Ces deux locutions verbales en forme d'idiotisme animalier signifient, au sens figuré, dans le domaine du football : tirer en pleine lucarne.
Richesse et défense de la langue française
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Ces deux locutions verbales en forme d'idiotisme animalier signifient, au sens figuré, dans le domaine du football : tirer en pleine lucarne.
Ce substantif et ce verbe peu connus désignent respectivement et selon le contexte :
Ou pour le "roquet", qui tire son nom de ce verbe.
Source : wiktionary.org
Cette locution verbale en forme d'idiotisme animalier appartient au registre argotique.
Et elle signifie tout simplement : avoir de longues jambes très maigres.
On dit par exemple : "Tu verrais la nouvelle copine de mon frangin : toute en longueur, avec des cannes de serin".
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mes articles consacrés :
Ce substantif masculin nous vient de l'Antiquité grecque puisqu'il fait référence aux Molosses, une peuplade d’Épire, gouvernée par la dynastie éacide, descendant, selon la légende de Molossos, l'un des trois fils de Néoptolème, le fils d’Achille et de Déidamie, et d’Andromaque.
Les Molosses étaient réputés pour leurs chiens de combat, que les bergers utilisaient pour garder leurs troupeaux.
Le terme "Molosse" désigne ainsi, de nos jours, selon le contexte :
Il existe des molosses de type dogue (à poils courts), comme le dogue argentin, le Cane Corso, le bullmastiff ou les bouledogues.
Et les molosses de montagne (à poils longs), comme le saint-bernard, le leonberg ou le terre-neuve.
Le molosse du Brésil est l'animal volant le plus rapide du règne animal, avec des pointes à 160 kilomètres par heure, à l'horizontale. Car si les faucons pèlerin peuvent atteindre les 300 kilomètres par heure, c'est en plongeant, et avec l'aide de la gravité.
Cette évaluation a été effectuée en 2016 par des scientifiques de l'université du Tennessee, à Knoxville, dont l'étude, publiée dans la revue scientifique Royal Society Open Science, démontre que les vents arrières n'ont pas aidé la vitesse de vol des chauves-souris.
Sources : wiktionary.org, www.cnrtl.fr, wikipedia.org et Le Robert
Cette locution nominale féminine en forme d'idiotisme animalier désigne, dans le jargon du football : un type de joueur - et même de buteur - souvent expérimenté, parfois également appelé "Une terreur des surfaces", se caractérisant par une capacité hors du commun à profiter de la moindre occasion pour marquer.
Le renard étant considéré comme l'archétype de l'animal rusé, l'image évoque la capacité du joueur à toujours bien se placer, dans la surface de réparation de l'adversaire, à se faire oublier, à se faufiler, traîner, toujours en embuscade, prêt à marquer, dès lors que survient la moindre opportunité.
Des joueurs tels Rudi Völler, David Trezeguet, Filippo Inzaghi (en illustration), Ruud van Nistelrooy, Delio Onnis, Gerd Müller, Pedro Miguel Pauleta, Hakan Şükür, Miroslav Klose, Adrien Hunou sont d'illustres représentants de ce type d'attaquant dit "à l'ancienne".
Sources : horsjeu.net et wikipedia.org
Ces trois locutions masculines entièrement synonymes ont été utilisées en mai 2020, à l'issue du premier confinement par certains organes d'information, afin de désigner la peur sociale ou l'angoisse de sortir de chez soi, en particulier après une période de confinement.
Cette terminologie a notamment été utilisée à la fin du premier confinement lié à la pandémie de maladie à coronavirus 2019, pour évoquer la peur de se déconfiner et de se confronter au monde extérieur.
Et cela, en France mais aussi, préalablement, en Espagne ("sindrome de la cabana").
Ces différentes appellations ne sont normalement pas utilisée en psychiatrie. Mais mon psychiatre a employé la formule "syndrome de la cabane" me concernant.
Sur un sujet contigu, je me permets de vous recommander la lecture de mes articles consacrés au "Syndrome de Hikikomori" et au "Syndrome de Diogène" et à la "Syllogomanie".
Sources : sante.journaldesfemmes.fr et wiktionary.org
Ce substantif masculin polysémique désigne, selon le contexte :
Et cela, qu'il s'agisse :
On dit par exemple : "On oublie souvent que la France a déjà vécu par le passé des massacres religieux de grande ampleur".
On dit par exemple : "Je ne comprends pas quel plaisir peuvent bien éprouver les chasseurs qui se livrent à certains massacres d'animaux".
On dit par exemple : "C'est un véritable massacre qui a eu lieu : le tueur s'est acharné sur chacune des victimes avec une violence inouïe".
