Cette amusant locution verbale en forme d'idiotisme animalier appartient au registre argotique.
Et elle signifie, au sens figuré :
- masturber un homme,
- ou : se masturber, pour un homme.
Mais il existe de très nombreuses autre façons de le dire !
Richesse et défense de la langue française
Ce mot-clé donne accès à l’ensemble de mes articles consacrés à ou évoquant le sexe.
Cette amusant locution verbale en forme d'idiotisme animalier appartient au registre argotique.
Et elle signifie, au sens figuré :
Mais il existe de très nombreuses autre façons de le dire !
Et pas, selon le contexte : "Un amant" ou "Un amoureux" !
Cette locution verbale du registre vulgaire signifie, au sens figuré : faire une fellation, sucer un sexe d'homme.
Cette expression m'a toujours beaucoup amusé, et cela à la fois :
Une préoccupation que l'on retrouve par exemple dans l'expression "Faire pleurer le colosse".
Tel est le message que se permet de nous assèner l'application pour homosexuels Jock, dans ses publicités télévisées françaises d'avril 2021 !
Heureusement que cette application, créée en janvier 2020, se vante d'être "100% française" !
Ces trois extraordinaires locutions verbales en forme d'idiotisme alimentaire ou gastronomique appartiennent au registre vulgaire.
Et elles signifient respectivement, au sens figuré :
On dit par exemple : "C'est quand même incroyable : qu'il aille bien ou qu'il aille mal, mon mec a toujours envie que je lui dégorge le poireau !".
On dit par exemple : "Avant-hier je n'avais pas le moral : j'ai dégorgé le poireau".
On dit par exemple : "Hier j'étais en forme : j'ai dégorgé le poireau
On dit par exemple :"Ce midi je me suis fait dégorger le poireau par ma femme".
On dit par exemple : "Ce matin je vais me dégorger le poireau".
On dit par exemple : "Durant la nuit je me suis dégorgé le poireau".
Mais il existe de très nombreuses autre façons de dire "Se masturber" !
Cette étonnante locution verbale en forme d'idiotisme religieux appartient au registre familier.
Et elle signifie, au sens figuré : se masturber, pour un homme.
Non Môssieur : ce n'est pas ce que vous croyez ! Pas de cela ici, vous êtes dans une maison correcte !
Cette locution adverbiale parafitement honorable appartient au langage courant et date du début du XIXe siècle.
Elle signifie au sens figuré : tout compte fait, en prenant en compte tous les paramètres d'une situation, les avantages compensant les désavantages, et des éléments, souvent indépendants, pouvant se combiner pour créer une situation finalement favorable alors qu'elle pouvait sembler d'abord défavorable.
On dit par exemple : "L'un dans l'autre, ce licenciement m'arrange".
Ou : "Ne penses-tu pas que, l'un dans l'autre, tu verras peut-être davantage tes enfants en étant divorcé ?".
Source : wiktionary.org
Je précise naturellement, à toutes fins utiles, qu'il s'agit là d'une vile plaisanterie sexiste, machiste, phallocrate et misogyne des années 1970.
Pfiou ! J'espère avoir pris suffisamment de précautions pour ne pas me faire traîner dans la boue par ces hordes de féministes hystériques !
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de ces autres devinettes :
Cette locution féminine appartient au registre soutenu.
Et elle désigne de discrètes réunions destinées aux plaisirs sexuels collectifs.
On dit par exemple : "On sait que le président ne destestait pas les parties fines".
Sources : wiktionary.org et www.linternaute.fr
Non, non : pas de ça ici ! N'ayez donc pas l'esprit mal placé, je vous prie !
Ce substantif féminin appartient certes au registre populaire, mais il ne fait que désigner, de manière parfaitement honorable :
On dit par exemple : "Je te sers encore une petite resucée ?".
On dit par exemple : "Les trois suites du film états-unien Sex crimes, réalisé en 1998 par John MacNaughton, n'en constituent que de pâles resucées".
Sources : www.cnrtl.fr et Le Robert
La locution nominale en forme d'idiotisme animalier "Zobi la mouche !" tout comme l'interjection "Zobi !" appartient au registre argotique.
Et toutes deux s'utilisent pour évoquer un refus, une dénégation, l'impossibilité d'obtenir quelque chose.
On dit par exemple : "Tu espères peut-être que je vais te prêter mon ordi ? Zobi !".
Ou : "Mon patron m'avait dit que je pourrais revenir travailler cet été, mais Zobi la mouche !".
Elles sont dérivées du substantif masculin d'origine arabe "Zob" signifiant "Pénis" dans le registre argotique et apparu en français, à la fin du XIXe siècle, à travers l'argot des soldats coloniaux.
Essentiellement utilisées par les jeunes, elles ont notamment été popularisées par la chanson "Zobi la mouche", premier succès du groupe français "Les Négresses Vertes", en 1988.
Et dans les années 2010, un bateau baptisé du même nom a participé à des compétitions de voile.
Sources : dictionnaire.reverso.net, wikipedia.org et www.laparlure.com
Ce substantif féminin désigne :
On dit par exemple : "La putasserie de cette danseuse de cabaret est clairement établie".
On dit par exemple : "Mon oncle reprochait à ma tante sa putasserie".
On dit par exemple : "La putasserie était malheureusement courante parmi les jeunes ouvrières".
On dit par exemple : "À cette époque la putasserie faisait partie de ce qui attirait les étrangers dans notre capitale".
On dit par exemple : "La putasserie de certaines publicités me dégoûte".
On dit par exemple : "On connaît la putasserie des métiers du spectacle"
On dit par exemple : "Je ne supporte plus les putasseries que l'on nous fait faire".
Source : www.cnrtl.fr