Cette locution du registre soutenu signifie "Avant tout", "Essentiellement".
On dit par exemple : "Toutes les conditions sont réunies pour que le club réussisse enfin cette année sur le plan européen ; et au premier chef, le recrutement de deux joueurs d'exception cet été.
Il s'agit de l'appellation informelle couramment utilisée, depuis 1966, pour désigner la RDC (République Démocratique du Congo) du nom de sa capitale (l'ancienne Léopoldville), par opposition à la République du Congo (l'ancien Congo "français"), elle-même surnommée "Congo-Brazzaville", du nom de sa capitale politique.
Il s'agit du nom employé pour désigner, de manière informelle, la "République du Congo" (forme longue), couramment appelée, par ellipse, "le Congo" (forme courte).
Ce pays d'Afrique centrale, ayant pour capitale Brazzaville - ainsi nommée en hommage à l'explorateur italien naturalisé français Pierre Savorgnan de Brazza - est situé de part et d'autre de l'équateur et s’étend sur 1 500 km du Nord au Sud et 425 km d'Est en Ouest.
Il a pour voisins, au Nord, le Gabon, le Cameroun et la République centrafricaine et, au Sud et à l'Est, la RDC (République Démocratique du Congo), dont il est séparé, en partie, par le fleuve Congo puis par l'Oubangui.
L'appellation "Congo-Brazzaville" s'utilise pour distinguer la "République du Congo" de l'autre Congo - la "République démocratique du Congo" (RDC), que l'on surnomme de la même façon, de manière tout aussi informelle, en référence à sa propre capitale politique "Congo-Kinshasa".
Ces trois expressions - relevant respectivement du registre argotique, du langage courant et du registre familier - signifient, pour nos amis marseillais et provençaux, "Se donner du mal".
Voir également mon article sur toutes les façons de dire "Se donner du mal".
Le registre argotique est relativement riche lorsqu'il s'agit de vouloir dire "Se donner du mal", puisque l'on peut tout aussi bien : "Se casser le bol", "Se casser le tronc" (idiotisme botanique), "Se casser le baigneur" ou "Se casser la paillasse".
On peut même "Se casser le cul" voire "Se crever le cul" (idiotismes corporels du registre vulgaire) !
Le registre familier nous offre "Se casser la nénette" ou "Se casser la tête".
Ainsi que les idiotismes numériques "Se couper en quatre", "Se mettre en quatre" ou "Se plier en quatre".
Et l'on dira, dans le langage courant, "Se décarcasser", "Se démener" ou "Se donner de la peine".
Localement, les provençaux disent "Se lever le maffre". Et les marseillais : "Se crever le bédélet" ou "Se lever l'âme", que je reconnais avoir personnellement adopté depuis mon arrivée à Aix-en-Provence (13) en 1999.
Enfin, nos amis québecois disent "Se fendre en quatre" (registre familier) voire "Se fendre le cul en quatre" (idiotisme corporel du registre argotique).
Ce mot peu connu désigne une figure graphique d'un mot ou d'un groupe de mots permettant une double lecture.
Un ambigramme peut ainsi se lire selon différents points de vue, en particulier par symétrie centrale (en faisant pivoter le visuel) ou par symétrie axiale (effet miroir).
La double lecture d'un ambigramme peut donner le même mot, ou un autre mot (ou groupe de mots).
L'existence d'ambigrammes est rendue possible notamment par la capacité humaine à reconnaître des caractères réalisés de manière imparfaite. La réalisation d'ambigrammes est souvent un thème d'exercices dans les écoles de graphisme et nécessite la maîtrise des illusions d'optique et des symétries. C'est également un exercice de calligraphie au même titre que le calligramme.
les ambigrammes pivotants ou ambigrammes par rotation de 180°, sont lisibles à l'envers, et donc symétriques par rapport au centre.
On continue de pouvoir les lire lorsqu'on les retourne et que le haut se retrouve en bas et le bas en haut ; le dessin retourné pouvant alors générer soit le même mot, soit un mot nouveau.
Ce sont les plus fréquents et ceux qu'on associe généralement au terme, bien que les ambigrammes ne se limitent pas exclusivement à cette catégorie.
L'exemple le plus connu d'ambigramme pivotant est, je pense, le célèbre logo "New Man".
tandis que les ambigrammes miroirs, ou ambigrammes par réflexion, sont lisibles par une symétrie axiale (verticale ou horizontale).
Quand l'axe de symétrie est vertical, le mot peut se lire à travers une vitre des deux côtés. Certains autocollants sont ainsi dessinés pour être décryptés recto ou verso.
Exemple d'ambigramme miroir, symétrique par rapport à un axe vertical : "mon nom" (qui est également un palindrome !), écrit avec une typographie de ce type, peut également se lire dans un miroir.
Exploités comme ils l'étaient, les ânes auraient pu - s'ils avaient été rémunérés en fonction de la quantité de travail effectuée - se payer des bâts dorés.