"Voler de ses propres ailes".

Cette locution verbale du langage courage en forme d'idiotisme animalier signifie, au sens figuré : être autonome, indépendant ; subsister par ses propres moyens ; ne pas avoir besoin des autres pour faire quelque chose ; être capable d'agir par soi-même sans le secours d'autrui.

Par allusion à l'oisillon ayant suffisamment grandi pour quitter le nid et chercher tout seul sa nourriture.

On dit par exemple : "Mon fils aîné vole de ses propres ailes désormais".

Sources : www.expressions-francaises.fr et www.linternaute.fr

"L'homme-serpent", "L'homme-tronc", "La chenille humaine", "Le cigare humain" ou "Le torse vivant".

L'artiste de cirque états-unien d'origine guyanaise Prince Randian, Randion ou Rardion (12 octobre 1871 - 19 décembre 1934), dans le film culte de Tod Browning "Freaks / La monstrueuse parade" (1932)

Il s'agit des différents surnom de l'artiste de cirque états-unien d'origine guyanaise "Prince Randian", "Randion" ou "Rardion", né le 12 octobre 1871 et mort le 19 décembre 1934.

Atteint du syndrome tétra-Amélie, une maladie génétique très rare, il ne possédait ni bras ni jambes.

Il est mondialement célèbre pour son incroyable apparition dans le rôle de"The living torso" ("Le torse vivant"), dans le film culte de Tod Browning "Freaks / La Monstrueuse Parade", sorti en 1932, dans lequel il s'allume, seul, malgré son handicap, une cigarette à l'aide d'une allumette !

Malgré son pseudonyme de Prince Randian, il n'était nullement de sang royal, mais né dans une famille de travailleurs indiens.

Et son véritable nom de naissance demeure mystèrieux.

Marié avec une femme d’origine indienne, connue sous le nom de Princess Sarah, il a eu avec elle quatre filles et un fils !

Polyglotte, il parlait couramment hindi, anglais, allemand et français.

C'est par l'intermédiaire de l'entrepreneur de spectacles états-unien Phineas T. Barnum, qu'en 1889, à l'âge de 18 ans, le jeune infirme avait immigré aux États-Unis d'Amérique et était, jusqu'à sa mort des suites d'une crise cardiaque, devenu une attraction populaire du spectacle de monstres humains ("Freak show") de Coney Island, à New York.

 

Randian décède  le 19 décembre 1934, à l'âge de 63 ans.

Ne pas confondre : "Mettre à bas" et "Mettre bas".

Ces  deux locutions verbales du langage courant possèdent en effet  des significations très différentes.

  • "Mettre à bas" signifie : démanteler, abattre, démolir, détruire.

On dit par exemple : "Nous devons mettre à bas cette bicoque à moitié en ruine".

Ou : "Mettre à bas ce régime corrompu est une priorité".

  • tandis que "Mettre bas" signifie : donner naissance à un ou plusieurs petits, "accoucher" pour un animal, plus particulièrement pour les mammifères.

On dit par exemple : "Ma chienne va mettre bas d'ici peu".

Source : crisco2.unicaen.fr

"La hyène".

Le journaliste sportif français Étienne Moatti

Il s'agit du surnom du journaliste sportif français Étienne Moatti, aimablement attribué par ses confrères de l'émission vespérale d'Olivier Ménard "L'Équipe du soir", sur la chaîne de télévision française "L'Équipe".

Entré au journal "L'Équipe" en 1999, celui-ci y est en charge de l'économie du sport.

Spécialiste des droits télévisuels, il est également l’interlocuteur des grandes institutions du football (LFP, FFF, UEFA, FIFA).

Et chroniqueur permanent pour l'émission "L’Équipe d’Estelle", qui précède "L’Équipe du Soir" sur la chaine "L’Équipe".

Dans le registre des surnoms animaliers, un autre de ses collègues de "L'Équipe du soir", le journaliste sportif français Nabil Djellit, a lui été surnommé "Le fennec".

Source : www.mediasenseine.com

"Un chafouin" ou "Une chafouine" et "Chafouin" ou "Chafouine".

  • Le substantif "Un chafouin" ou "Une chafouine" désigne :
    • une fouine, dans certaines régions françaises,

Une fouine

    • ou, dans le registre désuet : une personne de petite taille, plutôt fluette et à la mine basse et sournoise, comme une fouine.
  • et l'adjectif du langage courant "Chafouin" ou "Chafouine" signifie : sournois, rusé, en parlant essentiellement du visage ou de la physionomie.

