"Un rabelaisant" ou "Une rabelaisante" et "Un rabelaisien" ou "Une rabelaisienne".

Tous ces substantifs se rapportent naturellement à l'écrivain français de la Renaissance François Rabelais

L'écrivain français François Rabelais

Mais - à la différence des adjectifs homonymes -, leurs significations sont très proches les unes des autres, puisque, en effet, :

  • "Un rabelaisant" ou "Une rabelaisante" désignent une personne qui étudie ou est spécialiste de Rabelais et de son œuvre.

On dit par exemple : "J'ai suivi avec bonheur les cours d'un rabelaisant émérite".

  • tandis que "Un rabelaisien" ou "Une rabelaisienne" désignent un connaisseur de Rabelais et de son oeuvre, un partisan de sa doctrine ou un écrivain dont l'oeuvre s'inspire de Rabelais.

On dit par exemple : "Molière était un grand rabelaisien".

Voir également mon article "Rabelaisant" ou "Rabelaisante" et "Rabelaisien" ou "Rabelaisienne" ainsi que ma collection consacrée à "L'héritage langagier de Rabelais".

A.J. Cronin

L'écrivain écossais A.J. Cronin

Ce nom m'a toujours été familier, car j'ai souvent vu traîner dans la maison de mes grands-parents, lorsque j'étais enfant, des livres où il figurait en couverture.

Même si je ne m'étais, à vrai dire, jamais réellement posé la question, j'avais toujours pensé qu'il s'agissait d'un auteur français.

Et ce n'est qu'en lisant récemment la jaquette du DVD d'un film adapté de l'un de ses ouvrages ("Les clés du royaume", pour ne pas le citer), que j'ai enfin pris l'initiative de me renseigner sur cet auteur.

J'ai ainsi appris que "A.J. Cronin" constituait le nom de plume de l'écrivain écossais Archibald Joseph Cronin, né le 19 juillet 1896 et mort le 6 janvier 1981.

A.J. Cronin est considéré comme un des plus grands écrivains écossais et plusieurs de ses ouvrages sont considérés comme des chefs-d'oeuvre, en particulier "La Citadelle" et surtout "Les Clés du royaume".

Médecin des pauvres en milieu industriel, puis avec une brillante clientèle à Londres (Angleterre) (Grande-Bretagne), il ne commence à écrire qu'en 1931, à l'âge de 37 ans.

Et l'un de ses fils, Vincent Cronin, est également écrivain.

Son itinéraire et ses origines inspirent nombre de ses personnages romanesques. Et ses romans contiennent de nombreux éléments biographiques.

Ayant publié une vingtaine de romans, principalement tragiques, A.J. Cronin demeure l'un des romanciers les plus traduits, les plus diffusés et les plus adaptés par le cinéma et par la télévision :

  • "Le Chapelier et son château" (1940), adapté au cinéma par Lance Comfort en 1941,
  • "Aux Canaries" (1933), adapté au cinéma par Irving Cummings en 1934,
  • "Sous le regard des étoiles" (1935), adapté au cinéma par Carol Reed en 1939,
  • "La citadelle" (1937), adapté au cinéma par King Vidor en 1938,

Affiche du film du film "La citadelle" de King Vidor (1938) d'après le roman de A.J. Cronin

  • "Soeurs" (1939), nouvelle adapté au cinéma par George Stevens en 1940,
  • "Les Années d'illusion" (1940), adapté à la télévision par Pierre Matteuzzi en 1977,
  • "Les clés du royaume" '1941), adapté au cinéma par John M. Stahl en 1944,

Affiche du film du film "Les clés du royaume" de John M. Stahl (1941) d'après le roman de A.J. Cronin

  • "Les vertes Années" (1944), adapté au cinéma par Victor Saville en 1946,
  • "Le Jardinier espagnol" (1950), adapté au cinéma par Philip Leacock en 1956,
  • "L'Épée de justice" (1953), adapté au cinéma par Jack Cardiff en 1959.

