Cette expression signifie, au sens figuré, avoir des jambes ou des mollets grêles, peu charnus.
Source : wiktionary.org
Richesse et défense de la langue française
Le français comporte un nombre incroyable de formules et expressions relevant de différents domaines sportifs (boxe, football, etc.) (« Être sauvé par le gong ») ou métiers (, etc.) qui pourraient parfois faire croire que nous sommes décidément tous aviateurs, cuisiniers, marins, musiciens ou soldats (par exemple) (« Piloter à vue », « Parvenir à bon port », « Tirer à boulets rouges », etc.).
Sinon de fervents chrétiens (« Avoir une sainte horreur de quelques chose »), voire des animaux, en général (« Tisser sa toile »), ou des chevaux, en particulier (« Partir au galop ») !
J’ai rassemblé dans cette série de collections l’ensemble de mes articles consacrés à ces différents thèmes.
Nombre d’articles prévu dans cette série de collections : 2 987
Cette expression signifie, au sens figuré, avoir des jambes ou des mollets grêles, peu charnus.
Source : wiktionary.org
Cette locution nominale désigne un décor factice, conventionnel.
Le qualificatif "d'opérette" s'utilise d'ailleurs, de façon générale, pour désigner quelque chose qu'il est impossible de prendre au sérieux.
On dit par exemple : "La principauté de Monaco, ce royaume d'opérette".
Même si, ce faisant, en France, en 1982, on perd illico presto sa place de présentateur du journal télévisé !
C'est en effet la mésaventure qui survint au malheureux journaliste français Bernard Langlois, pour avoir évoqué, le 14 septembre 1982, ladite principauté de Monaco en terme de "caillou cossu" et de "royaume d'opérette" et minimisé, de manière ironique, la mort de la princesse Grace de Monaco ("Cela ne changera rien au destin de l'humanité. Juste un deuil ordinaire, la peine ordinaire d'une famille célèbre qui nous était familière par la grâce des gazettes") en soulignant que celle-ci était moins importante que l'assassinat, survenu le même jour, du président Bachir Gemayel, en pleine guerre du Liban.
Toute vérité n'est pas bonne à dire !
Source : www.cnrtl.fr
Autrement dit : "Être le petit détail final qui parfait une réalisation" ou "Être l'avantage supplémentaire".
Voire, ironiquement, "Être le comble" ou "Être le bouquet".
Cette locution verbale en forme d'idiotisme animalier relève du registre familier.
Et elle signifie, au sens figuré : faire taire une personne, la mettre dans l'impossibilité de répondre, la réduire au silence".
On dit par exemple : "Je me suis fait injurié par un jeune crétin ce matin, mais je lui ai vite cloué le bec, je te le dis !".
Contrairement à ce que l'on pourrait croire, le verbe "Clouer" ici utilisé n'a aucun lien avec celui que nous connaissons, signifiant "Fixer, assembler avec des clous" ou "Fixer avec un objet pointu".
Il est issu de l'ancien mot "Cloer" qui signifiait "Clore". Il s'agit donc plutôt de "Fermer" le bec de quelqu'un, c'est à dire sa bouche et sa capacité de continuer à s'exprimer.
Source : www.linternaute.fr et wiktionary.org
Bien que non croyant, j'aime beaucoup ces différentes formules, pourtant, à l'origine, directement issu de la religion, puisque l'on dit par exemple : "Grâce soit rendue à Dieu !" ou "Grâce soit rendue au ciel !".
Appartenant au registre soutenu, elles signifient respectivement :
On dit par exemple : "Grâce leur en soit rendue, les joueurs de l'équipe de France de football ont fait don d'une partie de leurs primes, lors de leur victoire à la Coupe du Monde 2018".
On dit par exemple : "C'est ton frère qui m'a permis d'obtenir ce boulot, grâce lui en soit rendue !".
Source : www.cnrtl.fr
J'aime beaucoup cette locution nominale très ironique du registre populaire, qui désigne, au sens figuré, un homme paresseux, peu productif, peu actif ; une personne physiquement peu capable, sur laquelle on peut compter, incapable, bonne à rien.
www.languefrancaise.net
Mais :
Source : http://www.linternaute.fr
Cette expression du langage courant est souvent utilisée pour désigner une personne faisant la une de l'actualité.
Cet adjectif du registre soutenu qualifie :
Source : www.cnrtl
Ces deux locutions, utilisées au sens figuré, désignent un changement inattendu ; quelque chose d’imprévu, d’inhabituel ; contrôlé ou non.
Prononcer ce que l'on appelle en politique une "petite phrase", peut relever du dérage, contrôlé - l'homme politique sait pertinemment ce qu'il fait - ou non.
Trop important, la métaphore routière continue, puis le dérapage se transforme en "sortie de route".
C'est dominer cette personne avec facilité, en venir aisément à bout, prendre le dessus sans problème.
"Becqueter tout cru" ou"Bouffer tout cru" relèvent du registre argotique et "Manger tout cru" du langage courant.
On peut également utiliser la formule : "Ne faire qu'une bouchée de quelque chose ou de quelqu'un".
Source : wiktionary.org
La réaction chimique de la combustion ne peut se produire que si l'on réunit trois éléments :
C'est la raison pour laquelle on parle de "Triangle du feu".