Les deux sont des armes à feu à canon court et des armes de poing et sont malheureusement très souvent confondues.
le revolver, arme de prédilection des "cow-boys" de "western", est équipé d'un cylindre tournant appelé "Barillet" et contenant les cartouches.
Le mot "Revolver" (du latin "Revolvere" ou "Revolvare" qui signifie "Tourner ") désigne d'ailleurs, à l'origine, le système lui-même, qui permet d'amener tour à tour, par rotation, devant un canon indépendant, les chambres (parties de l'arme contenant la charge propulsive et le projectile) afin de pouvoir tirer plusieurs coups sans interruption.
La plupart des revolvers permettent de tirer six cartouches ; d'où leur nom dans de "Six-coups" dans les films et bandes dessinées.
Tous les revolvers conservent les douilles dans le barillet.
Le cinéma nous a également habitué à voir des versions plus modernes de revolvers dans les films policiers :
En aucune façon en tous cas, un petit garçon qui joue "aux cow-boys et aux indiens" (mais cela existe-t-il encore ?) ne saurait donc normalement avoir à sa disposition un "pistolet" mais uniquement un "revolver" !
contrairement au revolver, le pistoletne possède pas de barillet et il éjecte les douilles.
Les modèles avec chargeurs permettent de tirer plus de coups que les revolvers, mais ils peuvent s’enrayer.
Dans l'imagerie cinématographique traditionnelle, le pistolet est souvent l'apanage de l'espion ou de l'officier nazi.
Et pas, beaucoup plus simplement, : "Un chargé de recrutement" ou "Un responsable du recrutement" !
Certes d'aucunsm'objecteront que le TAM est "beaucoup plus stratégique ; qu'il inclut une fonction d’organisation, d’analyse et d’optimisation du processus de recrutement. Et qu'il a pour mission de recruter les meilleurs talents tout en maîtrisant l’évolution et les fluctuations du marché de recrutement" (*).
Mais je ne vois absolument pas en quoi un "chargé de recrutement" ou "responsable du recrutement" ne pourrait pas s'acquitter de ces différentes tâches ?!
On mesure bien là, me semble-t-il, à quel point changer les mots - en particulier pour d'absconsvocables anglo-saxons - constitue un pitoyable leurre pour tenter de convaincre ou/et se persuader que l'on agit, là où l'on ne fait que se gargariser de grands mots ou de concepts creux.
(*) : Article intitulé "Talent Acquisition Manager : zoom sur le responsable recrutement du futur", pulié le 14 novembre 2016 sur le site www.digitalrecruiters.com
Ces deux termes sont souvent confondus par le grand public car les deux désignent des armes à feu ainsi que des armes d'épaule d'apparence relativement similaire.
Il convient cependant de les distinguer car il s'agit en réalité de deux armes assez différentes.
Et cela aussi bien dans le domaine de la chasse que dans le domaine militaire, où ces termes possèdent des caractéritiques bien spécifiques :
Dans le domaine de la chasse :
le fusilde chasse a un canon complètement lisse adapté aux projectiles multiples (sphériques, en plomb, acier ou autre métal) contenus par ses cartouches.
tandis que la carabine de chasse a un canon rayé destiné aux munitions à projectile unique (balles).
Les rayures à l'intérieur de canon ont pour but d'imprimer un mouvement rotatif au projectile afin de l'accélérer et de le stabiliser pendant le vol.
Aussi la carabine de chasse possède-t-elle une portée et une précision bien supérieures à celles du fusil de chasse.
Dans le domaine militaire
L'armement militaire dispose désormais majoritairement de canons rayés.
Et les fusils militaires tirent des balles et non des cartouches.
La différence entre fusil militaire et carabine militaire est donc plutôt une question de portée, de puissance et de dimensions.
Le fusil d'assaut est ainsi une arme de très forte puissance. Qu'il s'agisse du légendaire AK-47 russe Kalachnichov ou du HK-416 allemand, remplaçant du traditionnel FA-MAS ou FAMAS français.
Fusil d'assaut russe Kalachnikov AK-47
Fusil d'assaut allemand HK-416Fusil d'assaut français FA-MAS ou FAMAS
et le fusil de précision est une arme à très longue portée.
Ces deux locutions du registre soutenu - mais relevant avant tout du jargon médical - désignent tout simplement "la bouche".
C'est à dire l'ouverture par laquelle la nourriture d'un animal (dont l'homme) entre dans son corps.
