Non, Zinedine Zidane n'a pas investi dans le "Foot sale" à Aix-en-Provence !

Zinedine Zidane dans l'un de ses Z5

Pas plus, du reste que dans le "Foot salle" !

Mais dans le "Futsal", ce sport collectif apparenté au football, se jouant, comme lui, principalement au pied avec un ballon sphérique, et qui oppose deux équipes de cinq joueurs dans un gymnase, sur un terrain de handball.

C'est en effet à Aix-en-Provence (13), que l'ancien attaquant de l'équipe de France de football championne du monde 1998 a inauguré le premier de ses complexes sportifs "Z5", le 23 juin 2011.

Explication du calembour
Il résulte de l’homophonie entre le mot anglais « Futsal » et les locutions nominales françaises « Foot sale » ou « Foot salle ».

"Claude Jade".

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice française Claude Jorré, née le 8 octobre 1948 et morte le 1er décembre 2006.

Actrice fétiche du réalisateur français François Truffaut, qui a fait d'elle "La petite fiancée du cinéma français", elle est devenue célèbre grâce à son rôle de Christine Darbon, la petite amie, l'épouse, puis la femme divorcée d'Antoine Doinel, dans le cycle de films : "Baisers volés" (1968), "Domicile conjugal" (1970) et "L'Amour en fuite" (1978).

Son rôle dans "L'Étau", réalisé en 1968 par le réalisateur britannique Alfred Hitchcock - qui l'avait embauché sur les conseils de François Truffaut -, lui vaut d'appartenir à la grande galerie des "blondes hitchcockiennes".

"Francis Ford".

Francis Ford, le frère aîné de John Ford

Il s'agit du nom d'artiste de l'acteur, scénariste et réalisateur états-unien d'origine irlandaise Francis Joseph Feeney, né le 14 août 1881 et mort le 5 septembre 1953.

Parti pour la Californie en 1909 avec Gaston Méliès (le frère aîné du célèbre réalisateur français Georges Méliès), il y devient acteur et réalisateur pour les studios Universal.

Ayant connu une ascension rapide aux premiers temps de l'industrie du cinéma, il a vu sa carrière décliner au moment de l'essor de celle de son jeune frère qu'il a fait débuter sous le nom de "Jack Ford", puis "John Ford" et qui est devenu l'un des plus importants réalisateurs états-uniens.

John Ford

Sa très importante filmographie compte près de 200 films comme réalisateur et près de 500 comme acteur.

Source : wikipedia.org

Ne dites pas : "Je l'ai envoyé péter !", "Je l'ai envoyé bouler !", "Je l'ai envoyé chier" ou "Je l'ai envoyé se faire foutre !" !

Ces quatre locutions relèvent du registre argotique et peuvent être bien avantageusement remplacées.

En disant par exemple : "Je l'ai rembarré !" ou "Je l'ai envoyé promener" (registre familier).

On encore : "Je l'ai expédié sur les roses" (langage courant).

Voire "Je l'ai rabroué !" (registre soutenu).

"Janet Leigh".

Janet Leigh dans "Psychose" (1960)

Il s'agit du nom d'artiste de l'actrice états-unienne Jeanette Helen Morrison, née le 6 juillet 1927 et morte le 3 octobre 2004.

Janet Leigh dans "Psychose" (1960)

Elle est notamment connue pour son interprétation de Marion Crane dans le film "Psychose", réalisé en 1960 par le metteur en scène britannique d’Alfred Hitchcock, qui lui vaut d'appartenir à jamais à la grande galerie des "blondes hitchcockiennes".

Elle a épousé en troisième noce l'acteur états-unien Tony Curtis, dont elle a eu deux filles, devenues elles aussi actrices : Kelly Curtis et Jamie Lee Curtis.

Jamie Lee Curtis, sa petite soeur Kelly et leurs parents, les acteurs vedettes états-uniens Tony Curtis et Janet Leigh

Source : wikipedia.fr

"Un caméléon".