Source : wikipedia.org

"Ô temps suspends ton vol".

Cette superbe phrase, souvent reprise et pratiquement entrée dans le langage courant des personnes lettrées, est extraite de l'un des plus célèbres poèmes d'Alphonse de Lamartine, "Le Lac".

Le poète français Alphonse de Lamartine

Paru dans le recueil "Méditations poétiques "en 1820, ce poème est considéré comme un des fleurons de la poésie romantique française.

L'origine du poème

Alphonse de Lamartine admirait Julie Charles (l'épouse du célèbre physicien Jacques Charles).

Julie Bouchaud des Hérettes, épouse Charles
Julie Bouchaud des Hérettes, épouse Charles

Malade, la muse du poète n'avait pas pu se rendre, en août 1817, au lac du Bourget (73), lieu de maintes rencontres, où elle devait le revoir.Et elle mourut peu après.

Lamartine revint seul revoir les lieux qu'il avait visités autrefois avec elle, comme la grotte qui porte aujourd'hui son nom ("Grotte Lamartine").

La grotte Lamartine, sur les bords du lac du Bourget (73)

Surpris de trouver la nature toujours semblable à elle-même et indifférente, il souhaite qu'elle garde au moins le souvenir de leur bonheur passé. La douceur mélodieuse des vers exprime heureusement le calme voluptueux d'une nuit d'été, et la fuite rapide des heures. L'œuvre, composée de seize quatrains, rencontre un grand succès et propulse son auteur au premier rang de la poésie romantique et du lyrisme.

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"Il faut que tout change pour que rien ne change" ou "Tout doit changer pour que rien ne change".

Cette célébrissime réplique (*) est extraite de l'un des chefs d’oeuvre de la littérature mondiale, ayant donné lieu, en 1963, à une célèbre adaptation cinématographique du réalisateur Luchino Visconti, "Le Guépard".

Le livre, paru à titre posthume en 1958, est l'unique roman de l'écrivain et aristocrate italien Giuseppe Tomasi di Lampedusa.

Le récit prenant place en Sicile au cours de cet événement charnière de l’histoire italienne que constitue le "Risorgimento", ce grand mouvement d’unification du pays dans la seconde moitié du XIXe siècle, "Le guépard" a pour sujet le rapport au temps et en particulier le déclin inéluctable d’une aristocratie séculaire.

Il retrace, de mai 1860 à juillet 1883, la vie de "Don Fabrizio Corbera, prince de Salina" dit "le Guépard", un prince sicilien - interprété par l'acteur américain Burt lancaster dans le film de  Visconti -, au milieu des tourments révolutionnaires.

Et de Tancredi (Alain Delon dans le film), son neveu, noble désargenté, mais fin politicien, qui semble comprend la nature des enjeux et déclare ce que beaucoup considèrent comme la phrase-clé du roman : "Il faut que tout change pour que rien ne change" / "Tout doit changer pour que rien ne change !".

Ce superbe aphorisme reflète l'enjeu principal du roman : changer et vivre, ou rester tel quel et disparaître progressivement. Dans son roman, Lampedusa analyse l'alternative : Tancredi représente l'aristocratie ayant accepté de changer et de vivre avec son temps, abandonnant les valeurs de pureté du sang pour des valeurs plus pragmatiques comme le succès et l'argent. Tandis que la fille de Don Fabrizio, "le Guépard", (Lucilla Morlacchi dans le film... et non Claudia Cardinale, comme certains l'auront pensé, avouez le !) représente, elle, le choix du passéisme, certes beau et honorable, mais conduisant inéluctablement la famille vers une fin triste et poussiéreuse.

(*) : Pour les puristes :

  • la phrase d'origine, dans la traduction de 1959 de l'agrégée d'italien Fanette Pézard, était, très exactement, : "Si nous voulons que tout reste pareil, il faut que tout change".
  • Et la phrase italienne de Lampedusa, pour les italianophones, : "Se vogliamo che tutto rimanga come è, bisogna che tutto cambi".
  • La v.o.s.t.f. du film de Visconti l'a légèrement modifié en : "Si nous voulons que tout reste tel que c'est, il faut que tout change".

