Ce mot du langage courant désigne un coureur cycliste particulièrement performant dans l'ascension des côtes, voire des montagnes.
Source : wikipedia.org
Un étonnant voyage au pays de la langue française.
Pour apprendre en s'amusant et se coucher plus cultivé qu'on ne s'est levé.
Cette curiosité linguistique évolue régulièrement et il convient donc de se tenir au courant !
Concernant par exemple le football, mon sport de prédilection – comme spectateur ou téléspectateur du moins, car, à l’image de Winston Churchill, ma bonne santé n’est guère redevable à quelque pratique sportive que ce soit -, aucun commentateur de la fin du XXe siècle ne parlait de « Sentinelle » ou de « Se faire découper ».
Mais, rassurez-vous, la lecture régulière de cette série d’articles vous permettra de rester informé !
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Ce mot du langage courant désigne un coureur cycliste particulièrement performant dans l'ascension des côtes, voire des montagnes.
Source : wikipedia.org
Ou "Le Classique" en français.
Il s'agit du nom attribué aux rencontres opposant, depuis 1928, le Real Madrid et le FC Barcelone, les deux plus grands clubs de football d'Espagne et deux des six ou huit meilleurs clubs du monde.
Une rencontre retransmise dans 140 pays des cinq continents, et suivie en 2017 par 650 millions de téléspectateurs.
Il s'agit des différents noms d'usage et surnoms du joueur international de football brésilien Neymar da Silva Santos Junior, né le 5 février 1992.
Considéré comme l'un des plus grands joueurs du football brésilien et mondial, il est connu du grand public pour ses tatouages et ses extravagances capillaires.
Neymar porte le brassard de capitaine de l'équipe nationale du Brésil depuis 2014.
Et joue comme attaquant au Paris Saint-Germain depuis 2017, date à laquelle il devient le joueur le plus cher de l'histoire du football avec un transfert évalué à 222 M€, record auparavant détenu par Paul Pogba, transféré pour 105 M€ à Manchester United, en 2016.
Ayant remporté le Bola de Ouro du meilleur joueur du championnat brésilien en 2011, Neymar est élu meilleur joueur sud-américain de l'année en 2011 et 2012.
Classé dixième au classement du Ballon d'or 2011, treizième en 2012 puis cinquième en 2013 et en 2016. Neymar figure dans la liste des trois finalistes du Ballon d'or 2015 aux côtés de Cristiano Ronaldo et Lionel Messi, et est donc le premier joueur brésilien à figurer dans cette liste depuis 2007 et son vainqueur Kaka.
Il affirme donc les espoirs placés en lui et s'impose comme l'un des meilleurs attaquants de sa génération.
Ayant rejoint le club brésilien de Santos en 2003, il joue avec l'équipe A à partir de 2009. Avec ce club, Neymar remporte la Coupe du Brésil, deux championnats de l'État de Sao Paulo, la Recopa Sudamericana et la Copa Libertadores.
Il rejoint en 2013 le FC Barcelone, en Espagne, avec lequel il remporte notamment le Championnat d'Espagne et la Ligue des champions en 2015.
Depuis 2017, avec le PSG, Neymar a remporté 3 championnats de France, une Coupe de la Ligue et une Coupe de France.
En 2011, à l'âge de 19 ans, Neymar remporte le championnat d'Amérique du Sud des moins de 20 ans avec la sélection brésilienne. L’année suivante, le Brésil remporte la médaille d'argent aux Jeux olympiques de Londres, en 2012, après être allé jusqu'en finale face au Mexique. Neymar et sa sélection gagne ensuite la Coupe des confédérations 2013 en battant en finale l'Espagne, championne du monde en titre, sur le score de 3-0. Neymar est élu meilleur joueur du tournoi. Lors de la Coupe du monde 2014, après un excellent début de tournoi, il se blesse en quart de finale et voit ses coéquipiers subir un revers historique face à l'Allemagne en demi-finale.
Il offre en 2016 son premier titre olympique à la sélection brésilienne aux Jeux olympiques de Rio de Janeiro, en marquant sur coup-franc dans le temps règlementaire, puis en transformant le tir au but vainqueur, après prolongation (1-1), en finale face à l'Allemagne. Il signe également le but le plus rapide de l'histoire des Jeux olympiques, après 14 secondes en demi-finale contre le Honduras.
Source : wikipedia.org
Et pas, selon le contexte, :
Ce mot est effet l'apocope du terme anglais "Goalkeeper" signifiant "Gardien de but".
