C'est à dire : au cinéma ou en photographie, un cadrage à la valeur esthétisante maximale, qui isole une partie du corps humain (bras, torse, visage, etc.) ou un objet, afin de mieux en dévoiler les qualités ou les défauts.
Ces deux locutions nominales désignent un appareil utilisé par les commerçants pour l'encaissement des cartes bancaires, aujourd'hui disparu en France, qui constituait l'ancêtre du TPE (Terminal de paiement électronique).
En 1967, en France, les cinq banques françaises créent la carte bleue, une carte en plastique pour lutter contre les Américains American Express et Diners qui essaient de s’implanter en France. Dans un premier temps pour retirer de l’espèce aux distributeurs de billets et ensuite pour régler ses achats chez les commerçants.
Les premières cartes bancaires sont en relief. Les informations en relief sont le nom, le prénom, l'adresse et le numéro de compte. Elles permettent l’identification du compte et la lecture des coordonnées bancaires pour le règlement chez les commerçants. Le terminal de paiement qui permet de "lire" ces informations est nommé le "fer à repasser" ou "sabot".
En déplaçant de gauche à droite puis de droite à gauche ledit "fer à repasser", le relief permet d’imprimer les coordonnées bancaires du client sur une facturette grâce à un papier carbone. La facturette est signée par le client et ensuite transmise à la banque pour une transaction à distance.
Le tout premier TPE (Terminal de paiement électronique)
C’est en 1971, avec l’apparition de la carte de paiement dotée d'une piste magnétique, que les porteurs peuvent accéder au retrait en espèces 7jours/7 et 24h/24 grâce aux premiers DAB (Distributeurs Automatiques de Billets).
Elle donne également naissance au premier terminal de paiement "électronique" aux États-Unis d'Amérique. Il permet la lecture des données du porteur et sécurise la transaction en accédant au solde du compte afin d’accepter ou de refuser le paiement. Il est encore demandé une signature sur la facturette. Ce moyen de paiement se généralise en 1980.
Les débuts de la carte à puce
Roland Moreno dépose en 1974 le brevet de la carte à puce mémoire. Elle est utilisée au départ sur les cartes électroniques avant d’être utilisée sur les cartes bancaires en 1985. Elle sécurise le paiement, car elle communique directement avec la banque pour valider ou non la transaction.
En 1983 apparaissent les premiers TPE mixtes, permettant de lire la carte à bande magnétique et la carte à puce grâce à des fabricants comme Electronic CKD, Ingenico, Sagem et Dassault.
En 1992, la puce mémoire devient obligatoire sur toutes les cartes bancaires.
En France, l’évolution de la carte à puce permet une transition technologique entre le sabot et le terminal de paiement électronique, laissant peu de temps aux entreprises de s’équiper en terminal de paiement pour les cartes à pistes magnétiques.
L'apparition du code confidentiel
C’est en 1990 que le TPE français avec clavier fait son apparition, permettant la saisie de votre code confidentiel. Depuis, les terminaux d’encaissement électronique ne cessent d’évoluer.
Tout d’abord avec le premier TPE Portable en 1997, suivi des paiements en ligne, TPE 3G, Bluetooth, du lecteur de carte mobile, du sans contact…
Et pas simplement, en français : "La veille de la clientèle".
C'est à dire : le processus de collecte et d'analyse des données concernant les clients, leurs coordonnées et leurs activités, afin d'établir des relations plus profondes et plus efficaces avec la clientèle et d'améliorer la prise de décision des entreprises.
Ainsi qu'a pu le déclarer, le 14 juillet 2021, l'ancien champion cycliste français Laurent Jalabert, commentant le Tour de France 2022 sur la chaîne de télévision publique française France 2.
Mais évidemment : "Un barrage-VOUTE" !
C'est à dire un type de barrage dénommé ainsi en raison de sa forme arquée caractéristique.
La forme courbe de ces barrages permet de reporter les efforts dus à la poussée de l'eau sur chaque côté des rives, le barrage décrivant un arc sur le plan horizontal.
Ce type d'ouvrage est utilisé dans des vallées étroites disposant de versant très rigides capable de supporter le poids de l'eau.