On parle par exemple d'un "visage chafouin" ou d'un "air chafouin", ainsi que d'une "figure chafouine" ou d'une "mine chafouine".

Sources : www.cnrtl.fr, Le Robert et wiktionary.org

"Un bourricot".

Un bourricot

Ce substantif masculin désigne :

  • dans le langage courant : un âne de petite taille ; notamment en Afrique du Nord.

Un homme voyagant à dos de bourricot, en Afrique du Nord

  • dans le registre argotique : une personne sotte et bornée.

On dit par exemple : "Ce maudit bourricot est encore rentré dans la maison avec ses bottes pleines de fumier !".

  • dans le registre argotique et dans le registre désuet, de façon injurieuse, du temps de l'Algérie coloniale :
    • dans les camps de travaux publics : un dénonciateur ; celui qui, pour n’importe quel fait, se plaint au sergent ou à l’adjudant chargé de la garde des détenus.
    • ou, dans les écoles primaires : un enfant ne sachant ni lire ni écrire.

"Voler à l'aide" ou "Voler au secours" de quelqu'un.

Ces deux locutions verbales du langage courant en forme d'idiotisme animalier signifient, au sens figuré :

  • "Voler à l'aide" de quelqu'un : se précipiter pour lui venir en aide.
  • et "Voler au secours" de quelqu'un : porter secours avec célérité, rapidement.

"Se marrer comme une baleine".

"Se marrer comme une baleine" : Astérix, Idéfix et Obélix riant aux éclats

Cette locution verbale en forme d'idiotisme animalier appartient au registre argotique.

Et elle signifie : rire aux éclats, être plié de rire.

Assez étonnamment, je l'apprécie énormément, alors même que mon père n'avait de cesse de l'utiliser à mon égard, lorsque j'étais enfant ou adolescent... et pas forcément de façon positive, compte tenu de ma tendance au surpoids puis à l'obésité !

On dit également, mais moins couramment me semble-t-il, "Rigoler comme une baleine" ou "Rire comme une baleine", dans le registre familier.

Sur le même sujet, je me permets de vous recommander la lecture de mon article consacré à  "Toutes les façons de dire "Bien rire" ou "Rire beaucoup".

"Prendre sous son aile (une personne)".

Cette locution verbale en forme d'idiotisme animalier signifie, au sens figuré : veiller sur elle, la prendre en charge, la placer sous sa protection.

À l'instar des oiseaux qui se servent de leurs ailes pour protéger leurs petits.

On dit par exemple : "Arrivé au lycée, le grand frère d'un ancien voisin m'avait pris son aile".

Sources : www.linternaute.fr, wiktionary.org et www.expressio.fr

"Le plus lourd des poissons osseux".

Un poisson-lune (ou "Môle") géant

Il s'agit de la "Môle" ou "Poisson-lune", un poisson marin des eaux tropicales et tempérées que l'on trouve tout autour du globe et qui dépasse fréquemment les 1 000 voire parfois les 1 500 kilos.

Un poisson-lune (ou "Môle") géant échoué sur une plage

Doté d'une tête proéminente, sans queue et peu épais par rapport à sa hauteur, la môle, nageoires comprises, peut être aussi haute que longue.

D'une longueur moyenne de 1,80 mètre, le plus grand spécimen connu atteignait 3,20 mètres de hauteur.

Un poisson-lune (ou "Môle") géant

Source : wikipedia.org

"Bernard Lions".

Le journaliste sportif français Bernard Lions

Ce journaliste sportif français, dont le patronyme se prononce "lion-ss", est né le 23 avril 1970.

Spécialiste du football, il a commencé sa carrière au bi-hebdomadaire de football "But" en septembre 1994, avant de collaborer aux mensuels "Le Foot" et "Le Sport".

Et d'intégrer, en 1997, le grand quotidien sportif "L'Équipe", où il devient tour à tour rédacteur, reporter et grand reporter à la rubrique football.

Spécialiste de l'AS Saint-Étienne, qu'il suit depuis son entrée au journal "L'Équipe", il est un participant régulier, depuis septembre 2008, de l'émission vespérale d'Olivier Ménard "L'Équipe du Soir", sur la chaîne de télévision française "L'Équipe TV" devenue "La chaîne L'Équipe", où il est surnommé le "Docteur Love".

 

Source : wikipedia.org