Mais plutôt : "Je vais lui casser le nez à cet imbécile !" (registre normal)
Voire : "Je me fais fort d'endommager l'appendice nasal de ce malotru !" (registre soutenu)
Richesse et défense de la langue française
Mais plutôt : "Je vais lui casser le nez à cet imbécile !" (registre normal)
Voire : "Je me fais fort d'endommager l'appendice nasal de ce malotru !" (registre soutenu)
Bien que parfaitement homophones, ces deux locutions n'ont naturellement strictement rien à voir :
Ce qui nous rend susceptible de la "donner" à la personne qui nous en fait la demande ("Auriez-vous l'heure s'il vous plaît ? Pourriez-vous me la donner ?").
On dit par exemple : "Si mon projet a l'heur de plaire au président, je gage que je disposerai des moyens nécessaires pour sa mise en oeuvre".
Le mot "heur", qui relève aujourd'hui du registre désuet, signifie en effet "bonne fortune, chance heureuse", et n'est plus guère utilisé de nos jours que dans cette formule et dans le proverbe "Il n'y a qu'heur et malheur".
Ainsi qu'au travers des mots "bonheur" (bon heur) et "malheur" (mal heur).
Ce proverbe signifie que, dans la vie, tout dépend des circonstances et, bien souvent, ce qui cause la ruine des uns fait la fortune des autres.
Le mot "Heur", qui relève aujourd'hui du registre désuet, signifie en effet "Bonne fortune, chance heureuse", et n'est plus guère utilisé de nos jours que dans ce proverbe et dans l'expression "Avoir l'heur de".
Ainsi qu'au travers des mots "Bonheur" (bon heur) et "Malheur" (mal heur ou mauvais heur).
Source : wikipedia.org
Différentes expressions idiomatiques françaises commencent par la formule "Être blanc comme...".
Il importe cependant de bien les connaître car elles ont le plus souvent des significations fort différentes les unes des autres !
Ainsi "Être blanc comme un linge" ou "Être blanc comme un linceul" se dit d'une personne qui, commençant à se sentir mal, devient blême, toute pâle, livide.
On utilise en revanche les expressions "Être blanc comme un cachet d'Aspirine" et "Être blanc comme un lavabo" pour qualifier une personne à la peau particulièrement blanche. Ainsi que les formules - tout aussi imagées, mais moins sympathiques, - "Être blanc comme un bidet" et "Être blanc comme un cul".
Relevant toutes les quatre du registre familier elles sont souvent utilisées sur un ton légèrement narquois par des personnes originaires de régions plus ou moins méridionales ou par des citadins de retour de congé, pour décrire l'aspect d'un estivant d'origine plus septentrionale et n'ayant pas encore eu le loisir de s'exposer aux rayons du soleil.
Enfin, la formule "Être blanc comme neige" symbolise la parfaite innocence d'une personne n'ayant rien à se reprocher.
Il s'agit d'une réaction de l'organisme face à certaines situations.
Et son véritable nom est "La piloérection", "Le réflexe pilo-moteur" ou encore "L'horripilation".
L'expression imagée "La chair de poule" a d'abord été employée par les médecins du XVIIe siècle, en référence à la peau d'une volaille déplumée, afin de décrire l'étrange aspect parfois pris par notre peau lorsque les minuscules muscles arrecteurs (ou horripilateurs) situés sous notre peau se contractent, redressent nos poils et font apparaître d'innombrables petites bosses.
Et nous l'utilisons toujours de nos jours, dans le registre familier, pour évoquer, selon les circonstances :
On dit par exemple : "Brrr ! Il fait plus frais que je croyais. J'aurais dû enfiler un gilet : j'ai la chair de poule !".
On dit par exemple : "Je trouve le couloir sombre de cette cave particulièrement sinistre : il me donne la chair de poule !".
Source : www.futura-sciences.com
Et pas : "Un bar à lait" !
Évidemment, comme me l'a fort justement fait remarquer un lecteur, du fait de son homophonie avec la locution "bar à laids", cette solution présente l'inconvénient de pouvoir se comprendre, à l'oral, comme un lieu de rencontre pour les moches...
Le mot milk-bar, très en vogue dans les années 1950-60, n'est plus utilisé de nos jours, car - fort heureusement : "Tout espoir n'est pas perdu : même les anglicismes peuvent passer de mode !".
La Roche-sur-Yon (85) est une localité du Centre-Ouest de la France, préfecture du département de la Vendée, dans la région des Pays de la Loire.
Elle présente la particularité unique en Europe - et pour le moins stupéfiante - d'avoir changé... 8 fois de nom en 66 ans, au gré des différents changements de régime politique :
Source : wikipedia.org
On utilisait jusque dans les années 1980 l'expression "Être mannequin chez Olida", qui appartenait au registre familier et relève désormais également du registre désuet.
Dans le registre familier, on peut aussi utiliser les adjectifs "Grassouillet/te", "Rond/e", Rondelet/te" ou "Rondouillard/e".
Ainsi que la locution verbale "Avoir de la bedaine", "Avoir du bedon", "Avoir du bidon" ou "Avoir du bidou".
On peut également recourir aux locutions "Bien en chair", "En formes" et "Un peu fort/e", ainsi qu'aux adjectifs "Bedonnant/e", "Confortable", "Dodu/e", "Enrobé/e", "Pansu/e", "Rembourré/e", "Rond/e" et "Ventru/e", qui relèvent du langage courant.
Ou aux locutions verbales "Accuser un poids excessif", "Avoir de l'embonpoint", "Avoir du ventre", "Être de forte corpulence", "Être une personne forte" et "Présenter un poids trop élevé".
Enfin, nous trouvons dans le registre soutenu, le superbe adjectif "Ventripotent/e".
Enfin, dans le registre soutenu, on peut utiliser l'adjectif "Replet/ète" et la locution verbale "Être en surcharge pondérale".
Sur un thème contigu on peut consulter l'ensemble des façons de dire "Une fille laide".
Et je précise, pour l'anecdote, à l'attention de nos amis étrangers, qu'une somme d'argent peut-être "Rondelette" (ou "Coquette"), mais en aucune façon "Grassouillette", "Rondouillarde", "Dodue", "Enrobée", "Rembourrée", "Ronde" ou "Replète" !
Ce mot désigne, selon le contexte, des choses radicalement différentes :
Source : www.cnrtl.fr
Les deux mots n'ont évidemment strictement rien à voir l'un avec l'autre :
À l'intérieur, il s'agit souvent d'une planche de bois, de dix à douze centimètres de hauteur, bordant le bas des murs, à leur jonction avec le plancher.
Il s'agit d'une appellation très imagée du Susseyement" ou "Sigmatisme frontal", plus communément appelé, dans le registre familier, "Zozotement", "Zézaiement", ou "Zézayement".
Ce vice de prononciation consiste notamment à prononcer incorrectement les "s". C’est-à-dire à les prononcer en mettant la langue entre les dents, au lieu d’en appliquer le bout sur les dents d’en haut. Ce qui a naturellement tendance à donner le son "Che" au lieu de "Se".
Par exemple :
Voire - ce qui peut vraiment prêter à confusion et amener à des situations très ambiguës - :