Il s'agit du surnom en forme d'apocope du champion de tennis français Gaël Monfils, né le 1ᵉʳ septembre 1986.
Professionnel depuis 2005, il a atteint son meilleur classement en simple avec la 6ᵉ place du classement ATP en novembre 2016.
Richesse et défense de la langue française
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Il s'agit du surnom en forme d'apocope du champion de tennis français Gaël Monfils, né le 1ᵉʳ septembre 1986.
Professionnel depuis 2005, il a atteint son meilleur classement en simple avec la 6ᵉ place du classement ATP en novembre 2016.
Jean-Luc Godard est un réalisateur franco-suisse, né le 3 décembre 1930 et mort le 13 septembre 2022.
Souvent considéré comme "le père de la Nouvelle vague", on ignore fréquement qu'il est le cousin de l'homme politique péruvien Pedro Pablo Kuzynski Godard, président du Pérou de 2016 à 2018 !
Auteur complet de ses films, il en est fréquemment à la fois le réalisateur, le scénariste, le dialoguiste, et il en maîtrise le montage.
Il y apparaît occasionnellement, parfois dans un petit rôle, parfois non comme acteur, mais comme sujet intervenant. Producteur et écrivain, il est également critique de cinéma et théoricien du cinéma.
Il a été successivement l'époux de l'actrice actrice, chanteuse et écrivaine française d'origine danoise Anna Karina (1961-1967), puis de l'écrivaine, comédienne et réalisatrice française Anne Wiazemsky (1967–1979).
Comme Éric Rohmer, François Truffaut, Claude Chabrol, Jacques Rivette, Jean-Luc Godard commence sa carrière dans les années 1950 comme critique de cinéma. Il écrit notamment dans la "Gazette du cinéma", les "Cahiers du cinéma" et "Arts". Parallèlement à cette activité, il tourne, à partir de 1954 des courts métrages en 16 mm. Ainsi de "Charlotte et Véronique", un marivaudage écrit avec Éric Rohmer, ou de "Une histoire d'eau" (1958), qu'il monte à partir d'images filmées par François Truffaut. "Charlotte et son jules" (1958) est son dernier court-métrage.
Il s'agit de l'une des très nombreuses appellations d'un type de coiffure, souvent moqué de nos jours, couramment appelé "Coupe mulet" ou "nuque longue".
Elle fait naturellement référence, à l'instar du célèbre "mot de Cambronne", au général du même nom.
Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur, scénariste et réalisteur italien Vicenzo Leone, né le 5 août 1879 et mort le 9 janvier 1959.
Pionnier du cinéma italien, il réalise le premier western italien, "La Vampire indienne", en 1913, dans lequel son épouse, l'actrice Bice Waleran tient le rôle de l'Indienne.
Président des réalisateurs italiens, Roberto Roberti sera réduit au chômage du fait de son opposition au fascisme.
Son fils, né en 1929, est le célèbre scénariste et réalisateur Sergio Leone. Lequel prendra en 1964 le pseudonyme américanisé de "Bob Robertson" en hommage au "Roberto Roberti" choisi par son père.
Source : wikipedia.org
Rihanna est le nom d'artiste de la chanteuse barbadienne Robyn Rihanna Fenty,née le 20 février 1988.
Parolière, actrice, mannequin, styliste et femme d’affaires, Rihanna est la première artiste au monde à franchir le cap de 100 millions de ventes numériques aux États-Unis d'Amérique. Elle est également une des artistes solo ayant vendu le plus de disques au monde, avec 280 millions d'unités. Elle dénombre également 251 millions de téléchargements et sonneries, ce qui en fait l'artiste comptant le plus de ventes en numérique de tous les temps. En 2016, elle devient la seconde artiste (derrière Mariah Carey) à détrôner les Beatles, en portant à 60 semaines le temps total passé en tête du classement états-unien avec ses chansons.
Sa fortune est estimée à 600 millions de dollars en juin 2019. Et elle totalise plus de 14 milliards de vues et 32 millions d'abonnés sur YouTube.
En septembre 2017, le géant français du luxe LVMH a lancé la marque de maquillage Fenty Beauty by Rihanna en distribution sélective chez Sephora.
