Il s'agit des actrices françaises Brigitte Bardot et Mijanou Bardot, dont les carrières cinématographiques se sont respectivement échelonnées de 1952 à 1973 et de 1956 à 1970.
Cinéma
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"Robert Dalban".
Il s'agit du nom de scène de l'acteur français Gaston Barré, né le 19 juillet 1903 et mort le 3 avril 1987.
Débuts sur les planches : théâtre, caf'conc', opérettes et revues
Robert Dalban débute au théâtre en 1919, à l'âge de seize ans, aux côtés de Harry-Max et Maurice Dorléac, le père de Françoise Dorléac et Catherine Deneuve et l'époux de Renée Simonot .
Sous le nom de scène de "R.Q.", il est comique troupier au caf'conc' "Les Trois Mousquetaires".
Aux débuts des années 1920, il effectue une tournée aux États-Unis avec la grande Sarah Bernhardt et on le retrouve dans des opérettes et des revues au cours des années 1930.
Il joue plusieurs fois avec l'actrice Gaby Morlay, qui le pousse vers le cinéma, où il débute en 1934.
Cinéma
Avec plus de deux cents films à son actif entre 1934 et 1986, il est l'un des "seconds rôles" masculins les plus célèbres du cinéma français.
Il a donné la réplique aux plus grands acteurs du cinéma français : Jean Gabin, Alain Delon, Lino Ventura, Bernard Blier, Paul Meurisse, Jean Marais ou Louis de Funès.
Tourné sous la houlette des plus grands réalisateurs : Christian-Jaque, Henri Decoin, Henri-Georges Clouzot, Jean Delannoy, René Clément, Gilles Grangier, Jean-Pierre Melville, Henri Verneuil, Sacha Guitry, Marc Allégret, Édouard Molinaro, Yves robert, Gérard Oury, Roger Vadim, Georges Lautner, Claude Autant-Lara, André Hunebelle, Marcel Carné, Julien Duvivier, André Cayatte, Claude Pinoteau, Patrice Leconte, Philippe de Broca, Jacques Deray, Jean-Jacques Annaud, Francis Veber ou Yves Boisset.
Mais également Charles Gérard, Michel Audiard, Robert Hossein, Pierre Richard, Robert Lamoureux, Michel Lang ou Gérard Lauzier.
Et son physique aux traits marqués ainsi que sa gouaille populaire ont, je crois, durablement marqué tant le grand public que les cinéphiles.
Acteur fétiche de Georges Lautner, sous la direction duquel il a tourné pas moins de onze films, aussi bien du côté de la police que du côté des truands, il est notamment :
- le serrurier Léon Blanchet, ancien camarade de la Résistance de Marie-Octobre (Danielle Darrieux) dans le film du même nom, réalisé en 1959 par Julien Duvivier,
- le légendaire majordome Jean et son fameux "Yes, sir !", dans "Les tontons flingueurs" de Gorges Lautner (1963),
- l'inoubliable inspecteur Albert Gouvion, copain d'enfance du commissaire Louis Joss (Jean Gabin) dans "Le pacha" de Georges Lautner (1968) ; celui qui n'aura "pas fini de tourner, le jour où on mettra les cons sur orbite" !
Robert Dalban est aussi, bien sûr, en 1950, la voix française de Rhett Butler (Clark Gable) dans la super-production états-unienne de David O. Selznick "Autant en emporte le vent", sortie en 1939 aux États-Unis d'Amérique.
Vie familiale
Robert Dalban a été le premier mari de l'actrice française Madeleine Robinson (1940-1946), avec laquelle il aura un fils, Jean-François, né en 1941, avant d'épouser la chanteuse et actrice belge Francine Claudel.
Source : wikipedia.org
"Féodor Atkine".
Cet acteur français d'origine russo-polonaise est né le 27 février 1948.
Il a débuté au théâtre en 1970 et beaucoup tourné pour la télévision à partir de 1975.