On parle également, dans le jargon sportif de "Portier".
Il s'agit du joueur chargé de protéger le but de son équipe, de manière que le ballon n'en franchisse pas la ligne.
Contrairement aux joueurs de champ, il a le privilège - dans la surface de réparation - de pouvoir utiliser toutes les parties du corps.
Il peut également évoluer sur tout le terrain, alors avec les mêmes restrictions que les autres joueurs. S'il touche le ballon intentionnellement de la main ou du bras hors de sa surface de réparation, il est, comme le seraient tous les autres joueurs, coupable d'une faute d'anti-jeu et, passible d'une sanction (carton jaune ou rouge).
Dernier rempart entre le ballon et le but de son équipe, le gardien occupe donc un poste essentiel.
Source : wikipedia.org
Cette expression du langage courant nous vient - comme bien d'autres - du jeu de paume, où il est difficile voire impossible de renvoyer une balle qui rebondit mal ou rebondit en déviant de sa trajectoire normale et ne va pas là où on l'attend.
La formule "Faire faux-bond" s'utilise donc pour signifier :
Cela peut être le cas au basket-ball, au football, au handball, au jeu à XIII, au rugby (avec un ballon) ainsi qu'au tennis ou au tennis de table (avec une balle).
On dit par exemple : "Un ami devait s'associer aves moi mais il m'a fait faux-bond".
Source : wiktionary.org
Mais : "JOUER AU tennis" ou "PRATIQUER LE tennis" !
Et pas : "Le dernier carré" !
Il s'agit d'une blessure est de même type que la déchirure musculaire, qui peut survenir lors de mouvements brusques, lorsque le corps n'est pas suffisamment échauffé ou assoupli.
L'élongation consiste en de micro-déchirures au sein des fibres musculaires, dues à une sollicitation intempestive et excessive du muscle, à la limite de sa tolérance d’élasticité.
Le muscle dépasse ses possibilités normales d'élasticité et cet étirement anormal de la fibre musculaire provoque une réaction inflammatoire ; mais pas de rupture de la fibre elle-même, à la différence du claquage.
Les muscles les plus touchés chez les sportifs sont la cuisse et le mollet.
Sources : www.doctissimo.fr et wikipedia.org
Cette formule du langage courant désigne :
On parle par exemple du "Dernier carré de la Vieille Garde à Waterloo".
On parle par exemple du "dernier carré des chapeliers, des disquaires ou des merceries".
On dit par exemple : "Avec cette victoire, le PSG se hisse une nouvelle fois dans le dernier carré de la compétition".
Source : wiktionary.org
Et pas : "Une invitation privilégiée" ou "Une invitation" !
Ce terme est en effet utilisé dans un certain nombre de sports - e particulier le tennis - pour désigner une autorisation exceptionnelle accordée à un joueur, une joueuse ou une équipe de participer à une épreuve bien qu'il ou elle ne réponde pas aux critères communs de sélection.
Ces expressions du registre familier signifient :
On dit par exemple : "Mon équipe est aux taquets sur ce projet".
On dit par exemple : "Avec la crise sanitaire liée à la maladie à coronavirus 2019, les soignants sont aux taquets".
Voir également mon article consacré au mot polysémique "Taquet".
Ce mot polysémique du langage courant désigne tout à la fois :
Voir également mon article consacré aux expressions "Être aux taquets", "Être à taquet" ou "Être taquet".
Source : www.larousse.fr
Mais : "SOUTENIR une équipe" et "SOUTENIR un club" !
Je ne "supporte" plus cette mauvaise utilisation du verbe "supporter", qui n'a jamais voulu dire "soutenir" comme c'est naturellement le cas du verbe anglais "to support" !
Et pas : "Un coup de poing remontant" !
Et pas, selon le contexte, : "Un coup de pied de réparation" ou "Un tir au but" !
Le terme anglais "Penalty kick" signifie en effet "Coup de pied de pénalité", mais cette locution est déjà utilisée en rugby.
En football, il s'agit d'un coup de pied tiré directement au but, en face du seul gardien. Et il est octroyé par l'arbitre en tant que sanction d'une faute commise en défense dans la surface de réparation (loi 14 du football).
Régis par la loi 10 du football relative à l'issue d'un match, les tirs au but sont à distinguer des "penaltys" (loi 14), dont l'exécution est similaire mais qui sont consécutifs à des fautes dans le cours du jeu.
Source : wikipedia.org