit par exemple : "La présentation du journal de 13 heures, sur TF1, est assurée depuis le 22 février 1988, par le sempiternel Jean-Pierre Pernaut".
On dit par exemple : "Je n'en peux plus de ces sempiternelles remises en question de l'histoire par de sombres crétins dont l'ignorance n'a d'égal que la bêtise !".
Mais : "Une ignarE" ! et "L'ignarERIE" !
Ce mot très peu usité et, je crois, fort méconnu relève du registre soutenu.
Source : www.cnrtl.fr et www.larousse.fr
Le mot syndrome est issu du grec ancien et signifie étymologiquement "conjonction d'éléments distincts" ou "réunion d'éléments distincts".
Il désigne :
On parle par exemple du "syndrome de la ville".
Sources : wikipedia.org et www.larousse.fr