Mais : "Chausser ses souliers" ou "Enfiler ses souliers" !
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Des chaussures".
Richesse et défense de la langue française
La langue française comporte de nombreux registres ou niveaux de langue : du registre vulgaire au registre soutenu, en passant par le registre argotique, le registre populaire, le registre familier, le langage courant ou le registre désuet, voire le registre scatologique et le langage enfantin, qui – à l’exception du langage courant, font tous l’objet de collections spécifiques dans jaimelesmots.com.
J’ai réuni dans cette collection l’ensemble de mes articles proposant d’améliorer votre niveau de langue en accédant à un ou plusieurs registres de langue supérieurs.
Nombre total d’articles prévus dans cette collection : 361
Mais : "Chausser ses souliers" ou "Enfiler ses souliers" !
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Des chaussures".
Vous passerez ainsi du langage courant ou du registre familier au registre soutenu.
Exemples :
Mais : "Est-ce que tu as compris ?" ou, idéalement, "As-tu compris ?" !
Vous passerez ainsi du registre argotique et du registre populaire au langage courant ou au registre soutenu.
"Le foin" (qui, parfois, "dépasse de la charrette") relève du registre vulgaire.
Le registre argotique nous offre un idiotisme numérique et quatre idiotismes militaires avec des références aux soldats :
Mais aussi "La touffe" et "Le gazon".
"Le buisson" appartient au registre familier.
Tandis que "La fourrure", "La toison", "Le buisson", "Le triangle" et "Les poils du sexe" relèvent du langage courant.
Et que "La pilosité génitale", "La toison pubienne" et "Les poils pubiens" appartiennent au registre soutenu.
Sur un thème contigu je vous recommande la lecture de mes autres articles :
Mais : "Je ne sais même pas ce que c'est" (langage courant) !
Voire : "J'ignore même ce dont il s'agit" (registre soutenu) !
Mais : "J'ACQUIERS DE NOUVELLES CONNAISSANCES sur jaimelesmots.com" !
"Être rapiat" relève du registre argotique.
Et "Être pingre" du registre populaire.
"Être radin", "Être près de ses sous" et "Être une pince" relèvent du registre familier.
Tout comme l'idiotisme animalier "Avoir des oursins dans les poches".
"Être extrêmement économe" ou "Être un Picsou" relèvent du langage courant.
Les formules "Être un fesse-Mathieu", "Être un grippe-sou", "Être un pince-maille" et "Être un pleure-misère", pour charmants qu'ils soient, appartiennent malheureusement au registre désuet (ainsi qu'au registre familier).
De même que "Être un avaricieux", qui renvoie à la pièce de théâtre de Molière de 1668 "L'avare" et s'utilise aujourd'hui par plaisanterie.
Enfin "Être un ladre" et "Être un Harpagon" relèvent du registre soutenu.
Quant à nos amis Québecois, ils utilisent quant à eux la locution verbale "Être près de ses cennes" et le mot "Un séraphin".
Sources : wiktionary.org et larousse.fr
Mais : "C'est ma faute" et "C'est la faute DE Jacques" !
Mais : "Je ne parviens pas à l'imaginer" !
Mais : "J'ai offert deux livres à mon père pour son anniversaire" (langage courant).
Ou : "J'ai fait présent de deux ouvrages à l'auteur de mes jours à l'occasion de son anniversaire" (registre soutenu).
Mais plutôt : "Bien davantage !".
Mais : "Qu'est ce que tu fais" (langage courant) !
Voire : "Que fais-tu ?" (registre soutenu)