Cette formule ne caractérise pas forcément une personne très ouverte à de nouvelles rencontres masculines à caractère sexuel.
Mais : un bien ou un service, proposé "à un prix suffisamment bas pour que tout un chacun puisse l'acquérir".
Richesse et défense de la langue française
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Cette formule ne caractérise pas forcément une personne très ouverte à de nouvelles rencontres masculines à caractère sexuel.
Mais : un bien ou un service, proposé "à un prix suffisamment bas pour que tout un chacun puisse l'acquérir".
Ces différents mots relèvent du registre vulgaire.
Et ils signifient selon le contexte :
On dit par exemple : "J'ai le trou du cul en feu à force de bouffer des piments".
On dit par exemple : "Ce trou du cul voulait m'expliquer mon boulot !".
On dit par exemple : "Ce trou du cul vient en costard pour bosser dans un atelier de mécanique".
Dans les deux cas, cette formule injurieuse à caractère sexuel, en forme d'idiotisme corporel, s'emploie davantage pour les hommes que pour les femmes.
Sources : wikipedia.org et www.cnrtl.fr
Ce verbe du langage courant signifie :
Certains reptiles éjaculent par exemple une humeur caustique.
On dit par exemple : "Il va éjaculer au bout de trente secondes celui-là".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Éjaculer" en français.
On dit par exemple : "À la fin du concert les portes du stade éjaculent une foule émerveillée".
Ou : "Sitôt ouverte, l'amoire éjacula un flot de vêtements".
On dit par exemple : "Fidèle à lui-même cet homme politique détestable a encore éjaculé quelques injures racistes".
Source : www.cnrtl.fr
Il existe en effet de nombreux synonymes du verbe "Éjaculer" utilisé au sens propre, dans son acception de "Émettre du sperme, pour un homme".
On s'en doute la quasi-totalité ce ces verbes appartient au registre argotique, à l'instar des verbes "Décharger", "Foutre", "Gicler" ou "Juter".
Mais également de "Arroser", "Asperger", Baver", "Chécra" (verlan de "Cracher"), "Cracher", "Partir", "Saliver", "Se finir", "Se moucher" ou "Se vider" (lorsqu'ils sont utilisés dans cette acception).
Toujours dans le même registre, nous trouvons locution verbale "Se vider les couilles".
Ou les idiotismes alimentaires "Balancer la sauce", "Balancer la purée" (ou "Cracher la purée" ou "Lâcher la purée") et "Dégorger le poireau" (ou "Faire dégorger le poireau").
Seul "Se soulager" appartient au langage courant.
Et "Émettre sa semence" au registre soutenu.
Sources : dictionnaire.reverso.net, dictionnairedelazone.fr et www.languefrancaise.net
J'aime beaucoup cette locution verbale du registre argotique.
Un tantinet machiste et phallocrate, elle signifie : continuellement, sans interruption, sans relâche, sans pause, sans s'arrêter, de façon ininterrompue, dans un seul effort, sans cesser d'être actif.
On dit par exemple : "Il m'arrive très régulièrement de travailler sur ce blogue 15 à 20 heures sans débander".
Source : www.expressio.fr et www.languefrancaise.net
Cette locution nominale du langage courant constitue une très pudibonde façon de dire : s'accoupler, coïter, avoir une relation sexuelle, faire l'amour.
On dit par exemple : "Oh vous savez bien, très chère, que Gaëtan et moi ne faisons plus la chose depuis des années".
Mais simplement : "Une partouse" ou "Une partouze" !
Ce substantif féminin du registre familier désigne en effet : des relations sexuelles en groupe.
Aussi les locutions nominales féminines "Une partouse à plusieurs" et "Une partouze à plusieurs" ne sont-elles que d'affreux pléonasmes.
On notera au passage que l'aphérèse "Touse" ou "Touze" est également employée.
Source : www.larousse.fr
Il s'agit du verlan du verbe "Niquer" signifiant : posséder charnellement (registre soutenu), baiser (registre argotique).
"Niquer" (ni-ké) devenu ké-ni s'est transformé en kèn = "Ken".
On dit par exemple : "On n'a même pas ken hier soir".
Ou : "Lui ça m'étonnerait qu'il ken pas ce soir".
Ce très joli adjectif relève du registre soutenu.
Et il est formé à partir des termes latins "germanus" ("germain") et "pratum" ("pré").
Datant de 1950, il désigne :
Dans les années qui suivirent la Libération, on parlait ainsi des "milieux germanopratins" liés à l'"existentialisme", ce mot ayant fini par désigner une mode et un mode de vie.
On dit par exemple : "Boris Vian et Juliette Gréco sont assurément deux des plus célèbres germanopratins de l'après-guerre".
Après la Seconde Guerre mondiale, le quartier de Saint-Germain-des-Prés, qui était encore un village, est en effet devenu un haut lieu de la vie intellectuelle et culturelle parisienne avec notamment la présence de Marguerite Duras (et le "Groupe de la rue Saint-Benoit"), de Jean-Paul Sartre et de Simone de Beauvoir, de la chanson dite "rive gauche" (dont deux des emblèmes étaient Juliette Gréco et Léo Ferré), de cinéastes tels que Jean-Luc Godard et François Truffaut, de poète comme Jacques Prévert ou d'artiste comme Alberto Giacometti.
Philosophes, auteurs, acteurs et musiciens se cotoyaient dans les boîtes de nuit (où la France découvrait le "bebop") et les brasseries, où la philosophie existentialiste coexistait avec le jazz américain, dans les caves de la rue de Rennes, que fréquentaient notamment Boris Vian et les "zazous".
Enfin Saint-Germain-des-Près était également le principal lieu de sociabilité homosexuelle masculine parisienne.
Ou les habitants et habitantes du quartier, ce qui fait de ce mot un gentilé.
Cette amusant locution verbale en forme d'idiotisme animalier appartient au registre argotique.
Et elle signifie, au sens figuré :
Mais il existe de très nombreuses autre façons de le dire !