Nos amis belges ont créé cet amusant substantif pour désigner une personne tentant de faire plaisir à tout le monde ou de satisfaire des intérêts divergents.
Étonnant, lorsque l’on sait que la maladie à coronavirus 2019, le SRAS-COV de 2003, le virus Ebola, le virus Marburg ou le virus Nipah ont tous été à l’origine hébergés pas la chauve-souris, avant de muter et d’être transmis à l’homme !
Pour mémoire : une anagramme est un mot ou une expression obtenu en permutant les lettres d'un mot ou d'une expression de départ.
mais également : une partie d'une arme à feu, également appelée "Feuille de sauge" (parce qu'elle en a la forme), "Paillette à ressort" ou "Ressort à baguette",
et enfin, chez certains insectes volants comme la mouche : une petite pièce membraneuse unie d'une part à la base de l'aile et de l'autre aux côtés du scutellum.
En sciences de la nature, un "Nom vernaculaire" ou "Nom commun" est un nom indigène, usuel ou désuet, en langue locale ou nationale, donné à une ou plusieurs espèces animales, fongiques ou végétales dans son pays ou sa région d'origine.
Un tel nom peut donc désigner des taxons très différents selon le contexte.
Les noms vernaculaires sont souvent repris pour former la base des noms normalisés ou des noms vulgaires, équivalents des noms scientifiques dans une langue donnée.
Malgré leur imprécision et leur frein à l'universalisation des noms, les noms vernaculaires ont souvent la faveur du public dans le langage courant et font partie du patrimoine ethnolinguistique, de la tradition orale et de la culture populaire.
Par exemple, dans le cas du moineau commun :
"Piaf" (registre populaire), "Pierrot" (registre familier) et ""Moineau" (langage courant) sont des noms vernaculaires.
"Moineau franc" est un nom vulgaire, non retenu par la CINFO (Commission Internationale des Noms Français des Oiseaux).
"Moineau domestique" est le nom normalisé retenu par la CINFO (Commission Internationale des Noms Français des Oiseaux).
et "Passer domesticus" est le nom binominalde l'espèce.
Le quokka est un petit marsupial que l'on ne trouve qu'en Australie-Occidentale.
Caractéristiques
Le quokka pèse de 2,5 à 5 kg et mesure de 40 à 54 cm de long, avec une queue relativement courte pour un marsupial, d’une longueur d'environ 25 à 30 cm.
Sa fourrure, au poil grossier, est d'un brun gris sur le dos virant au chamois sous le ventre.
C'est un animal trapu, avec des oreilles rondes et une tête courte et large.
Sa durée de vie est de 5 à 10 ans.
Il est l'un des rares marsupiaux à posséder, comme les primates, une vision trichromatique.
Comportement
Ses pattes arrière étant moins puissantes que celles des autres marsupiaux, le quokka se déplace soit en sautant sur ses pattes arrière, soit en marchant sur ses quatre membres.
Il peut grimper dans les petits arbres et les arbustes jusqu'à 1,5 mètres.
Il vit en groupe d'une centaine d'individus et est essentiellement nocturne. Ces animaux sociables et curieux n'hésitent pas à approcher les humains.
Alimentation
Le quokka est un animal herbivore : il se nourrit de plantes, de fruits, de légumes, de racines, d'insectes, de feuilles, mais également de graminées et de racines qu'il peut déterrer avec ses griffes.
Alors qu'il est un animal plutôt terrestre, le quokka peut également grimper aux arbres pour atteindre sa nourriture.
Le quokka a besoin d'une grande quantité d'eau, mais son habitat pouvant en manquer, il comble l'essentiel de ses besoins par son alimentation en végétaux.
De ce fait, il est interdit de nourrir les quokkas car la nourriture humaine peut provoquer leur déshydratation et leur malnutrition.
Mode de vie
Le quokka est un animal nocturne qui sort à la tombée de la nuit de son abri dans les broussailles, où il a passé la journée à dormir. Il se regroupe en bandes de plus de cent individus pour se nourrir. Et il retourne dans son abri au lever du jour.
Les renards, les dingos et les chats sont ses principaux prédateurs. Les plantes épineuses d'Acanthocarpus sont leur abri de jour préféré pour dormir. Les quokkas y sont en effet très difficilement accessibles pour les humains et les autres animaux.
Interaction humaine
Les quokkas ont très peu peur des humains, en particulier sur l'île Rottnest.
Cependant, bien que les quokkas aient la réputation d'être les animaux les plus heureux sur Terre, chaque année, on compte quelques dizaines de cas, de quokkas mordant des personnes, souvent des enfants.
Il existe certaines restrictions concernant l'alimentation. Il est interdit de manipuler les animaux de quelque manière que ce soit, et l'alimentation, en particulier la nourriture humaine, est interdite, car ils peuvent facilement tomber malades.