Cinéma
À partir de 1972, il interprète de nombreux seconds rôles au cinéma, où il tourne en français, mais aussi en anglais ou en espagnol.
Il a ainsi tourné pour Fred Zinnemann, Woody Allen, Sidney Pollack, Robert Altman, Jeannot Swarc, Philip Kaufman, John Frankenheimer, Roland Joffé ou Oliver Stone !
Ou Bigas Luna, Carlos Saura et Pedro Almodovar.
En France, on l'a notamment vu dans les films de Michel Audiard, Claude Zidi, Nelly Kaplan, Robin Davis, Jacques Deray, Claude Lelouch, Éric Rohmer, Patrick Schulmann, José Pinheiro, Andrzej Zulawski, Jean-Pierre Mocky, Aline Issermann, Raoul Ruiz, Marion Vernoux, Pierre Salvadori, Laurent Tirard.
Doublage
Féodor Atkine est également un grand nom du doublage, un domaine où il est extrêmement actif.
Il est notamment la voix française régulière de William Hurt, Ben Kingsley, Hugo Weaving, Hugh Laurie ("Dr House"), Frank Langella, Jonathan Banks et, depuis 2012, de Tommy Lee Jones, ainsi que - entre autres - l'une des voix de Jeremy Irons.
Il a également été la voix du personnage de "Jafar" dans les films d'animation "Aladdin" (1992) et "Le Retour de Jafar" (1994).
Ainsi que de nombreux autres personnages de films d'animation, en particulier de chez Disney.
Source : wikipedia.org
"Orbal" ou "Georges Orbal".
Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur français Gaston Étienne Philippe Labro, né le 22 novembre 1898 et mort le 31 janvier 1983.
Son pseudonyme "Orbal" constitue l'anagramme de son patronyme "Labro", écrit à l'envers.
Mais je ne pense pas pour autant qu'il ait été le frère aîné du réalisateur français Maurice Labro, né le 21 septembre 1910 et mort le 23 mars 1987.
En dehors de wikipedia, internet n'offre pratiquement aucune information sur cet acteur de seconds rôles, dont j'ai eu toutes les peines du monde à trouver une photo pour illustrer mon article.
Je sais qu'il a joué quelques fois au théâtre entre 1948 et 1957.
Et a tourné dans pas moins 75 films de 1931 à 1962.
Quelques uns des plus grands réalisateurs de cette période ont fait appel à Orbal : Marc Allégret, Yves Allégret, Jacques Becker, Marcel Carné ("La fleur de l'âge" en 1947), Marcel L'Herbier, Sacha Guitry ("Ils étaient neuf célibataires" en 1939), Pierre Prévert, et même... Preston Sturges ("Les carnets du major Thompson" en 1955) !
Et il a tourné à cinq reprises sous la direction de André Hunebelle et dix fois avec Berthomieu.
Surtout, en ce qui me concerne, son nom figure au générique de nombreux films de plusieurs de mes acteurs français préférés des années 1930 à 1970, comme Bourvil, Raimu ou Michel Simon.
Et surtout Fernandel, auprès duquel il a tourné plus de dix films.
Source : wikipedia.org
Pourquoi dire : "Un screenwriter" et "Le screenwriting" ?
Et pas : "Un scénariste" et "La scénarisation" !
Ou, s'il est réellement nécessaire de le préciser : "Un scénariste de cinéma et de télévision" et "La scénarisation cinématographique et télévisuelle".
Michel Deville
Ce réalisateur, scénariste et producteur français est né le 13 avril 1931.
Michel Deville est entré dans le milieu du cinéma par l'assistanat. D'abord stagiaire à la réalisation, il a grimpé tous les échelons jusqu'à devenir premier assistant ; notamment du réalisateur Henri Decoin, pendant près de dix ans.
Il co-réalise son premier film en 1958, avec Charles Gérard : "Une balle dans le canon".
Puis crée sa propre société de production, Éléfilm, en 1961, afin de financer son premier film réalisé seul : "Ce soir ou jamais".
