Ce substantif féminin pluriel est issu du latin "Faeces", pluriel de "Faex" signifiant "Résidu".
Et il désigne, selon le contexte :
les excréments solides de l’homme ou des animaux, formés des résidus de la digestion.
Issus du tube digestif, ils sont expulsés par l'anus lors de la défécation, et constitués de substances ou particules non assimilées et d'une masse de micro-organismes.
dans le domaine de la pharmacie (registre désuet) : le sédiment qui reste au fond d’un liquide trouble, après qu’on l’a laissé reposer.
et dans le domaine de la vitrerie : les dépôts qui se forment au fond des barriques d’huile, et que l’on employait pour faire le mastic.
Seuls 45 manquent encore par conséquent à mon "tableau de chasse" !
Dont seulement 6 de taille notable, puisque les 39 plus petits ne comptent - au total - que 2,47 millions d'habitants :
le Lesotho (2,23 millions),
la Papouasie-Nouvelle Guinée (8,25 millions),
le Soudan du Sud (12,58 millions),
la Somalie (14,74 millions),
le Zimbawe (16,53 millions),
et le Mozambique (29,67 millions).
Les "îles Caïmans" ou "îles Caïman" ou "îles Caïmanes" (en anglais : "Cayman Islands") sont un territoire britannique d'outre-mer, connu pour être un paradis fiscal.
Situées dans la partie Ouest de la mer des Caraïbes, les îles Caïmans ne sont pas rattachées aux Grandes Antilles dont elles sont proches. L'île de Cayman Brac se trouve en effet à 193 km au Sud-Ouest de Cuba, et à 212 km au Nord-Ouest de la Jamaïque.
Les îles Caïmans comportent trois îles : Grand Cayman, Little Cayman et Cayman Brac, dont les superficies respectives sont de 197 km2, 26 km2 et 36 km2, auxquelles s'ajoutent quelques îlots pour un total de 260 km2.
On compte environ 65 000 habitants (les "caïmaniens"), dont environ 36 000 dans la capitale George Town, située sur la côte Ouest de Grand Cayman.
Historiquement, ces îles sont atteintes pour la première fois par Christophe Colomb le 10 mai 1503 au cours de son quatrième et dernier voyage vers le Nouveau Monde. Le premier visiteur britannique attesté est Francis Drake, qui y débarque en 1586 et leur donne leur nom actuel.
L'Angleterre prend officiellement le contrôle de l'archipel, en même temps que celui de la Jamaïque, à l'issue du traité de Madrid en 1670.
Elles sont administrées comme une partie de la Jamaïque jusqu'en 1962, date à laquelle elles deviennent une colonie de la Couronne séparée, tandis que la Jamaïque devient un Royaume du Commonwealth.
J'aime beaucoup ces deux superbes mots du registre soutenu.
"Véloce" est un adjectif qualifiant ce qui est :
très rapide ; se déplaçant à une grande vitesse.
On dit par exemple : "Le lévrier est le plus véloce de tous les chiens : le lévrier greyhound, le plus rapide du monde, peut atteindre les 70 km/h en 3 secondes".
ou : prompt ; exécutant des mouvements avec agilité et grande vitesse.
On dit par exemple : "La vélocité de ce pianiste virtuose est époustouflante".
et "Vélocité" est un substantif féminin désignant :
On dit par exemple :"Le guépard est réputé pour sa vélocité : il fait des pointes à plus de 110 km/h, parcourant jusqu'à huit mètres par foulée et quatre foulées par seconde. Il peut atteindre les 70 km/h en seulement deux secondes, puis 90 km/h en une seconde de plus".
Il s'agit du surnom du journaliste sportif français Nabil Djellit, né en 1977.
Spécialiste du football, il travaille pour le magazine "France Football", mais est également consultant sur les radios Europe 1 et RFI. Ainsi que dans les émissions "L'équipe d'Estelle" et "L’Équipe du soir", respectivement animées par Estelle Denis et Olivier Ménard, sur la chaîne de télévision française L'Équipe.
Ce sont d'ailleurs ses collègues au sein de l'émission "L'Équipe du soir", qui ont surnommé Nabil Djellit "Le fennec", en référence à son ascendance algérienne, ses parents étant originaire de Bouira (Algérie).
Dans le registre des surnoms animaliers, un autre de ses collègues dans cette émission, le journaliste sportif français Étienne Moatti, a lui été surnommé "La hyène".
