Ce curieux et très court substantif masculin en forme de gémination désigne :
dans le langage courant :
une jupe de gaze évasée, faite de plusieurs rangées superposées de tulle, tarlatane ou mousseline très apprêtées, portée par les danseuses de ballet classique.
et par extension : le costume de danseuse de ballet classique, composé d'une jupe (le "Tutu" proprement dit), montée sur un empiècement décolleté ou "Corselet", et recouvrant une culotte courte appelée "Trousse".
Cette appellation désigne un type de sous-vêtement masculin doté d'une fente transversale permettant le passage de la verge (ou "pénis") sans avoir à baisser son slip, à l'instar de la braguette qui évite d'avoir à baisser son pantalon pour uriner.
Ce nom de "Slip kangourou" fait naturellement référence à la "poche abdominale" ou "poste marsupiale" du kangourou femelle, dans laquelle vit son bébé, dont on voit la tête apparaître pour la première fois à partir de l'âge de 5 à 6 mois.
.La marque de bonneterie française Gillier, installée à Troyes (10) et fondée en 1825, s'attribue la paternité de ce sous-vêtement masculin, dont elle a produit les premiers modèles en 1927.
Son dirigeant, le polytechnicien et industriel philanthrope André Gillier (11 décembre 1882 - 16 mai 1935) fut précurseur dans différents domaines, tant dans ses politiques salariales que dans ses créations d'entreprises.
Ayant repris la direction des Établissements Gillier en 1908, il innove dans son domaine en créant le slip kangourou en 1927.
Et en 1929 la première marque française de sous-vêtement : Jil.
En 1933, il fonde l'entreprise Lacoste et sa célèbre maille de coton, avec le célèbre joueur de tennis René Lacoste.
Et il est le premier patron français à instaurer les congés payés dans sa bonneterie, avant qu'ils ne soient instaurés nationalement en 1936.
De peur que l'ensemble des français ne comprenne, très vraisemblablement.
Parti des États-Unis d'Amérique il y a maintenant plus années, le mouvement a gagné la France et amené de plus en plus de jeunes femmes françaises à moins, voire à ne plus du tout, porter de soutien-gorge ; à l'instar des grandes vedettes féminines, que la presse ne cesse de montrer sans soutien-gorge.
Ces différentes locutions verbales du registre familier en forme d'idiotismes numériques, d'idiotismes corporels et d'idiotismes vestimentaires appartiennent au registre familier.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
"Avoir les deux pieds dans le même sabot" ou "Rester les deux pieds dans le même sabot" : attendre sans rien faire ; être embarrassé, incapable d'agir, passif ; ne pas faire preuve d'initiative.
On dit par exemple : "Tu dois réagir, tu ne peux pas rester les deux pieds dans le même sabot !".
"Ne pas avoir les deux pieds dans le même sabot" ou "Ne pas rester les deux pieds dans le même sabot" : être débrouillard, dynamique, actif, entreprenant ; agir, prendre des initiatives.
On dit par exemple : "Mon gendre n'est pas resté les deux pieds dans le même sabot : il a très vite lancé un nouveau projet".
Sources : wiktionary.org, www.expressio.fr et www.languefrancaise.net
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotisme animalier et d'idiotisme vestimentaire appartient au registre familier.
Et elle désigne, au sens figuré, chez les femmes essentiellement : un amas de graisse situé à l'arrière du haut des cuisses, sur les fesses et les hanches, formant des zones durcies et douloureuses au toucher, pouvant favoriser l'apparition de la cellulite.
Ce phénomène, qui s’explique par des facteurs hormonaux et physiologiques, est assez peu observé chez les hommes, dont les amas graisseux sous-cutanés se font plus couramment au niveau du ventre et de la poitrine.
Ces différentes appellations désignent toutes un seul et même type de couvre-chef masculin d'origine allemande, popularisé depuis la fin du XIXe siècle.
De forme arrondie, ce chapeau semi-rigide en feutre de laine se caractérise par une "gouttière" centrale sur le dessus, par un large gros-grain en soie et par un bord ourlé. Il est en général de couleur grise ou foncée.
Le homburg est considéré comme relativement "habillé" (moins que le haut-de-forme mais davantage que le fédora), et il impose le port d'un costume. En principe, il ne comporte pas de creux latéraux, mais on peut pincer le tissu pour lui donner une allure plus décontractée.
Il doit son nom de homburg à la ville de Bad Homburg vor der Höhe, dans le Land de Hesse, d'où il est originaire.
C'est lors de l'une de ses nombreuses cures dans cette ville, au cours des années 1890, que le prince de Galles, futur roi Édouard VII, découvrit ce chapeau. Il en rapporta un exemplaire et décida d'en lancer la mode.
On a ainsi souvent vu le Premier ministre britannique Winston Churchill coiffé d'un homburg.
Mais, dans les années 1930, le ministre britannique des affaires étrangères Anthony Edenporta si souvent le homburg en public que ce chapeau fut surnommé le "Eden" chez les tailleurs londoniens.
Enfin, le homburg connut un regain de popularité dans les années 1970, après que l'acteur Al Pacino l'ait porté dans le film "Le parrain" de Francis ford Coppola, en 1972, ce qui lui vaut parfois le sobriquet de "Chapeau du Parrain".
Certains Juifs orthodoxes portent un chapeau de type homburg, au bord plus large et de couleur noire.