Le barrage-voûte fonctionne sur le principe des voûtes : la pression de l'eau est reportée vers les points d'appuis sur les rives, qui jouent le même rôle que les murs porteurs d'une construction.
Certains barrages-voûtes sont arqués selon les deux plans (horizontal et vertical), on parle dans ce cas de barrage-voûte à double courbure. Dans ce cas, une partie de la poussée est dirigée vers le sol, qui joue le rôle d'un troisième mur, et ainsi permet de diminuer la poussée de l'eau sur les rives.
Historique
Les premières constructions primitives de ce type d'ouvrage datent de l'Antiquité. Le premier d'entre eux serait celui du site de Glanum près de Saint-Rémy-de-Provence (13).
En Europe, le premier ouvrage moderne de ce type est attribué à l'ingénieur François Zola, il s'agit du barrage Zola inauguré en 1854, au Tholonet, près de ma bonne ville d'Aix-en-Provence.
Et pas siplement, en français : "L'intoxication alcoolique aiguë" ou "L'alcoolisation massive", encore appelée '"API (Alcoolisation Ponctuelle Importante)".
Cette pratique, malheureusement de plus en plus répandue chez les jeunes depuis quelques années, consiste à consommer massivement de l'alcool dans un temps très court, dans le but d'atteindre l'ivresse le plus rapidement possible.
L'arbitrage est un mode alternatif de règlement des conflits - privé et payant - par lequel des parties conviennent de soumettre leur litige à un tribunal arbitral généralement composé de 1 ou 3 arbitres. Ce tribunal rend une sentence qui s'impose aux parties sous réserve du respect dans le respect des principes du droit ainsi que de certaines conditions.
Cette locution nominale masculine relève du jargon et vocabulaire politique.
Elle désigne en effet, depuis quelques années, au sens figuré : les principaux responsables des grands partis politiques.
Elle est apparue au début des années 2010, parmi les attachés de presse de l'UMPet du PS, en remplacement des termes "baron", pour les gaullistes, et "éléphant" pour les socialistes.
On dit par exemple : "Les chefs à plumes de la Macronie sont inquiets après la déroute de leurs candidats aux législatives".
Cette formule fait naturellement référence aux peuples amérindiens qui ont utilisé des coiffes en plumes, notamment d'aigles, comme éléments décoratifs ou comme signe distinctif du rang social.
Les plumes avaient en outre des vertus magico-médicales ce qui donnait à cette coiffure une importance accrue. Chaque tribu avait son propre modèle de coiffure avec sa propre méthode pour les confectionner. Elles pouvaient leur attribuer un rôle culturel différent. Les coiffes de guerre (ou "bonnets de guerre") sont des couvre-chefs à plumes traditionnellement portées par les chefs masculins des nations indiennes des plaines américaines qui ont gagné une place de grand respect dans leur tribu.
À l'origine, elles étaient parfois portées au combat, mais sont maintenant principalement utilisées pour les cérémonies. Dans les communautés amérindiennes et des Premières Nations qui possèdent traditionnellement ces insignes, elles sont considérées comme des objets d'une grande importance spirituelle et politique, qui ne doivent être portés que par ceux qui en ont gagné le droit et l'honneur grâce à la reconnaissance formelle de leur peuple.
Les parures en plume d'aigles sont les plus prisées des parures d'Amérique du Nord. Elles sont si populaires qu'aux États-Unis seuls les Amérindiens ont le droit de détenir des plumes d'aigle, du fait que ces parures sont jugées essentielles au maintien de leur culture alors que les aigles sont des espèces strictement protégées. Ces parures peuvent être très simples, constituées d'une simple plume ou très complexes comme celle des Sioux ou des Arapahos. Elles étaient utilisées tant à la guerre que lors des conseils et cérémonies religieuses.
Il semble que les premiers Nord-Amérindiens à avoir utilisé des parures complexes soient les Crows. Les Pieds-Noirs les adoptèrent au début du XIXe siècle, mais leurs plumes d'aigle sont dressées circulairement et verticalement tout autour de la tête. Le chef Pawnee nommé Petalesharo en portait une en 1821, les Cheyennes vers 1830 au moins et les Sioux au milieu du XIXe siècle.
De nos jours, Ces coiffures sont toujours utilisées lors des pow-wows.