Ce petit renard de la famille des canidés vit dans le désert du Sahara et la péninsule du Sinaï.
Avec ses oreilles caractéristiques, il est la plus petite espèce de sa famille. Sa fourrure, ses oreilles et sa fonction rénale sont adaptées aux conditions physiques du désert : températures extrêmes et pénurie d’eau.
Ses oreilles lui servent également de système de ventilation et de refroidissement du sang, l'aidant à résister aux températures élevées et au climat extrême du désert.
Le terme "Fennec" vient de l'arabe et signifie "Renard".
Caractéristiques physiques
Le fennec a de très longues oreilles (pouvant mesurer jusqu'à 10 centimètres), un nez assez long, de longues moustaches et une queue relativement longue, plate et touffue.
Son surnom de "Renard de poche" lui vient naturellement de sa toute petite taille. C'est en effet le plus petit des canidés existant sur Terre, puisqu'il ne mesure que de 20 à 40 cm de long, auxquel s'ajoute une queue de 18 à 30 cm.
Son poids moyen est de 1,7 kg contre 6 kg pour la plupart des autres espèces de renard. Et sa hauteur moyenne est d'environ 20 cm, et environ 35 cmlorsque l'on y ajoute les oreilles. Le fennec a un pelage allant du brun pâle à presque blanc et ressemble beaucoup au renard nain auquel il est apparenté, hormis ses oreilles dressées, chacune aussi grande que la face.
Comportement
La nuit, les longues oreilles du fennec lui permettent d'entendre les plus petits bruits que font ses proies, ce qui lui permet de ne pas faire de longues recherches dans le désert. Le fennec est un redoutable chasseur, rusé et véloce. Il est parfaitement adapté au climat aride, ses oreilles très vascularisées et très grandes comparées à celles des autres espèces de renard sont des éléments refroidisseurs. Les poils sous ses pattes lui permettent de ne pas glisser sur le sable et d'approcher ses proies en silence. Le jour, dans le désert, la température du sable est de 70 °C à la surface. Mais le fennec peut creuser jusqu'à deux mètres de profondeur, ramenant ainsi la température aux environs de 30 °C. La surface plantaire du fennec est couverte de poils épais qui le protègent de la chaleur du sable.
Le fennec creuse très rapidement et, quand il est poursuivi, se cache dans le sable. Le fennec dort généralement le jour et sort la nuit chercher sa nourriture. Lorsqu'un vent de sable se lève, les petits fennecs cherchent un abri auprès de leurs parents qui les dissimulent parfois sous leur longue queue touffue.
Cri
Comme le renard, le fennec glapit ou jappe, c'est-à-dire qu'il pousse des petits cris ou grognements successifs.
Régime alimentaire
Le fennec est omnivore. Il se nourrit essentiellement de souris, de petits oiseaux, de lézards ou d'insectes, et complète ce régime avec des fruits. Le fennec s'abreuve parfois à des points d'eau, bien que cela ne lui semble pas indispensable ! La capacité des fennecs à se passer de boire pour des durées indéterminées résulte en effet de leur adaptation à leur habitat désertique et de leur régime alimentaire, certains insectes figurant à son menu étant constitués de 70 % d'eau. De plus, le système rénal du fennec concentre les urines, ce qui a pour effet une élimination maximale de déchets pour un minimum de perte.
Reproduction
Le fennec est monogame et les couples restent unis toute la vie. La saison de reproduction a lieu entre janvier et février. La femelle donne naissance à une portée de 2 à 5 petits entre mars et avril, après 50 à 53 jours de gestation. Les petits sont aveugles à la naissance et ouvrent les yeux au bout de 2 semaines. Ils commencent à jouer dans la tanière à 4 semaines et sortent jouer dehors après 5 semaines. Les deux parents s'occupent d'eux. Les jeunes atteignent la maturité sexuelle entre 6 et 9 mois, lorsqu'ils atteignent leur taille adulte. La longévité est de 10 ans dans la nature.
On ne connaît pas de prédateurs au fennec bien qu'il puisse y en avoir ; sa tanière, son pelage de couleur sable et son ouïe très fine l'aident à s'en protéger8. Seul l'homme peut, en le capturant, devenir un prédateur.
Habitat et répartition
L'habitat du fennec est un terrier, creusé dans le sable ou dans de petites grottes, et tapissé d'un ensemble de matériaux moelleux tels que fourrure ou plumes.
