La savate boxe française est un sport de combat de percussion qui consiste, pour deux adversaires équipés de gants et de chaussons, à se porter des coups avec les poings et les pieds. Elle est apparue au XIXe siècle dans la tradition de l'escrime française, dont elle reprend le vocabulaire et l'esprit.
Connue dès son apparition sous le nom de "Savate" ou "Art de la savate", elle a été, tout au long du XXe siècle, désignée par le nom de "Boxe française", puis finalement renommée officiellement "Savate boxe française" en 2002.
Il s'agit actuellement une discipline internationale appartenant au groupe des boxes pieds-poings.
Un homme qui pratique la savate est appelé un tireur tandis qu'une femme s'appelle une tireuse.
Ce curieux substantif espagnol ("los mé-renn-gès") et sa déclinaison française ("les mérenn-gues" ou parfois "les mé-renn-gué") en forme d'idiotismes alimentaires sont souvent utilisés par les journalistes sportifs.
Ils désignent en effet les joueurs du club de football espagnol du Real Madrid, qui jouent en maillot blanc et short blanc.
Ce terme fut utilisé pour la première fois par la presse en 1913, lorsque le club n'avaitencore que 11 années d'existence. À cette période, le Real Madrid commença à arborer son célèbre maillot blanc (mais pas encore le short), une couleur qui fit penser au célèbre dessert appelé "merengue" ("meringue" en français), fait de blanc d’oeuf battu et de sucre.
Il n'a toutefois commencé à devenir vraiment populaire que lorsque les rencontres de championnat commencèrent à être diffusés à la radio. À cette époque, il n’existait que la Radio Nationale espagnole, et les rencontres étaient commentées par un seul homme, Matias Prats. De ce fait, dès que le journaliste utilisait un surnom pour une équipe, il devenait automatiquement populaire et réutilisé dans toute l’Espagne.
au sens propre, dans le langage courant : des oeufs, généralement de poule, cuits sur un plat, une poêle ou sur une plaque préalablement chauffée et beurrée ou huilée.
et au sens figuré, dans le registre familier : de très petits seins.
au sens propre, dans le langage courant : un arbre dont on compte une quinzaine d'espèces d'arbres et arbustes caducs, réparties dans toutes les zones tempérées du globe.
Le marronnier d'Inde est très répandu dans les parcs publics et le long des avenues en Europe comme en Amérique du Nord.
et ausens figuré, dans le jargon journalistique et dans le registre familier : un article ou un reportage d'information de faible importance meublant une période creuse, consacré à un événement récurrent et prévisible.
Les sujets abordés dans un marronnier sont souvent simplistes, parfois mièvres.
Parmi les marronniers les plus courants, on peut citer les articles concernant les soldes, le changement d'heure d'été ou d'hiver, le marché de l'immobilier, les départs en vacances, la rentrée scolaire, les fêtes de fin d'année, la météo ou encore les embouteillages.
On peut également citer les "serpents de mer", sujets non saisonniers mais néanmoins régulièrement traités, sur des thèmes sociétaux, historiques (au gré des innombrables commémorations possibles), scientifiques, etc.
Ainsi par exemple des thèmes de la franc-maçonnerie ou du marché de l'immobilier, souvent aux premières loges dans la presse hebdomadaire française.
et au sens figuré, dans le registre familier (idiotisme animalier) :
une petite maison vieille et sans confort ; une baraque,
On dit par exemple : "Combien de temps vas-tu continuer à accepter d'être ainsi logé dans un poulailler ?".
le dernier étage d'une salle de théâtre, en forme de galerie située au-dessus des loges et des balcons.
Il porte ce nom à cause du grillage qui empêchait les spectateurs de lancer leur nourriture en réaction à la qualité du spectacle !
Les places situées dans cette partie du théâtre, également appelée "paradis", sont les moins chères du fait de l'éloignement avec la scène.
Ce paradis est évoqué dans un célèbre film français, chef d'oeuvre du réalisme poétique de Marcel Carné et Jacques Prévert, réalisé sous l'Occupation et sorti en mars 1945 : "Les enfants du paradis", avec Arletty, Jean-Louis Barrault et Pierre Brasseur.
ou, par métonymie : le public occupant cette galerie.
On dit par exemple : "Les vociférations du poulailler empêchaient souvent d'entendre les acteurs".
Sources : www.opera-national-lorraine.fr, www.cnrtl.fr, Le Robert et www.larousse.fr
au sens propre, dans le domaine agricole : une vache à laquelle on a enlevé son veau et dont le lait est employé pour les besoins de l’homme.
On parle également de "Vache laitière".
et au sens figuré, dans le registre familier :
une personne que l’on exploite ou une chose dont on tire un profit continuel (idiotisme alimentaire et idiotisme animal).
On dit par exemple : "Je suis la vache à lait de la famille !".
dans le domaine du commerce : une activité qui réclame peu d’investissement et qui génère une trésorerie importante (idiotisme alimentaire et idiotisme animal).
On dit par exemple : "Ce magasin est la vache à lait du groupe".
Sources : www.linternaute.fr, Le Robert, wiktionary.org et dictionnaire.notretemps.com
Ces deux locutions nominales masculines en forme d'idiotisme religieux désignent respectivement, dans le langage courant :
un homme singulier, bizarre, dont on peut tout attendre.
On dit par exemple : "Se présenter à la présidence de la République, obtenir le César du meilleur acteur pour un rôle dramatique et fonder les Restos du Coeur" : Coluche était vraiment un diable d'homme !".
un enfant urbulent, insupportable,
On dit par exemple : "Devoir surveiller un petit diable pareil ne doit pas être de tout repos".