Source : franckculture.wordpress.com

"Meuble d'époque" et "Meuble de style".

On a souvent du mal à distinguer le "meuble d'époque" du "Meuble de style".

La lecture de cet article vous permettra - je l'espère - d'y voir plus clair et ne plus vous poser la question à l'avenir.

  • Un "meuble d'époque" est un meuble fabriqué pendant l'époque correspondant au nom du style en cours. Ils sont rares, chers et souvent trop fragiles pour une utilisation courante.
  • Un "meuble de style" est un meuble fabriqué après l'époque correspondant au nom du style. Il s'agit d'une copie de meuble d'époque.

Certains styles de meuble, comme le Louis XVI, sont plus faciles à copier, aussi les retrouve-t'on en plus grand nombre sur le marché.

Il existe deux catégories de "meubles de style" :

        • Un "meuble de style d'ébénisterie" :

Ce type de meuble est réalisé à l'unité, souvent sur commande, dans les ateliers des artisans-ébénistes.

Sa qualité d’exécution et sa fidèle reproduction lui confère un cachet immédiat et une valorisation certaine sur le long terme.

Ces meubles réalisés pour des connaisseurs complètent ou remplacent souvent des ensembles de meubles d'époque dépareillés. Leur solidité permet un usage quotidien.

Ils cotent en moyenne de cinq à dix fois moins qu'un original d'époque, leur prix démarrant à partir de plusieurs milliers d'Euros.

L'artisan utilise les mêmes techniques et matériaux que le meuble d'époque : merisier, chêne, noyer, acajou ou hêtre pour les sièges. L'assemblage, le ponçage, la teinture, le cirage sont manuels. Les sculptures de caractères sont réalisées à la gouge et le vernis au tampon.

        • Un "meuble de style de série".

La production en série des meubles de style débute dès la fin du XIXe siècle.

Les formes générales du meuble d'époque sont conservées mais les lignes se simplifient. Les motifs de décoration deviennent plus grossiers, moins détaillés et se standardisent.

Les techniques industrielles de découpage à la machine, ponçage, vernissage au pistolet,etc. remplacent le travail manuel de l'artisan.

"Une antiquité" et "Un faux"

  • Enfin, "une antiquité" est un meuble d'époque ou de style âgé de plus de cent ans. Ainsi, les copies de meuble style Louis XV réalisées sous le Second Empire sont par exemple des antiquités.
  • Et "un faux" est une copie ancienne ou récente réalisée dans le but de la faire passer frauduleusement pour un "mobilier d'époque".

Source : www.meubliz.com

Micheline Presle

L'actrice française Micheline Presle

Il s'agit du nom de scène de l'actrice française Micheline Chassagne, née le 22 août 1922.

L'actrice française Micheline Presle

Ce nom de "Presle" lui vient de son premier succès au cinéma, dans "Jeunes filles en détresse" de Georg Wilhelm Pabst (1939), son quatrième film, où elle incarne une jeune pensionnaire nommée "Jacqueline Presle".

Affiche du film français "Jeunes filles en détresse" de Georg Wilhelm Pabst (1939)

Par sa longévité et le prestige de sa carrière, elle est l'une des légendes vivantes du cinéma français.

Affiche du film français "Le diable au corps" de Claude Autant-Lara (1947)

En 1947 elle tourne aux côtés de Gérard Philipe dans "Le diable au corps" de Claude Autant-Lara (1947), avant de quitter la France pour les États-Unis à la fin des années 1940.

Elle y rencontre William Marshall (1917-1994) divorcé de Michèle Morgan (1920-2016) dont il a un fils, Mike Marshall (1944-2005). Ils se marient en 1950 et divorcent en 1954, après avoir eu une fille, Tonie Marshall, en 1951, devenue réalisatrice.