Le fennec habite les déserts du Nord de l'Afrique et jusqu'à l'Arabie saoudite. Et l'on trouve la plupart des fennecs en Algérie. .
Les populations de fennecs sont stables au Sahara, hormis dans certaines zones du Maroc où il a disparu.
L'espèce n'est pas menacée actuellement d'extinction, mais elle pourrait le devenir. Car si la vente des jeunes fennecs aux Européens amateurs d'exotisme est désormais interdite, il s'agit toujours d'un animal de compagnie recherché et autorisé en Amérique du Nord et Japon !
Souvenir personnel
Très jeune adhérent du WWF dès 1970, je me souviens avoir été choqué lorsque j'étais enfant, au tout début des années 1970, à Conflans Sainte-Honorine (78), d'apprendre que des voisins venait d'entrer en possession d'un fennec, qu'ils logeaient dans leur pavillon... Mais n'avoir jamais bien évidemment jamais pu ne serait-ce qu'entrapercevoir celui-ci, qui - bien fait pour eux ! - leur menaient une vie impossible la nuit, durant laquelle il était redoutablement turbulent, pour dormir et se cacher toute la journée durant !
Ce qui les a - fort heureusement, à mon sens - amené à s'en débarrasser rapidement, au profit d'une association de protection des animaux.
Il s'agit des différents surnoms de l'équipe nationale de football algérienne, qui représente l'Algérie dans les compétitions internationales, sous l'égide de la FAF (Fédération Algérienne de Football (FAF), fondée en 1962.
Le surnom en forme d'idiotisme animalier "Les fennecs" fait référence à l'animal national de l'Algérie.
Et le surnom en forme d'idiotismechromatique"Les verts" fait référence à la couleur du maillot de l'équipe nationale de football algérienne, lorsqu'elle joue à l'extérieur.
L'équipe d'Algérie a disputé la première rencontre de son histoire le 6 janvier 1963 face à la Bulgarie, match remporté sur le score de deux buts à un, à la suite de l'indépendance du pays en 1962. Et la sélection algérienne a disputé ses premières qualifications à une phase finale de Coupe du monde en 1970.
Elle remporte son premier trophée en 1990 lors de la CAN (Coupe d'Afrique des Nations), une compétition qu'elle remporte une deuxième fois en 2019.
En Coupe du monde, l'Algérie s'est qualifiée à quatre occasions pour un tournoi final en 1982, 1986, 2010 et en 2014 au Brésil, ou l'Algérie se qualifie pour la première fois de son histoire pour les huitièmes de finale, devenant ainsi la sixième nation africaine à atteindre ce niveau.
L'équipe d'Algérie dispute depuis 1972 ses rencontres à domicile au Stade du 5 Juillet 1962, une enceinte sportive de 85 000 places située dans la capitale, Alger.
Et l'Algérie a terminé l'année 2020 au 31e rang mondial selon le classement FIFA et au 3e rang de la CAF (Confédération Africaine de Football).
Il s'agit du nom d'usage de l'acteur et scénariste états-unien David Bowditch Morse, né le 11 octobre 1953.
Ayant débuté au cinéma en 1980 et à la télévision en 1982, ce n'est u'en 1991, qu'il il décroche son premier grand rôle en incarnant Joe Roberts, le frère de Frank Roberts (joué par Viggo Mortensen) dans le film "The indian runner" de Sean Penn, inspiré de la chanson "Highway patrolman" de Bruce Springsteen (1982).
On ne souvient particulièrement de lui pour :
ses prestations dans le feuilleton télévisé "Dr House", pour le rôle de l'inspecteur Michael Tritter, personnage récurrent de la troisième année (2006-2007), dans lequel j'avais personnellement adoré le détester... ainsi que dans le rôle de George Washington pour la minisérie "John Adams" (2008).
et ses rôles secondaires dans des films tels que "Rock", de Michael Bay (1996) ou les excellents "L'armée des douze singes" de Terry Gilliam (1995) et "La ligne verte", de Frank Darabont (1999) (où il interprète l'affreux Brutus Howell dit "Brutal" en VF), deux de mes films états-uniens préférés de cette période.
Sur le plan personnel, il est marié 1982 à l'actrice états-unienne Susan Wheeler Duff,
Cette étonnante locution interjective en forme d'idiotisme animalier ne vous dit très certainement rien !
Et pour cause : cette exclamation du registre familier est utilisée par nos cousins francophones de Louisiane (États-Unis d'Amérique) pour exprimer l’impatience ou le dépit.