Cette expression du langage courant s'utilise essentiellement au sens figuré, de façon ironique ou par dérision.
Par exemple lorsqu'un adversaire semble s'acharner sur vous dans un jeu de société.
Richesse et défense de la langue française
Cette collection rassemble l’ensemble de mes articles consacrés à des expressions ou proverbes ne relevant pas d’une catégorie spécifique d’idiotismes ni d’un domaine d’activité particulier.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 1 894
Cette expression du langage courant s'utilise essentiellement au sens figuré, de façon ironique ou par dérision.
Par exemple lorsqu'un adversaire semble s'acharner sur vous dans un jeu de société.
Ces deux locutions verbales du langage courant s'utilisent couramment, au sens figuré, pour signifier respectivement :
On dit par exemple : "Le vent tourne : nous ne pouvons pas continuer à vendre nos produits aussi chers que par le passé".
On dit par exemple : "Dès que j'ai senti le vent tourner avec mon supérieur hiérarchique, j'ai postulé chez différents concurrents".
Sources : www.languefrancaise.net, www.linternaute.fr et wiktionary.org
Cette locution verbale du langage courant en forme d'idiotisme corporel signifie, selon le contexte, au sens figuré :
On dit par exemple : "Mon voisin n'a vendu sa propriété que parce que ses enfants lui ont forcé la main".
Sources : www.linternaute.fr et www.expressio.fr
Ces deux locutions verbales en forme d'idiotismes corporels relèvent du langage courant.
Et elles signifient respectivement :
On dit par exemple : "J'ai dû lui faire répéter la nouvelle car je n'en croyais pas oreilles".
On dit par exemple : "Mon patron n'en croyait pas ses yeux en recevant le courrier du ministère et il a dû relire le message plusieurs fois avant de prendre véritablement conscience de la nouvelle".
On dit également, dans le registre populaire : "Être sur le cul" ou "Rester sur le cul" et "Laisser sur le cul" ou "Mettre sur le cul".
Ou, dans le registre vulgaire : "Trouer le cul".
Sources : wiktionary.org et www.languefrancaise.net
Ces différentes locutions verbales du registre familier en forme d'idiotismes numériques, d'idiotismes corporels et d'idiotismes vestimentaires appartiennent au registre familier.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "Tu dois réagir, tu ne peux pas rester les deux pieds dans le même sabot !".
On dit par exemple : "Mon gendre n'est pas resté les deux pieds dans le même sabot : il a très vite lancé un nouveau projet".
Sources : wiktionary.org, www.expressio.fr et www.languefrancaise.net
Ces deux locutions verbales du langage courant signifient : ne rien dire, ne pas parler, rester silencieux.
Et cela y compris face aux questions qui sont posées ou face à une situation ou un événement susceptible de susciter des commentaires.
On dit par exemple :
Cette dernière formule "Rester muet" s'utilise naturellement au sens figuré.
Ces trois locutions verbales relèvent du registre argotique.
"Être malade comme un chien" est un idiotisme animalier et signifie, comme les deux autres formules, au sens figuré : être extrêmement malade.
Cette locution verbale en forme d'idiotisme textile ou vestimentaire appartient au registre familier.
Constituant une ellipse de "Faire USAGE DE SA ceinture", elle signifie :
On dit par exemple : "Mon mari étant au chômage partiel et moi en arrêt-maladie pour deux mois, il va falloir faire ceinture encore un bont moment".
Ou : "Sans télévision ni ordinateur à la maison pendant quelques jours jours, je vais devoir faire ceinture en matière de films ou de feuilletons !".
Sources : www.expressio.ft et Le Robert
Cette locution verbale du registre familier signifie, au sens figuré : être nécessaire, indispensable, et à tout le moins bienvenu ou utile.
On dit par exemple : "Va te laver les mains et débarbouiller le visage avant de passer à table, ce ne sera pas du luxe !"
Ou : "Enfin, tu t'es décidé à laver tes carreaux : ce n'est pas du luxe !".
Source : wiktionary.org
Ces deux curieuses locutions verbales, qui ne manquent pas d'interloquer nos amis étrangers et nos jeunes enfants, appartiennent au registre soutenu.
Et elles signifient toutes deux : avoir connaissance, être au courant, être informé, entendre parler de quelque chose ; recevoir une information.
On dit par exemple : "J'ai eu vent d'un projet d'embauche dans votre société".
Ou : "Ma soeur a eu écho d'un possible retard de livraison".
Sources : Le Robert, wiktionary.org et www.expressio.fr
Ces deux locutions verbales en forme d'idiotismes corporels appartiennent au registre familier.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "Mon père voit d'un bon oeil mon choix de devenir avocat".
Ou : "La mairie voit de bon oeil l'arrivée de nouveaux habitants venus de la ville";
On dit par exemple : "Ce directeur d'usine ne voit pas d'un bon oeil les emplyés retardataires".
Ou : "On ne voyait généralement pas de bon oeil, autrefois, les personnes n'ayant pas fait leur service militaire".
Sources : wiktionary.org et dictionnaire.reverso.net
Ces différentes locutions verbales en forme d'idiotismes corporels appartiennent au registre populaire.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "J'étais sur le cul quand j'ai appris que ta femme t'avait quitté".
Ou : "Je suis resté que le cul quand mon fils m'a appris votre déménagement".
On dit par exemple : "Ça m'a laissé sur le cul d'apprendre que tes vieux divorçaient !".
Ou : "Mon licenciement m'a mis sur le cul !".
On dit également, dans le langage courant : "Ne pas en croire ses oreilles" ou "Ne pas en croire ses yeux".
Ou, dans le registre vulgaire : "Trouer le cul".
Source : wiktionary.org