On dit par exemple : "Tu as vu ce combat : c'était un vrai massacre".
Source : www.cnrtl.fr
Enfant, j'avais adoré découvrir cette expression en forme d'idiotisme corporel.
Appartenant au registre populaire, elle signifie : ne pas être coiffé(e) du tout, être complètement décoiffé(e), avoir les cheveux en désordre, ébouriffés, "en pétard" (registre familier).
À l'image des poils des "dessous-de-bras" (registre populaire), c'est à dire des aisselles, lorsqu'ils sont très longs.
On dit par exemple : "Tu auras vu la tête de ma frangine au réveil : les yeux gonflés, coiffée comme un dessous-de-bras".
Ce substantif masculin appartient au langage courant.
Et il désigne, selon le contexte :
Cet oiseau migrateur, que l'on appelle souvent "Faucon hobereau" hiverne en Afrique du Nord et dans quelques lieux d'Europe du Sud.
Et migre en Europe d'avril à septembre, en bordure de forêt ou dans les boqueteaux, chassant pour se nourrir de petits oiseaux (alouettes, cailles) qu'il capture en vol, ainsi que des insectes (libellules, hannetons).
Sources : www.cnrtl.fr et Le Robert
Ces deux locutions verbales en forme d'idiotisme animalier appartiennent au registre familier.
Et elles signifient respectivement :
On dit par exemple : "À peine avait-elle perdu sa tétine, que ma fille pleurait comme un veau, lorsqu'elle était petite",
On dit par exemple : "Tu n'as pas fini de beugler comme un veau : ils vont te le rendre ton ballon".
Ces deux formules font naturellement référence au veau, le petit de la vache, qui, lorsqu'il appelle sa mère, émet un son bruyant appelé "Beuglement".
Elle est très proche de l'idiotisme religieux "Pleurer comme une Madeleine" et des idiotismes corporels "Pleurer à chaudes larmes" et "Pleurer toutes les larmes de son corps".
Cette curieuse interjection en forme d'idiotisme animalier s'utilise souvent, en France, afin d'obtenir un joli sourire de la part des personnes que l'on s'apprête à photographier.
Chaque langue possède son petit mot ou sa locution interjective, qui, prononcé face à l'objectif d'un photographe, est supposé assurer un sourire radieux.
Les italiens disent ainsi "Famiglia !" ("Famille !"), les hispanophones "Patatas !" ("Pommes de terre !"), les polonais "Marmolada !" ("Marmelade !"), les néerlandophones "Zaag Eens Kaas !" "Dites fromage !") et les anglophones, leur célèbre "Cheese !" ("Fromage !").
Mais une étude réalisée en 2010 par le fabricant japonais d'appareils photos, dans le cadre du lancement de sa nouvelle gamme d'appareils photo compacts Nikon Coolpix, sur 26 locutions européennes, a démontré que le plus beau sourire s'obtient avec le "Ouistiti !" français !
Cocorico !
Les ouistitis ou "callitriches" sont un genre de singes de toute petite taille, présent dans le Nouveau Monde.
Le long de la côte Est du Brésil et au Sud de l’Amazone, les ouistitis se sont diversifiés en une vingtaine d'espèces ne pesant que de 120 à 400 g et dont le pelage peut être blanc, sombre ou bien encore agouti.
Il est cependant probable que d’autres espèces de ouistitis existent dans certaines régions encore mal connues du Brésil et de la Bolivie.
Ainsi, le "ouistiti pygmée", également appelé "ouistiti mignon" ou "ouistiti nain" n'a-t-il été découvert qu'en 1998.
Sources : itrnews.com et wikipedia.org
Cette locution nominale en forme d'idiotisme animalier appartient au langage courant.
Elle signifie : avoir une taille très fine.
Et elle utilisée pour désigner un type de silhouette (essentiellement féminine) caractérisée par une différence de proportion très marquée au niveau de la taille, entre un buste relativement étoffé et des hanches larges.
"Une taille de guêpe" est naturellement une formule qui tire son nom de la similitude entre ce type de silhouette et le corps segmenté de la guêpe, dont le thorax (sur lequel sont fixées six pattes et quatre ailes) et l'abdomen (arborant des couleurs vives avec à son extrémité un aiguillon relié à une glande à venin) sont très nettement séparés :
Avoir une "taille de guêpe" est généralement rendu possible grâce au port prolongé :
"Taille de guêpe" est également une marque de thés de Chine ainsi qu'une marque spécialisée dans la vente de gaines et de produits aidant au maintien de la forme de la femme.
Source : wikipedia.org