Et en septembre 2018, Rihanna est nommée ambassadrice de la Barbade par le gouvernement de son île natale.
Il s'agit du surnom du chanteur, travesti et directeur de cabaret français Michel Catty, né le 18 juin 1931 et mort le 26 janvier 2020.
Originaire de la Somme (80), il rejoint Paris (75) au début des années 1950 et vit de petits boulots, avant de fréquenter le milieu de la nuit et de se travestir en imitant France Gall ou Brigitte Bardot.
Michou a fondé et dirigé le cabaret "Michou", au numéro 80 de la rue des Martyrs, à Montmartre, où il a développé le concept du cabaret-restaurant-spectacle à partir des années 1960, pour connaître la célébrité dès les années 1970.
Après le dîner, les lumières s'éteignent et le spectacle démarre. Sur une scène minuscule, des travestis remarquablement maquillés chantent en présonorisation ("Play-back") en imitant de grandes vedettes féminines, actuelles ou (le plus souvent) passées, dont les principales restent Dalida, Sylvie Vartan, Chantal Goya ou Édith Piaf.
Michou, qui n'a jamais fait pas mystère de son homosexualité était toujours immédiatement reconnaissable, avec sa coiffure décolorée, ses vêtements bleu électrique et ses célèbres grandes lunettes bleues.
Source : wikipedia.org
Il s'agit du nom d'artiste du musicien, acteur et chanteur français Bernard Wantier, né le 28 décembre 1953.
Il s'est fait connaître avec le groupe "Les Musclés", ainsi que par son interprétation de nombreux génériques de dessins animés, diffusés dans le "Club Dorothée", une émission de télévision française destinée à la jeunesse, produite par AB Productions et diffusée sur la chaîne télévisée TF1 du 2 septembre 1987 au 30 août 1997.
Il s'agit du surnom du jeune criminel de guerre allemand Willi Herold, né le 11 septembre 1925 et mort guillotiné le 14 novembre 1946.
L'incroyable récit de ses méfaits commis en Allemagne, dans la région d'Emsland, au cours des derniers jours de la Seconde Guerre mondiale, a inspiré au réalisateur allemand Robert Schwentke son film "The Captain - L'Usurpateur" réalisé en 2017.
Le 30 septembre 1943, Herold est appelé au service militaire. Après une formation de base avec un régiment de parachutistes, il est envoyé en Italie et combat à la bataille d'Anzio (Latium) et à la bataille de Monte Cassino (Latium), où il est promu au grade de caporal et récompensé pour la destruction de deux chars britanniques sur la plage de Salerne (Campanie).
En mars 1945, l'unité de Herold est transférée en Allemagne. Dans le chaos de l'armée allemande en retraite, Herold se sépare de son unité au début d'avril 1945. Il trouve une voiture abandonnée contenant les bagages d'un capitaine de la Luftwaffe près de Gronau (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), revêt cet uniforme et fait semblant d'être l'officier, rassemblant autour de lui un certain nombre de soldats également perdus.
"Bébel" est le surnom de l'acteur français Jean-Paul Belmondo, né le 9 avril 1933 et mort le 6 septembre 2021.
Mais contrairement à ce que pense la plupart des gens, "Bébel" n’est nullement - à l'origine - un diminutif de "Belmondo".
De 1952 à 1956, ses copains du Conservatoire (Michel Beaune, Bruno Cremer , Jean-Pierre Marielle, Jean-Pierre Mocky, Claude Rich, Jean Rochefort, Pierre Vernier, Annie Girardot, Françoise Fabian, excusez du peu !) l’appelaient en effet "Pépel" en référence à "Pépel Wasska", le clochard cambrioleur interprété par Jean Gabin dans le film français "Les bas-fonds", réalisé en 1936 par Jean Renoir, d'après la pièce de 1902 de l'auteur dramatique russe Maxime Gorki.
Et cela parce que Jean-Paul Belmondo a porté deux années durant un vieux pull vert, dont son amie du Conservatoire Françoise Fabian raconte qu'elle s'amusait a tirer les fils, dans l'espoir qu'il en change enfin !
Ce n'est que par la suite, et par déformation, que, lorsque Belmondo a commencé à avoir du succès, différentes personnes ayant mal entendu et mal compris ce surnom de "Pépel", ont commencé à l'appeler "Bébel", un surnom repris par la presse et le grand public.