L'utilisation de tout orifice à cet effet n'est donc pas conventionnelle et relève de pratiques personnelles qu'il ne m'appartient pas ici de juger.
Je pense évidemment en particulier aux bananes dans l'oreille. Ou à ces grossiers individus qui vous menacent parfois de vous "faire rentrer par les trous de nez" quelque chose !
Il résulte de l’homophonie entre « Des figures » et la forme conjuguée du verbe « Défigurer » « Défigure ». Une balafre altère les traits d’un visage, jusqu’à le rendre méconnaissable.
Orsay (91) est une ville de la banlieue sud de Paris (75), aujourd'hui célèbre pour son université (Paris-Sud ou Paris-XI), créée le 1ᵉʳ janvier 1971.
Elle était autrefois reliée à la capitale par la ligne de la compagnie du chemin de fer de Paris (75) à Orléans (45), dont la tête de ligne fut, 39 années durant (1900-1939), la "gare du quai d'Orsay", puis "gare d'Orsay", un bâtiment monumental situé quai d'Orsay, en bordure de Seine, sur l'emplacement du Palais d'Orsay, construit de 1810 à 1840 et détruit sous la Commune de Paris en 1871.
Construite par l'architecte Victor Laloux pour l'exposition universelle de 1900, elle est inaugurée le 14 juillet 1900 sous le nom de... "gare d'Orléans" ; tout comme cela avait été le cas en 1840 avec la future... "gare d'Austerlitz" !
Lorsque la "Gare d'Orsay" s'appelait encore "Gare d'Orléans".
Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est utilisée pour l'expédition des colis aux prisonniers puis pour l'accueil de ces mêmes prisonniers à la fin du conflit.
Longtemps désaffectée, menacée d'être transformée en hôtel de luxe dans les années 1960, le génial réalisateur états-unien Orson Welles en fait, en 1962, grâce à l'intervention d'André Malraux, le décor de son film "Le procès", adapté du roman de Franz Kafka.
Le grand hall devient même dans les années 1970 une annexe de l'hôtel des ventes de Drouot.
De 1973 à 1979, 2 000 mètres carrés de la verrière de la gare abritent le théâtre d'Orsay, de la compagnie Renaud-Barrault, créée en 1946 par Madeleine Renaud et Jean-Louis Barrault.
L’architecture est la synthèse des expériences internationales de la compagnie, qui a parcouru le monde et joué dans toutes sortes de lieux ; des théâtres antiques aux théâtres à l’italienne ou à l’allemande, sous des chapiteaux, etc…
Ils construisent ainsi un chapiteau de 900 places, une petite salle de 180 places située dans l’aile de la gare, où l’on monte des auteurs contemporains et un grand foyer tapissé avec des décors recyclés.
Au total, le Théâtre d’Orsay y a accueilli 300 000 personnes par saison.
Le bâtiment est définitivement sauvé en 1973 quand il est inscrit à l'Inventaire des Monuments historiques, puis classé en 1978, et, enfin, converti, à l'initiative du président Giscard d'Estaing, mais durant le premier septennat de Français Mitterrand, en musée consacré à l'art du XIXe siècle, ouvert en 1986 sous le nom de "musée d'Orsay".
Pour l'anecdote, son inauguration solennelle, le 1er décembre 1986, constitue un sommet de la malice et de la rouerie mitterrandiennes, puisque le président Mitterrand s'était plu à n'y convier en visite privée que les seuls Valéry Giscard d'Estaing (son prédécesseur, à l'initiative du projet) et Jacques Chirac (alors maire de Paris), leur guide très spécial n'étant autre que Mme Anne Pingeot, mère de sa fille adultérine Mazarine Pingeot.
Anne Pingeot, François Mitterrand, Jacques Chirac et Valéry Giscard d'Estaing, le 1er décembre 1986, lors de l'inauguration officielle du Musée d'Orsay
Spécialiste de la sculpture du XIXe siècle, celle-ci deviendra la conservatrice des sculptures du musée et était la maîtresse de François Mitterrand depuis déjà plus de vingt ans, ce qu'évidemment ni l'un ni l'autre des invités du président n'ignorait alors, mais que le grand public ne découvrira que 8 ans plus tard en 1994.
On imagine dès lorsaisément combien celui-ci à pu se délecter d'évoluer ainsi, quelques dizaines de minutes durant, aux côtés de la femme de sa vie (l'une des deux principales tout au moins !) et de ses deux grands rivaux politiques !
