Et pas siplement, en français : "L'intoxication alcoolique aiguë" ou "L'alcoolisation massive", encore appelée '"API (Alcoolisation Ponctuelle Importante)".
Cette pratique, malheureusement de plus en plus répandue chez les jeunes depuis quelques années, consiste à consommer massivement de l'alcool dans un temps très court, dans le but d'atteindre l'ivresse le plus rapidement possible.
L'arbitrage est un mode alternatif de règlement des conflits - privé et payant - par lequel des parties conviennent de soumettre leur litige à un tribunal arbitral généralement composé de 1 ou 3 arbitres. Ce tribunal rend une sentence qui s'impose aux parties sous réserve du respect dans le respect des principes du droit ainsi que de certaines conditions.
Cette locution nominale masculine relève du jargon et vocabulaire politique.
Elle désigne en effet, depuis quelques années, au sens figuré : les principaux responsables des grands partis politiques.
Elle est apparue au début des années 2010, parmi les attachés de presse de l'UMPet du PS, en remplacement des termes "baron", pour les gaullistes, et "éléphant" pour les socialistes.
On dit par exemple : "Les chefs à plumes de la Macronie sont inquiets après la déroute de leurs candidats aux législatives".
Cette formule fait naturellement référence aux peuples amérindiens qui ont utilisé des coiffes en plumes, notamment d'aigles, comme éléments décoratifs ou comme signe distinctif du rang social.
Les plumes avaient en outre des vertus magico-médicales ce qui donnait à cette coiffure une importance accrue. Chaque tribu avait son propre modèle de coiffure avec sa propre méthode pour les confectionner. Elles pouvaient leur attribuer un rôle culturel différent. Les coiffes de guerre (ou "bonnets de guerre") sont des couvre-chefs à plumes traditionnellement portées par les chefs masculins des nations indiennes des plaines américaines qui ont gagné une place de grand respect dans leur tribu.
À l'origine, elles étaient parfois portées au combat, mais sont maintenant principalement utilisées pour les cérémonies. Dans les communautés amérindiennes et des Premières Nations qui possèdent traditionnellement ces insignes, elles sont considérées comme des objets d'une grande importance spirituelle et politique, qui ne doivent être portés que par ceux qui en ont gagné le droit et l'honneur grâce à la reconnaissance formelle de leur peuple.
Les parures en plume d'aigles sont les plus prisées des parures d'Amérique du Nord. Elles sont si populaires qu'aux États-Unis seuls les Amérindiens ont le droit de détenir des plumes d'aigle, du fait que ces parures sont jugées essentielles au maintien de leur culture alors que les aigles sont des espèces strictement protégées. Ces parures peuvent être très simples, constituées d'une simple plume ou très complexes comme celle des Sioux ou des Arapahos. Elles étaient utilisées tant à la guerre que lors des conseils et cérémonies religieuses.
Il semble que les premiers Nord-Amérindiens à avoir utilisé des parures complexes soient les Crows. Les Pieds-Noirs les adoptèrent au début du XIXe siècle, mais leurs plumes d'aigle sont dressées circulairement et verticalement tout autour de la tête. Le chef Pawnee nommé Petalesharo en portait une en 1821, les Cheyennes vers 1830 au moins et les Sioux au milieu du XIXe siècle.
De nos jours, Ces coiffures sont toujours utilisées lors des pow-wows.
Ces deux locutions nominales masculines en formes d'idiotismes corporel relèvent du langage courant et du vocabulaire et jargon sportif.
Et elles désignent : le pied (droit ou gauche) sur lequel on s’appuie à certains moments d’une épreuve sportive, afin de sauter ou tirer dans un ballon.
En athlétisme, dans les disciplines de saut (en hauteur, en longueur, à la perche, triple saut), il s'agit du pied qui donne l'impulsion finale déterminant le saut. Et qui est le dernier appui au sol du sauteur.
Ces deux locutions ne doivent surtout pas être confondues avec l'expression "Un appel du pied".
au sens propre : une nouvelle enchère, supérieure à la précédente.
On parle ainsi de "Surenchères successives".
et au sens figuré : une promesse, une offre supérieure ; une escalade : le fait d'aller encore plus loin que ce qui avait été fait ou proposé au préalable.
On parle par exemple de "Surenchère commerciale" ou de "Surenchère électorale".
Ces deux substantifs possèdent de nombreux sens que l'on ignore souvent :
"Un carabin" signifie en effet tout à la fois :
dans le registre désuet :
un soldat de cavalerie légère portant une carabine et que l’on employait d’ordinaire dans les reconnaissances ou les escarmouches (XVIe siècle),
Un carabin ou soldat de cavalerie légère armé d'une carabine
du sarrasin ou "farine de blé noir",
ou : celui qui se contente de hasarder quelque chose au jeu et qui se retire ensuite, qu’il ait perdu ou gagné.
On dit par exemple : "C'était un vrai carabin au jeu".
et dans le registre familier, encore aujourd'hui : un étudiant en médecine,
Un carabin et une carabine
tandis que "Une carabine" désigne aussi bien :
une petite arquebuse puis un mousquet, c'est à dire une arme à feu du type fusil, d'abord utilisée au XVIe siècle par les carabins, des soldats de cavalerie légère,
dans le registre familier : une étudiante en médecine (féminin de "carabin"),
et dans le registre familier, ainsi que dans le registre désuet : la maitresse, souvent pauvre, d’un étudiant en médecine.