Il s'agit de rides d'expression se développant au niveau du front que l'on appelle communément ainsi les "rides inter-sourcilières" ou "rides de la glabelle".
Sources : www.jp-martinetto.com et www.docteur-picovski.com
Richesse et défense de la langue française
Ce mot-clé donne accès à l’ensemble de mes articles consacrés à ou évoquant les animaux.
Il s'agit de rides d'expression se développant au niveau du front que l'on appelle communément ainsi les "rides inter-sourcilières" ou "rides de la glabelle".
Sources : www.jp-martinetto.com et www.docteur-picovski.com
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotisme animalier et d'idiotisme vestimentaire appartient au registre familier.
Et elle désigne, au sens figuré, chez les femmes essentiellement : un amas de graisse situé à l'arrière du haut des cuisses, sur les fesses et les hanches, formant des zones durcies et douloureuses au toucher, pouvant favoriser l'apparition de la cellulite.
Ce phénomène, qui s’explique par des facteurs hormonaux et physiologiques, est assez peu observé chez les hommes, dont les amas graisseux sous-cutanés se font plus couramment au niveau du ventre et de la poitrine.
Source : www.crpce.com
Cette locution verbale du registre argotique signifie, au sens figuré : être affamé après avoir été longtemps sans manger.
On dit par exemple : "Le lundi soir, quand je rentre chez moi à 23 heures, après mon entraînement de foot, sans avoir bouffé depuis le déjeuner , j'ai vraiment les crocs !".
Sur le même sujet je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à toutes les façons de dire "Avoir faim" ou "Avoir très faim".
Source : wiktionary.org
Ce verbe, qui peut s'écrire de trois façons différentes est construit à partir du substantif masculin "Bec".
Et il signifie :
On dit par exemple : "Regarde-les ces deux-là : toujours en train de se béqueter".
On dit par exemple : "Le temps que j'aille aux toilettes, ce goinfre m'a becté mon dessert !".
J'ai consacré un article aux très nombreuses façons de dire en français "Manger" et notamment "Manger abondamment", dont je permets de vous recommander la lecture.
Sources :wwww.cnrtl.fr et wiktionary.org
Cette expression du registre familier en forme d'idiotisme animalier signifie :
On dit utilise également l'expression en forme d'idiotisme religieux : "Ne pas y avoir âme qui vive", "Il n'y a pas âme qui vive".
Et les marseillais disent, dans le registre familier : "Y avoir dégun", "Il y a dégun".
Source : www.expressio.fr
Ces deux verbes paronymiques du langage courant sont souvent confondus, alors qu'ils possèdent des significations sensiblement différentes :
On dit par exemple : "Il faudra vérifier que cette plaie ne s'infecte pas".
On dit par exemple : "Un ivrogne assoupi infecte le wagon".
On dit par exemple : "Ce virus risque d'infester tous nos ordis".
On dit par exemple : "Cette revue infecte l'esprit de nos enfants".
On dit par exemple : "Les mauvaises herbes infestent mon jardin".
Ou : "Les souris infestent le grenier de ma maison de campagne".
On dit par exemple : "Des bandes organisées infestent certaines banlieues".
Ou : "Les pirates infestent nos côtes".
On dit par exemple : "L'organisme de mon patient est infesté de parasites".
Ce dernier sens se rapproche évidemment du premier sens du verbe "Infecter", mais l'idée de contamination est absente du verbe"Infester".
Ce qui n'empêche pas un agent qui infeste l'organisme d'être une cause d'infection ! Ainsi, une gorge "infestée" de staphylocoques peut s'"infecter".
Mais qui a dit que le français était une langue compliquée ?
Sources : Le Robert, www.cnrtl.fr, bdl.oqlf.gouv.qc.ca et www.larousse.fr
Cette expression du registre argotique en forme d'idiotisme animalier est fondée sur l'apocope du mot "Pédéraste".
Son origine n'est pas clairement établie, mais elle signifie : être totalement et absolument homosexuel, sans ambiguïté aucune.
Cette exclamation en forme d'idiotisme animalier est une locution interjective du registre familier.
Elle est utilisée pour souligner :
"Pas folle la guêpe !" signifie alors : pas bête ; c'est malin ; c'est astucieux ; c'est habile ; c'est intelligent.
On dit par exemple : "Pas folle la guêpe : j'ai emmené avec moi de quoi nous éclairer !".
On disait au XIXe siècle "Pas bête la guêpe", avant que l'expression ne se transforme, au XXe siècle, en "Pas folle la guêpe !".
Cette forme a été largement popularisée par la géniale Arletty, dans le film de Jean Boyer "Circonstances atténuantes" (1939).
Au point qu'en 1953, encore, le savon Lux utilisait cette exclamation pour ses publicités dans la presse française !
On l'a aujourd'hui souvent oublié, mais le même film a également contribué à populariser l'expression "Comme de bien entendu".
Sources : Le robert, wiktionary.org
Ces deux périphrases du langage courant désignent : le chien.
Mais la seconde ("Notre compagnon à quatre pattes") désigne également souvent le chat.
Selon l'enquête 2015 FACCO (Fédération des Fabricants d'Aliments pour Chiens, Chats, Oiseaux et autres animaux familiers) / TNS SOFRES (Taylor Nelson Sofres SOciété FRançaise d'Enquête par Sondages), consacrée aux animaux de compagnie, que possède près d'un foyer sur deux, on dénombrait ainsi en France 7,26 millions de chiens, contre 12,68 millions de chats et 2,84 millions de petits mammifères.
Ainsi que 5,75 millions d'oiseaux et 34,22 millions de poissons.
Source : www.santevet.com
On retrouve notamment ce terme dans les expressions "Louper le coche", Manquer le coche" ou "Rater le coche" et "La mouche du coche".
De nombreux observateurs en ornithologie, surnommés "Cocheurs", utilisent ainsi les coches afin de noter, sur leur liste de contrôle, les noms des oiseaux déjà observés dans leur vie ou au cours de l'année.
Sources : www.cnrtl.fr et wikipedia.org
Ce verbe étrange du registre argotique signifie : vomir.
Et il est naturellement à rapprocher des idiotismes animaliers particulièrement imagés "Aller au renard", "Balancer un renard", "Cracher un renard", "Écorcher le renard", "Faire un renard", "Lâcher un renard" et "Piquer un renard".
Mais il existe encore beaucoup d'autres façons de dire "Vomir" en français.
Ce substantif masculin désigne un mollusque d'eau douce ou d'eau de mer possédant une coquille double, à deux valves, pouvant s'entrouvrir et se refermer.
Les "bivalves" sont également nommée "pélécypodes" ou "lamellibranches".
Et cette classe de coquillages le plus souvent comestibles et appartenant aux "fruits de mer" comprend notamment : les palourdes, les bulots, les clams, les coques, les coquilles Saint-Jacques, les couteaux, les huîtres, les moules, les palourdes, les pétoncles et les praires.
Source : fr.vikidia.org