Les quokkas peuvent être observés dans plusieurs parcs animaliers en Australie. Mais l'interaction physique n'est généralement pas autorisée sans autorisation.
Reproduction
Les accouplements ont lieu en hiver et la gestation dure 28 jours. Les quokkas peuvent se reproduire dès l'âge de 18 mois et peuvent donner naissance à des petits deux fois dans l'année.
À sa naissance, le petit rampe jusqu’à la poche marsupiale où il s’accroche à une tétine. Il commence à quitter la poche marsupiale à l’âge de 6 mois mais il s’y réfugie encore jusqu’à 10 mois.
Le lait maternel reste son apport nutritif jusqu'à ses 8 mois. Ensuite, il suit sa mère dans l'apprentissage des bons et mauvais aliments qu'il peut trouver dans son environnement.
Les femelles peuvent mettre bas jusqu'à deux fois par an et donner naissance jusqu'à 17 quokkas au cours de leur vie.
Lorsqu'un quokka femelle avec un bébé dans sa poche est poursuivi par un prédateur, elle laisse tomber son bébé sur le sol qui va produire de bruits permettant d'attirer l'attention du prédateur pendant que la mère s'échappe...
Aire de répartition
Le quokka vit uniquement dans l’État d’Australie-Occidentale, principalement sur deux îles où les Européens n'ont pas introduit de prédateurs : l’île de Rottnest près de Perth et l'île de Bald, près d'Albany.
On le trouve aussi dans les environs de Perth, sur le continent, où il vit principalement en groupe dans les zones herbeuses et les fourrés marécageux.
Environ 10 000 quokkas vivent sur l'île de Rottnest et 4 000 sur le continent australien.
Au moment de la colonisation, le quokka était très présent sur l'île, distribué sur une superficie d'environ 41 200 km2 du Sud-Ouest de l'Australie-Occidentale, y compris les deux îles au large, Bald et Rottnest.
En 1992, la répartition du quokka sur le continent avait été réduite de plus de 50 %, ne dépassant pas les 17 800 km2.
En 2015, un feu de brousse près de Northcliffe a presque éradiqué l'une des populations locales du continent, avec la mort d'environ 90 % des 500 quokkas.
Menaces et conservation
De nombreuses espèces invasives ayant rejoint le territoire australien, la population du quokka est en baisse. En 2008, il est ainsi classé parmi les espèces animales dites "vulnérables" dans la liste rouge de l'UICN en raison de la forte diminution de sa population suite à l'introduction de prédateurs non-naturels comme le renard ou le chat sauvage.
Il s'agit donc d'une espèce protégée qu'il est interdit de posséder en tant qu'animal de compagnie.
L'exploitation de mines à ciel ouvert , le développement agricole, le défrichement, le brûlage des marécages restants et l'expansion des logements ont réduit l'habitat des quokkas, contribuant au déclin de l'espèce.
Bien qu'ils s'accouplent constamment, généralement un jour après la naissance des jeunes, la petite taille de la portée, ainsi que l'espace restreint et les prédateurs menaçants, contribuent à la rareté de l'espèce sur le continent.
Il s'agit du nom de scène de la chanteuse et actrice française Colette Raget, née le 1er novembre 1924 et morte d'un cancer le 6 octobre 2010.
Elle a notamment triomphé dans le rôle-titre de la comédie musicale "Irma la douce", de Marguerite Monnot, qu'elle a joué de 1956 à 1967.
Elle a connu de nombreux succès populaires avec ses chansons. Et elle est sans doute la dernière chanteuse inspirée par les réalistes d'après-guerre. Sa voix très expressive et son interprétation ainsi que sa diction la rendent reconnaissable au premier couplet.
Elle a enregistré plusieurs albums de chansons érotiques, paillardes ou grivoises.
La plus célèbre d'entre elles est certainement "Les Nuits d'une demoiselle", où elle énumère pas moins de 28 délicieuses façons imagées d'évoquer la masturbation ou la pénétration !
Elle n'est que très peu passé à la télévision, car elle refusait de chanter en présonorisation.
Coette Renard a joué dans quelques films ainsi que dans la série télévisée "Plus belle la vie".
Vie privée
Mariée à quatre reprises - avec Jean Houssin (1945-1947), Georges Chottin (1952-1955), Raymond Legrand (1960-1969) et Michel Wandler-Maurette (1978-2002) - Colette Renard a également entretenu une liaison très médiatisée avec l'acteur et chanteur Franck Fernandel dans les années 1970.
Cette locution verbale du registre soutenu est tout simplement le vrai nom de ce que l'on désigne plus familièrement sous le nom de "La queue" (d'un animal).