Et ce n'est que par la suite que "Pépel" est devenu "Bébel"…
Bébel est le fils de Paul Belmondo (1898-1982), un médailleur et sculpteur de renom d'origine piémontaise et sicilienne, né à Alger, et de Madeleine Rainaud-Richard (1901-1997) une artiste-peintre qui a rencontré son futur mari sur le banc de l'École nationale supérieure des beaux-arts.
Et il est le père de Paul Belmondo, né le 23 avril 1963, dont les carrières de pilote automobile et d'acteur n'ont pas notablement marqué les esprits, du moins à ma connaissance.
Producteur et directeur de théâtre, Jean-Paul Belmondo a alterné au début de sa carrière films populaires et films d'Art et Essai avant de pencher nettement pour la première catégorie.
Sa gouaille de titi parisien et ses cascades sans doublure contribuent à en faire rapidement l'une des plus grandes vedettes du cinéma français.
Champion incontesté du box-office au même titre que Louis de Funès et Alain Delon à la même époque, Jean-Paul Belmondo a attiré dans les salles, en cinquante ans de carrière, près de 130 millions de spectateurs. Et, entre 1969 et 1982, il a joué à quatre reprises dans les films les plus vus de l'année en France : "Le Cerveau" (1969), "Peur sur la ville" (1975), "L'Animal" (1977) et "L'As des as" (1982), égalant le record de Fernandel et n'étant dépassé sur ce point que par Louis de Funès.
Il a tourné sous la direction de grands réalisateurs français, tels que Alain Resnais, Louis Malle, Philippe de Broca, Henri Verneuil, Jean-Luc Godard, Claude Chabrol, François Truffaut, Claude Sautet, Jean-Pierre Melville, Claude Lelouch, Jean-Paul Rappeneau, Georges Lautner ou encore Gérard Oury, ainsi qu'avec quelques réalisateurs étrangers comme Vittorio De Sica, Mauro Bolognini ou Peter Brook.
Il s'agit du surnom du compositeur autrichien Johann Strauss le jeune, fils de Johann Strauss père.
Claude Perdriel est un industriel et homme de presse français, né le 25 octobre 1926.
Il a fondé notamment, en 1958, la célèbre marque de sanibroyeurs SFA, qui a assuré sa réussite financière, et - avec le journaliste et écrivain français Jean Daniel - repris, en 1964, l'hebdomadaire "France Observateur", devenu "Le Nouvel Observateur" en novembre 1964 et "L'Obs" en avril 2014
Claude Perdriel possède les groupes :
Claude Perdriel est directeur de la publication de "Historia", "Le Magazine littéraire","Sciences et Avenir" et "Challenges".
Source : wikipedia.org
Il s'agit du nom de scène de l'acteur franco-belge d'origine néerlandaise Anton Albers, né le 11 avril 1928 et mort le 13 juin 2022.
Né à Anvers (Belgique), de parents néerlandais, ce metteur en scène et auteur de théâtre s'est installé à Paris (75) en 1950 et il fait ses débuts au théâtre en 1953.
Auteur dramatique, il a connu le succès en 1964 avec sa pièce "L'échappée belle", qu'il a joué 250 fois aux côtés de Monique Tarbès et de Romain Bouteille.
À la télévision on l'a vu dans de nombreux téléfilms et feuilletons télévisés, au premier rang desquels le célèbre "Maguy", diffusé de 1985 à 1993, dans lequel il interprétait le rôle du docteur Philippe Bretteville.
Au cinéma, où il débute en 1956, il tourne sous la direction de Marc Allégret, Édouard Molinaro, Jean-Paul Rappeneau ("La Vie de château" en 1965), Georges Lautner, Henri-Georges Clouzot, Marguerite Duras, Yves Boisset, Gilles Grangier, Romain Gary, Michel Deville, André Cayatte, Pierre Richard, Diane Kurys, François Truffaut ("La Femme d'à côté" en 1981), Coline Serreau, Nicole Garcia, Agnès Varda, Jaco Van Dormael ou Patrice Leconte.
Sources : wikipedia.org et www.memoiresdeguerre.com