Comme l'a déclaré la vendeuse Brigitte, le 9 avril 2021, dans l'émission "Affaire conclue", présentée par Sophie Davant, sur la chaîne de télévision publique française France 2.
Mais : "Il N'a PAS été imité jusqu'à présent" !
Si l'adjectif "inimitable" existe en effet, il n'en est pas de même du verbe "inimiter" qui n'est qu'un affreux barbarisme.
Comme l'a déclaré, le 08 avril 2021, l'agent immobilier français Marjolaine Bui, dans l'émission "Téléréalité : que sont-ils devenus ?", diffusée sur la chaîne de télévision française TMC.
Comme l'a lamentablement déclaré l'homme politique français, LFI, Éric Coquerel, le 08 avril 2021.
Mais : "Il NE nous propose aucune alternative" !
Ou : "Il NE nous propose aucune autre SOLUTION" !
Une "autre alternative" est un épouvantable pléonasme, parfaitement intolérable dans la bouche d'un professionnel de la communication tel que lui, fondateur de l'agence de communication "Effets Mer", livrant des articles à la presse et se chargeant de la communication du Vendée Globe.
au sens propre, afin d'exprimer le bruit fracassant de la chute brutale d'une chose ou d'une personne.
On dit par exemple :"Tout était calme chez moi hier soir, lorsque tout à coup, patatras ! L'énorme tableau de famille accroché dans l'escalier s'est détaché du mur !".
Ou : "Ma fille a voulu essayer de faire du vélo sans petites roues. Tout allait bien les vingt premiers mètres et puis patatras ! Elle s'est retrouvée par terre".
et au sens figuré, pour signifier : Catastrophe ! Malheur !
On dit par exemple : "Tout allait bien durant la première heure et puis soudain : patatras ! Deux buts encaissés en moins de dix minutes".
Ou : "Mes finances allaient mieux depuis quelques temps. Mais cette semaine, patatras ! Je dois à la fois changer mon réfrigérateur et faire réparer la toiture après la tornade d'avant-hier".
Sources : Le robert, www.larousse.fr et www.cnrtl.fr
Ces deux substantifs masculins du registre soutenu possèdent des significations relativement distinctes :
"Un bibliophile" est en effet une personne qui aime les livres ; qui recherche et conserve les livres rares et précieux.
Pas forcément les jolies reliures ou les livres très anciens. Il peut par exemple s'agir de premières éditions, d'éditions à tirages limités ou de livres dédicacés.
Le bibliophile est atteint d'une passion appelée "La bibliophilie".
tandis que "Un bibliomane" est une personne accumulant les livres de façon déraisonnable, que ce soit en terme de quantité ou de finances.
Au point que cela puisse éventuellement nuire à la qualité de sa santé ou de ses relations sociales.
Le bibliomane est atteint d'un TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif) appelé "La bibliomanie".
Personnellement, je n'ai par exemple jamais déballé un livre acheté sous plastique scellé, même après plus de 30 ans. Et je n'ai, de toutes façons, de manière générale, pratiquement lu aucun de mes livres, de crainte de les abîmer, préférant emprunter un exemplaire en bibliothèque ou aimablement prêté par l'un de mes libraires...
Sources : Le Robert, www.cnrtl.fr et www.larousse.fr
Ce substantif féminin du registre argotique désigne : la confiture.
C'est à dire : un mélange gélifié de sucre, de pulpe ou de purée d'une ou plusieurs espèces de fruits, obtenu, le plus souvent, en faisant réduire et "confire", dans une bassine à confiture, certains fruits avec un poids équivalent de sucre.
La confiture est une technique de conservation des aliments pour les fruits les plus fragiles.
Mais c'est également un moyen de consommer certains fruits astringents comme le coing ou amers comme la bigarade.
La confiture peut être utilisée pour agrémenter des beignets, des tartines, les yaourts nature, etc.
Et ce mot désigne, dans le jargon du bâtiment et des travaux publics, une variante de béton serré (sec), utilisée principalement pour le coulage de bordures en béton.
Ce substantif féminin désignait à l'origine, dans la Grèce antique, un sacrifice religieux d'une centaine de boeufs. Parfois moins, lorsque la cité n'était pas assez aisée pour se permettre un tel sacrifice.
Par extension, ce mot qualifie de nos jours un massacre d'un grand nombre d'animaux ou de personnes. Ou leur élimination par un quelconque fléau : maladie, circulation routière, etc.
On parle ainsi de l'hécatombe causée par une guerre, de celle qu'occasionne une vague de chaleur caniculaire ou de l'hécatombe résultant des accidents de la toute.
Cette expression en forme d'idiotisme médical relève du registre familierlorsque l'on utilise le verbe "moquer" et du registre vulgaire lorsque l'on utilise le verbe "foutre".
On l'utilise couramment, au sens figuré, pour signifier qu'une personne ou une entité se permet de reprocher à autrui une chose qui la caractérise elle-même.
On dit par exemple : "L'opposition reproche au gouvernement d'agir sans informer la population : c'est vraiment l'hôpital qui se moque de la charité !".
Ou : "Tu ose m'accuser d'égoïsme, toi : c'est vraiment l'hôpital qui se fout de la charité !".
Cette expression constitue une variante de l’expression lyonnaise "C’est la Charité qui se moque de l’Hôpital", attestée à partir de 1865 et tombée en désuétude. L’hospice de la Charité (détruit en 1933) et l’Hôtel-Dieu - couramment appelé "l’Hôpital" - étaient en effet deux grands hôpitaux lyonnais, proches de la place Bellecour, qu’opposait une rivalité de prestige.
L'hôtel-Dieu de Lyon (69)L'hôpital de la Charité, à Lyon (69)
Comme l’a déclaré, le 06 avril 2021, la journaliste sportive française France Pierron, dans l’émission vespérale d’Olivier Ménard "L’Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française L’Équipe.
Mais : "Le CAR des français"ou "L'AUTOCAR des français" !
À ma connaissance en effet, les joueurs de football, même appartenant à de modestes clubs, ne circulent pas dans des "bus" ou "autobus" !