Caméléon

En référence au saurien arboricole du même nom, capable de changer de couleur en fonction de son environnement, on désigne ainsi, au sens figuré, une personne dotée d’une grande capacité d’adaptation, capable de changer d’avis, d’humeur, de langage au gré de ses intérêts.

Source : wikipedia.org

L'orchidectomie" ou "Orchiectomie".

Il s'agit de l'amputation chirurgicale d'un ou des deux testicules.

Cette ablation peut être médicalement requise à des fins thérapeutiques.

C'est par exemple une intervention commune dans le traitement du cancer du testicule, comme cela avait été le cas pour le champion cycliste états-uniens Lance Armstrong, en 1996.

Ne dites pas : "Faire un lifting" !

Mais : "EFFECTUER un lissage", "EFFECTUER un remodelage" ou "EFFECTUER un redrapage" !

Ou encore, au sens figuré, "Procéder à un rajeunissement".

"Ennuyant" et "Ennuyeux" : quelle est la différence exactement ?

Ces deux adjectifs paronymes du langage courant sont souvent confondus et utilisés de manière interchangeable à mauvais escient.

Ils désignent en effet des réalités quelque peu différentes puisque, si les deux adjectifs évoquent un sentiment de lassitude :

  • "Ennuyant" qualifie un objet ou une personne provoquant un sentiment de désagrément passager, temporaire.

On dit par exemple : "Ce film est ennuyant : je change de chaîne !".

Ou : "J'ai trouvé l'oncle Ignace assez ennuyant lors du déjeuner".

  • tandis que "Ennuyeux" qualifie ce qui est propre à contrarier, fâcheux, regrettable ; ce qui suscite un sentiment de préoccupation. Et sous-entend par conséquent un désagrément assez constant, durable.

On dit par exemple : "Les résultats de mon bilan sanguin ne sont pas très bons : mon médecin trouve cela ennuyeux".

Ou : "Cette arrivée massive de moustiques est très ennuyeuse".

L'adjectif "Ennuyant" induit donc un sentiment transitoire tandis que le terme "Ennuyeux", sous-entend une constance dans le tracas et l'embarras.

Quelqu'un peut par exemple ne pas aimer un auteur parce qu'il le trouve ennuyeux, là ou un autre l'apprécie de manère générale, en dépit de certains passages jugés ennuyants.

Ainsi que l'observe le dictionnaire Littré, "L'homme ennuyant est celui qui ennuie par occasion ; cela est accidentel ; l'homme ennuyeux est celui qui ennuie toujours".

Sources : www.lefigaro.fr et bdl.oqlf.gouv.qc.ca

"L'hystérectomie".

C'est le nom scientifique de ce que l'on appelle plus communément "La totale", une opération chirurgicale consistant en une ablation totale de l'utérus et du col utérin.

"André Cayatte".

André Cayatte

Il s'agit du nom d'artiste du réalisateur français Marcel Truc, né le 3 février 1909 et mort le 6 février 1989.

"André Cayatte" est également un nom de plume, puisque cet avocat de formation a publié différents romans et essais sous ce nom ; son oeuvre poétique étant signée "Armand Tréguière".

À partir de l'évocation de faits divers réels, son œuvre cinématographique interpelle le spectateur sur des sujets de société, tels que la corruption, l'abus de pouvoir, la délation, la pédophilie, l'euthanasie, la chirurgie esthétique, la bombe atomique, la réconciliation franco-allemande, la peine de mort, etc.

Ses trente films, dont de nombreux succès malgré une censure récurrente, ont ainsi mis en procès une société en voie de déshumanisation et formé un unique plaidoyer contre tout ce qui dans la modernité condamne l'individu, et tout spécialement le système judiciaire et le conformisme dont il se soutient.

Adolescent dans les années 1970, je me souviens avoir régulièrement entendu mon père dénoncer avec véhémence les films de ce réalisateur engagé, arguant de ce que "Chez Cayatte, ce n'est pas compliqué : il n'y a que des victimes innocentes injustement condamnées !".

Source : wikipedia.org