Ses films suivants "Adorable Menteuse" (1962) et "À cause, à cause d'une femme" (1963), bien qu'ils tranchent sur la production cinématographique de l'époque par leur extrême joliesse et leur marivaudage poético-humoristique frisant le maniérisme, sont néanmoins bien accueillis, tant par la critique que par le public.
"Mijanou Bardot".
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Marie-Jeanne Bardot, née le 5 mai 1938.
Elle a tourné neuf films de 1956 à 1970, dont "Jusqu'au dernier" de Pierre Billon (1957, "Une balle dans le canon" de Charles Gérard et Michel Deville (1958), "Ramuntcho" de Pierre Schoendoerffer (1959) et "La Collectionneuse" d'Éric Rohmer (1967).
Après son dernier film en 1970, elle met un terme définitif à sa carrière d'actrice et s'expatrie aux États-Unis d'Amérique, où elle est devenu créatrice de meubles en fondant, à la fin des années 1970, sa propre entreprise, "Espace Loggia".
Famille
Comme son nom l'indique, elle est la soeur cadette de la célèbrissime actrice française Brigitte Bardot.
Et à ce titre, comme elle, bien sûr, son patronyme "Bardot" est - on l'ignore souvent - le nom d'un animal hybride appartenant à la famille des équidés, également appelé "Bardeau".
Mijanou Bardot a épousé, au début des années 1960, l'acteur belge Patrick Bauchau, dont la carrière a débuté en 1963 et qui se poursuit toujours actuellement.
Source : wikipedia.org
René Havard
Cet acteur et scénariste français est né le 20 décembre 1923 et mort le 7 décembre 1987.
Son visage est bien connu des spectateurs et cinéphiles français, mais son nom infiniment moins, comme bien souvent malheureusement pour les acteurs de seconds rôles.
On l'a pourtant beaucoup vu :
- que ce soit au cinéma, où il a débuté en 1946 et joué dans 60 films dont 26 films entre 1955 et 1959.
Il apparaît par exemple dans le rôle de l'inspecteur Morin, dans "Bob le flambeur" de Jean-Pierre Melville (1956), dans celui du photographe de mode de "Rue des prairies" de Denys de la Pattelière (1959) ou du comte Bussière dans "La vache et le prisonnier" d'Henri Verneuil (1959).
- au théâtre où il a joué dans une quinzaine de pièces, entre 1949 et 1983.
- ou à la télévision ; notamment dans "Les cinq dernières minutes", "Les brigades du tigre" ou "Châteauvallon".
Mais René Havard est également l'auteur d'un roman dont il a tiré le scénario du film éponyme... le génial "Un taxi pour Tobrouk", écrit en 1961 et réalisé la même année par Denys de la Pattelière, avec Lino Ventura, Charles Aznavour et Maurice Biraud.
Et ces fabuleux dialogues de Michel Audiard, avec les célèbres "Intellectuels assis" confrontés à la "Brute qui marche" !
Source : wikipedia.org
"La BAFTA", "Un BAFTA" et "Les BAFTA" ou "Les BAFTA Axwards".
Cet acronyme anglais désigne :
- la BAFTA : la British Academy of Film and Television Arts ("Académie britannique des arts de la télévision et du cinéma "), une institution britannique organisant des cérémonies annuelles de remise de prix dans les domaines du cinéma, de la télévision et des jeux vidéo au Royaume-Uni, nommés BAFTA Awards,
- un BAFTA : un prix décerné par cette académie,
- les BAFTA ou les BAFTA Awards : l'ensemble des prix ou la cérémonie de remise des prix organisée chaque année par cette académie.
Source : wikipedia.org
"Stéphane Audran".
Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Colette Dacheville, née le 8 novembre 1932 et morte d'un cancer le 27 mars 201.
Après avoir commencé sa carrière au théâtre en 1951, Stéphane Audran obtient quelques rôles secondaires au cinéma, à partir de 1957, dans des films de la Nouvelle Vague.
