Cet étrange substantif féminin est une curiosité de la terminologie juridique suisse désignant : l'abus de prescriptions médicales.
Source : www.revmed.ch
Richesse et défense de la langue française
Cet étrange substantif féminin est une curiosité de la terminologie juridique suisse désignant : l'abus de prescriptions médicales.
Source : www.revmed.ch
J'aime beaucoup ce joli substantif féminin utilisé essentiellement au pluriel par nos amis Belges.
Relevant du registre familier, il désigne : des bêtises, des fariboles, des calembredaines.
On dit par exemple : "Quand tu auras fini de me raconter des carabistouilles tu iras te laver les mains et tu mettras la table !".
Source : www.larousse.fr
Cette étrange locution nominale féminine relevant du langage courant est utilisée par nos amis belges pour désigner : la pause-déjeuner.
On dit par exemple : "Pour parler à M. De Mesmaeker, il faudrait rappeler vers 14H30, car il est en heure de table".
Ces mots homophonographes ne doivent surtout pas être confondus :
On dit par exemple : "Ta mater est d'accord pour samedi soir ?".
Source : www.cnrtl.fr
Cette locution verbale du langage courant est utilisée par nos amis belges pour dire : "Faire la queue".
On dit par exemple : "Pour pouvoir visiter le Louvre, nous avons dû faire la file dehors pendant deux heures".
Cette curieuse locution verbale est utilisée par nos amis belges pour dire : faire très froid.
On dit par exemple : "Couvre-toi bien, il fait caillant ce matin !".
Cet étrange substantif désigne : une personne effectuant des recherches et veillant à la sélection et à la préparation des données et des documents nécessaires à l'élaboration du contenu d'une émission de radio ou de télévision, d'un film, d'une pièce de théâtre, d'un livre, d'un produit multimédia, etc.
Ce terme nous vient du québecois et constitue un affreux anglicisme, directement calqué sur le mot anglais "Researcher".
Les québecois parlent également de "Technicien(ne) en documentation" et les français de "Documentaliste", deux termes bien mieux adaptés à mes yeux.
Sources : www.cairn.info, www.monemploi.com et wikipedia.org
Ces différentes locutions verbales utilisées par nos amis belges relèvent du langage courant.
Et elles signifient respectivement : avoir des difficultés à ; du mal à.
On dit par exemple : "J'ai difficile à comprendre ton attitude dans cette histoire".
Ou : "Mon petit-fils a dur à faire ses exercices de mathématiques".
Ou : parvenir facilement à.
On dit par exemple : "J'ai facile à écrire avec ce nouveau stylo".
Ou : "J'ai facile d'écrire avec ce nouveau stylo".
Ces trois adverbes français relèvent du registre argotique.
Et ils signifient tous trois, en verlan : comme ça.
On disait autrefois en argot : "Comac" et "Comaco".
Ce substantif et cet adjectif relèvent du registre familier.
Et ils qualifient ou désignent, pour les Marseillais et les Provençaux : une personne têtue, entêtée, opiniâtre, n'en faisant qu'à sa tête.
On dit par exemple : "Celle-là, ma foi, elle est aussi testarde que sa mère !".
Ou : "On voit bien que tu ne connais pas mon frère : c'est un testard !".
Source : wiktionary.org
Cette locution verbale du langage courant est utilisée par nos amis belges pour dire : se débrouiller.
On dit par exemple : "Ne t'inquiète pas pour demain : je vais tirer mon plan".
Attention à la polysémie de ce substantif féminin, qui peut avoir plusieurs significations, puisqu'il désigne, selon le contexte :
Comme par exemple les lépreux, au Moyen Âge.
Conçues pour être légères et confortables, et pour faciliter la respiration du pied lorsqu'il fait chaud, les claquettes sont surtout utilisées à la plage ou à la piscine, comme les tongs. Elles se distinguent de ces dernières par leur lanière d'empeigne, qui ne sépare pas le gros orteil du reste des orteils du pied.
Cette empeigne peut être lisse et continue ou bien avoir des attaches, comme des boucles ou des velcros :
Mais, à l'inverse des babouches et des mules, qui sont fermées à l'avant, les claquettes ne sont jamais fermées à l'avant, laissant les orteils apparents et à l'air libre.
Enfin, on notera que, dans la langue française couramment parlée en Nouvelle-Calédonie (988), ce terme de "Claquettes" désigne les "Tongs".
On dit par exemple :"Le numéro de claquettes de ce danseur était époustouflant".
On dit par exemple : "Ma concierge est une vraie claquette".
Sources : Le Robert, www.cnrtl.fr et www.larousse.fr