L'actrice française Micheline Presle et sa fille la future réalisatrice Tonie Marshall
L'actrice française Micheline Presle et sa fille la future réalisatrice Tonie Marshall

De 1965 à 1971, elle acquiert une grande notoriété en incarnant la pétulante Ève Lagarde, l'épouse de Pierre (Daniel Gélin), dans "Les Saintes chéries", un feuilleton télévisé à succès, réalisé par un certain... Jean Becker, assisté (pour la dernière saison tout du moins) du jeune... Jean-Jacques Beinex.

Lors de mon arrivée en France à l'âge de 4 ans, début 1965, il faisait partie de mes trois feuilletons préférés avec les mythiques "Au nom de la loi" et "Thierry la fronde".

Ève et Pierre Lagarde dans le feuilleton télévisé "Les saintes chéries" (1965-1971)
Ève et Pierre Lagarde dans le feuilleton télévisé "Les saintes chéries" (1965-1971)

Comme moi, j'en suis sûr, vous vous souvenez certainement de sa B.O. :

Source : wikipedia.org

"Jeanne Fusier-Gir".

L'actrice française Jeanne Fusier-Gir

Cette actrice française est née le 22 avril 1885 et morte le 24 avril 1973.

Ayant débuté au théâtre dans les années 1900 aux côtés de la grande Réjane, elle apparaît à ses débuts dans deux films muets sous le nom de "Jeanne Fusier".

Puis adopte le nom de "Jeanne Fusier-Gir", après son mariage, en 1911, avec le peintre Charles Gir.

Fille de l'artiste dramatique Léon Fusier, Jeanne Fusier-Gir a joué au théâtre dans de nombreuses pièces et opérettes.

Cinéma

Au cinéma, à l'instar de Pauline Carton - à qui elle dispute la place de première pipelette du cinéma français - elle tient un " second rôle" dans environ 170 films, de 1929 à 1966, et acquiert une popularité auprès du public qui aime retrouver la vivacité de son jeu et sa voix très reconnaissable.

Même s'il ne retient malheureusement pas toujours son nom, comme souvent.

Elle tombait notamment amoureuse de Fernandel dans "Tu m'as sauvé la vie" de Sacha Guitry (1950), ainsi que dans "Les cinq sous de Lavarède" de Maurice Cammage (1939).

L'actrice française Jeanne Fusier-Gir

Elle a été l'une des interprètes favorites de Sacha Guitry, avec qui elle avait appris la comédie très jeune, qu'elle était l'une des seules personnes à tutoyer et sous la direction duquelle elle a tourné une douzaine de films.

Et a également tourné à plusieurs reprises sous la direction de Henri-Georges Clouzot, dont "Le corbeau" en 1943 et "Quai des orfèvres" en 1947.

Ainsi que pour des réalisateurs aussi renommés que Jacques Becker, Christian-Jaque, Julien Duvivier, Gilles Grangier, André Hunebelle, Marcel L'herbier, Jean-Paul Le Chanois, Max Ophüls ou Henri Verneuil.

L'actrice française Jeanne Fusier-Gir

Vie privée

Épouse du peintre et caricaturiste Charles Gir, à compter du 12 octobre 1911, elle était la mère du réalisateur François Gir (1920-2003).

Mais en aucune façon du célèbre dessinateur de bande dessinée Gir (1938-2012), alias Jean Giraud,  également connu sous le nom de Moebius ; "Gir" n'étant dans ce cas que l'apocope de "Giraud", utilisée comme nom de plume.

Sources : wikipedia.org et encinematheque.fr

Quelle est la question qui se poserait si le poète grec Homère venait à se réincarner de nos jours ?

Réponse
« L’Homère d’aujourd’hui vaut-il l’Homère d’alors ? »
Explication du calembour
Il résulte de lhomophonie entre la locution « l’Homère d’alors » et l’expression du registre argotique « Oh merde alors ».