Sa rencontre avec Claude Chabrol en 1958 est décisive puisqu'elle devient à la fois son épouse et son actrice fétiche. Elle joue dans certains de ses plus grands films, comme "Le Boucher" (1970) et "Les Noces rouges" (1973).
Stéphane Audran participe à l'un des chefs-d'oeuvre du réalisateur espagnol Luis Bunuel, "Le Charme discret de la bourgeoisie" (1972), Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Et elle a été une figure emblématique du cinéma français des années 1970.
Après 1980, sa carrière s'est essouflé, mais elle a retrouvé le succès avec le film danois "Le Festin de Babette" de Gabriel Axel,en 1987, qui reçoit lui aussi l'Oscar du meilleur film étranger.
Avant de se faire plus rare à l'écran, tournant son dernier film en 2008.
Stéphane Audran est immédiatement reconnaissable à sa voix traînante, sa chevelure de feu et ses yeux de biche.
On se souvient particulièrement de ses rôles de bourgeoises sophistiquées et ambiguës.
Mais personnellement je l'avais beaucoup aimé dans son rôle d'Huguette Cordier, la femme de Lucien, le policier merveilleusement campé par Philippe Noiret dans l'excellent "Coup de torchon" de Bertrand Tavernier, en 1981, l'un de mes films préférés.
Récompenses
Stéphane Audran a reçu plusieurs récompenses au fil de sa carrière, dont :
- un Ours d'argent de la meilleure actrice en 1968 pour "Les biches" de Claude Chabrol,
- un BAFTA de la meilleure actrice en 1973 pour "Le charme discret de la bourgeoisie" de Luis Bunuel,
- et un César de la meilleure actrice dans un second rôle, en 1978, dans "Violète Nozière" de Claude Chabrol.
Vie privée
Stéphane Audran a été la compagne de l'acteur français Jean-Louis Trintignant (1954-1956) et l'épouse du réalsiateur français Claude Chabrol (1964-1980).
Et elle est la mère de l'acteur et réalisateur français Thomas Chabrol, né le 24 avril 1963.
Source : wikipedia.org
Colette Renard
Il s'agit du nom de scène de la chanteuse et actrice française Colette Raget, née le 1er novembre 1924 et morte d'un cancer le 6 octobre 2010.
Elle a notamment triomphé dans le rôle-titre de la comédie musicale "Irma la douce", de Marguerite Monnot, qu'elle a joué de 1956 à 1967.
Elle a connu de nombreux succès populaires avec ses chansons. Et elle est sans doute la dernière chanteuse inspirée par les réalistes d'après-guerre. Sa voix très expressive et son interprétation ainsi que sa diction la rendent reconnaissable au premier couplet.
Elle a enregistré plusieurs albums de chansons érotiques, paillardes ou grivoises.
La plus célèbre d'entre elles est certainement "Les Nuits d'une demoiselle", où elle énumère pas moins de 28 délicieuses façons imagées d'évoquer la masturbation ou la pénétration !
Elle n'est que très peu passé à la télévision, car elle refusait de chanter en présonorisation.
Coette Renard a joué dans quelques films ainsi que dans la série télévisée "Plus belle la vie".
Vie privée
Mariée à quatre reprises - avec Jean Houssin (1945-1947), Georges Chottin (1952-1955), Raymond Legrand (1960-1969) et Michel Wandler-Maurette (1978-2002) - Colette Renard a également entretenu une liaison très médiatisée avec l'acteur et chanteur Franck Fernandel dans les années 1970.
Source : wikipedia.org
Roger Dumas
On ignore souvent que cet acteur français, né le 9 mai 1932 et mort le 2 juillet 2016, a été un parolier à succès.
Occupant des emplois dits de second rôle, cet acteur dont la plupart des gens ignorent le nom a débuté au théâtre dès 1954. Et y a joué une trentaine de pièces jusqu'en 2013.