La "gare du musée d'Orsay" actuelle, enfin, est une gare ferroviaire française de la ligne C du RER, exploitée depuis 1979 par la SNCFau sous-sol de l'ancienne gare d'Orsay.
Sources : wikipedia.org, www.lefigaro.fr et compagnieaffable.com
Distinguer "Proche-Orient" et "Moyen-Orient" est en effet beaucoup moins simple qu’il n’y paraît, car ces deux mots désignent des régions géographiques sans délimitations officielles.
De plus, la locution "Moyen-Orient" ne désigne pas la même chose en français et en anglais !
Pour nous français, en effet, :
le "Proche-Orient" désigne : la Syrie, le Liban, Israël, la Palestine, la Jordanie, l’Iraq.
Également la Turquie, en théorie, mais ces dernières décennies ce pays est de moins en moins considéré comme "oriental" par le Quai d’Orsay, qui le rattache désormais à sa direction Europe.
Le "Proche-Orient" est donc une zone correspondant approximativement à ce que fut jusqu’en 1918 l'Empire ottoman et à ce que l’on appelait autrefois le Levant, ; une zone géographique recoupant en grande partie les territoires conquis lors des croisades, berceau des chrétiens d'Orient.
et le "Moyen-Orient" désigne : l’Égypte, la péninsule arabique (qui comprend l’Arabie Saoudite, le Yémen, Oman, le Qatar, les EAU (Émirats Arabes Unis) et le Koweit), l'Iran, l'Azerbaïdjan, l'Arménie et la Géorgie.
Plus à l'Est, l’Afghanistan ou le Pakistan appartiennent, eux, à l'Extrême-Orient, qui correspond, principalement, à la sphère d'influence de la civilisation chinoise,
tandis que, pour les anglo-saxons, l’appellation « Moyen-Orient » englobe l’ensemble de ce que, nous français, appelons "Proche-Orient"PLUS ce que nous appelons "Moyen-Orient".
D’où l’appellation souvent utilisée de "Proche et Moyen-Orient", pour traduire le "Middle East" utilisés par les états-uniens ou les britanniques...
Cette onomatopée française - dérivée, comme souvent, de la forme anglo-saxonne "Oops !" -, évoque la surprise de celui qui découvre, constate ou prend conscience de quelque chose.
On l'utilise souvent pour faire acte de contrition et auto-dénoncer une erreur, un manquement ou un oubli. Voire souligner le ridicule d’une situation.
On écrit par exemple : "Oups ! J'ai envoyé mon précédent message un peu vite : vous aurez naturellement compris, Mme la directrice, que mon précédent message adressé à "Ma grosse cochonne" ne vous était nullement destiné !".
Dans le registre vulgaire, nous trouvons : "Être lèche-cul", "Jouer les lèche-cul" ou "Lécher le cul".
On peut également dire, dans le registre argotique, "Cirer les godasses" , "Cirer les grolles" ou "Cirer les pompes" .
"Cirer les bottes" appartient au registre familier.
Et la jolie formule "Passer la brosse à reluire" au langage courant. Ainsi que les verbes "Complimenter", (légèrement en deçà de "Flatter") ou "Glorifier" (sensiblementau-delà de "Flatter") et les locutions verbales "Couvrir de louanges", "Faire compliment (de quelque chose)", "Faire l'éloge", "Tresser des couronnes" ou "Tresser des lauriers".
Les verbes "Louanger" et "Louer" (légèrement au-delà de "Flatter") relèvent du registre soutenu.
Et personnellement j'apprécie particulièrement le verbe du registre désuet "Flagorner", qui sous-entend "Flatter bassement, servilement".
C'est chez l'écrivain français Marcel Proust, que l'écrivaine Françoise Quoirez, née le 21 juin 1935 et morte le 24 septembre 2004 a trouvé sonnom de plume.
"Hélie de Talleyrand-Périgord, prince de Sagan" est en effet un personnage de "Le Côté de Guermantes", le troisième tome de "A la recherche du temps perdu", publié en deux parties en 1920 et 1921.
Qui a, du reste, réellement existé, puisqu'il s'agissait d'un gentilhomme français né le 23 août 1859 et mort le 25 octobre 1937, ayant eu l'excellente idée d'épouser civilement, en 1908, la richissime états-unienne Anna Gould, divorcée en 1906 de son cousin Boni de Castellane. Elle avait en effet hérité, en 1892, à la mort de son père, le milliardaire des chemins de fer Jay Gould, de la coquette somme de 80 millions de dollars de l'époque, soit plus de 2,3 milliards $ actuels.