Statue d'Homère réalisée en 1812 par le sculpteur français Philippe-Laurent Roland ( 13 août 1746 - 11 juillet 1816)

Statue d'Homère réalisée en 1812 par le sculpteur français Philippe-Laurent Roland ( 13 août 1746 - 11 juillet 1816)

Anémone

L'actrice française Anémone

Il s'agit du nom de scène de l'actrice et scénariste française Anne Bourguignon, née le 9 août 1950 et morte d'un cancer le 30 avril 2019.

L'actrice française Anémone

Elle tient son pseudonyme du premier film dans lequel elle a tourné, "Anémone" de Philippe Garrel, en 1968.

Anémone a été la compagne de l'homme politique écologiste Brice Lalonde et du réalisateur Philippe Galland.

Elle a commencé sa carrière au café-théâtre, avec la troupe du Splendid.

C'est Coluche qui lui offre son premier grand rôle au cinéma dans "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" en 1977.

Affiche du film français "Vous n'aurez pas l'Alsace et la Lorraine" de Coluche (1977)

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"Mag-Avril"

L'actrice française Mag-Avril

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Marguerite Perrée-Sauvan, née le 9 mars 1899 et morte le 4 novembre 1985.

Elle a débuté au théâtre en 1949, après avoir commencé à tourner pour le cinéma en 1941.

Bien qu'on la retrouve au générique de 66 films jusqu'en 1974, elle n'a jamais eu, je crois, de rôle très important.

Mais comme je regarde toujours intégralement les génériques des films (*), j'ai très vite retenu son nom - étonné par son étrange pseudonyme -, puisqu'on la retrouve dans pas moins de 11 films de ma vidéothèque personnelle :

  • "Coeur de coq" de Maurice Cloche (1946), "Le boulanger de Valorgue" de Henri Verneuil (1953), "Le chômeur de Clochemerle" de Jean Boyer (1957), "Les vignes du Seigneur" du même réalisateur (1958), "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier (1963), "Le bon roi Dagobert" de Pierre Chevalier (1963), aux côtés de Fernandel,

Affiche du film français "Le bon roi Dagobert" de Pierre Chevalier (1963)

  • "Lady paname" de Henri Jeanson (1950), aux côtés de Louis Jouvet,

Affiche du film français "Lady Paname" de Henri Jeanson (1950)

  • "Le cas du Docteur Laurent" de Jean-Paul Le Chanois (1957) et "Les misérables" du même réalisateur (1958), aux côtés de Jean Gabin,

  • "Fortunat" d'Alex Joffé (1960), "La cuisine au beurre" de Gilles Grangier (1963) et même "La grande vadrouille" de Gérard Oury (1966) aux côtés de Bourvil !

Affiche du film français "Fortunat" de Alex Joffé (1960)

Aujourd'hui bien oubliée de tous, j'ai eu toutes les peines du monde à trouver une misérable photo d'elle sur internet...

(*) : Je ne parle naturellement pas de ces génériques actuels interminables de 5 à 8 minutes, qui, par obligation légale, nous égrènent sempiternellement  - en particulier à la fin des films à gros budget états-uniens - la liste exhaustive des noms de l'intégralité des chauffeurs, assistants stagiaires éclairagistes et autres remplaçants menuisiers des deux ou trois équipes de tournages, ainsi que des dizaines de cascadeurs ou des centaines de spécialistes des effets spéciaux !

Mes lecteurs réguliers ont compris depuis belle lurette que mes goûts cinématographiques m'empêchent le plus souvent de trouver le moindre intérêt dans un film de moins d'un petit quart de siècle !

Source : wikipedia.org

Pourquoi dire : "Spoiler" ?

Et pas : "Dévoiler", "Divulguer" ou "Divulgâcher''.

Il s'agit en effet de dévoiler tout ou une partie de l'intrigue d'une oeuvre (livre, film, jeu vidéo), et donc de gâcher le plaisir et la surprise de pouvoir découvrir l'oeuvre par soi-même.

Par exemple, en annonçant dans un résumé la mort du personnage principal d'un film ou d'un roman.