Mais c'est au cinéma, pour lequel ce comédien éclectique a tourné un grand nombre de films, 63 années durant, de 1953 à 2015, que vient sa notoriété.
Roger Dumas a notamment tourné sous la direction de réalisateurs aussi importants et différents que André Cayatte, Robert Hossein, Christian-Jaque, Yves Robert, Denys de La Patellière, Jean Girault, Claude Chabrol, Jacques Deray, Alain Corneau, Édouard Molinaro, Andrzej Zulawski, Claude Zidi, Enki Bilal, Jean-Marie Poiré, Olivier Assayas, Claude Berri ou Radu Mihaileanu.
Mon souvenir personnel préféré
Ou encore Philippe de Broca, pour lequel il a notamment tourné, en 1963, dans "L'homme de Rio aux côtés de Jean-Paul Belmondo. Roger Dumas y interprète Lebel, le copain de régiment d'Adrien Dufourquet (Belmondo). Celui-ci a passé une invraisemblable semaine au Brésil, à Rio et à Brasilia, pendant laquelle il a échappé à tous les dangers au péril de sa vie, afin d'arracher aux griffes de ses ravisseurs sa fiancée, Agnès de Villermosa (Françoise Dorléac), enlevée sous ses yeux à son arrivée à Paris (75) pour une mystérieuse histoire de statuettes précolombiennes. Malgré tout cela, Dufourquet (Belmondo) parvient à être à temps, le lundi matin, à l'issue de sa permission, dans le train qui le ramène à sa caserne, à Besançon (25).
Arrive alors en courant Lebel (Dumas), qui saute dans le train en marche et raconte à son pote Dufourquet (Bemondo) ce qu'il vient de vivre :
- "Ah si tu savais, si tu savais !"
- "Bah, qu'est-ce qui t'arrives ,"
- "Ah non, t'as jamais vu des embouteillages pareils, mon vieux ! Trois heures pour venir de chez moi, trois heures !"
- "D'où tu viens ?"
- "Viroflay ! Tout Paris à traverser !"
- "Quelle aventure !"
Télévision
Mais Roger Dumas est également beaucoup apparu à la télévision, en particulier dans les séries "Les Cinq Dernières Minutes", "Navarro" avec Roger Hanin ou "Julie Lescaut".
Récompense
Il est par ailleurs le seul homme à avoir reçu le Prix Suzanne-Bianchetti, en 1959, à l'occasion du film "Rue des Prairies".
Ce dernier lui a également donné l'occasion de rencontrer l'actrice Marie-José Nat, dont il a ensuite été le mari, de 1960 à 1961.
Une carrière de parolier
Enfin, Roger Dumas a été un parolier à succès. Il a très tôt écrit des chansons pour divers interprètes, et a notamment beaucoup collaboré avec son ami Jean-Jacques Debout. Ensemble, ils inventent des chansons originales pour les émissions télévisées de Maritie et Gilbert Carpentier.
Ainsi que la chanson du générique du dessin animé culte "Capitaine Flam", une série d'animation japonaise diffusée en France pour la première fois sur TF1, à compter du 7 janvier 1981. Qu'il a avoué avoir écrit en vingt minutes, avant de partir en vacances, lors d'une émission diffusée en 2012 sur Europe 1.
Nombre de ses chansons ont connu le succès, avec l'essor des carrières de ses deux principales interprètes : Sylvie Vartan, dès les années soixante ("Comme un garçon" en 1967), puis de Chantal Goya dans de grandes comédies musicales, créées au Palais des congrès de Paris (75) entre 1980 et 1989.
Mais Roger Dumas a également écrit - excusez du peu ! - pour Johnny Hallyday, Yves Montand, Richard Anthony, Carlos, Marie Laforêt, Thierry Le Luron, Georgette Lemaire, Gérard Lenorman, Dani, Zizi Jeanmaire ou Patachou.
Source : wikipedia.org