"Le TDC", "Le Trou du cul", "Le troudu" et "Le trouduc" appartiennent au registre vulgaire.
De même que "La boîte à chocolat", "Le fion", "La pastille", "La rondelle", "Le trou à caca", "Le trou à merde", "Le trou de balle" ou "La turbine à chocolat".
Ou "Le boyau cullier", qui relève également du registre désuet.
"Le borgne", "Le cyclope", "L'échalotte", "L'oeil de bronze", "L'oeillet", "L'oeillet plissé", "L'oeillet rose", "L'oeilleton", "L'oignon", "Le petit", "Le petit trou", "Le pétoulard", "Le pot", "Le pot d'échappement", "La rosette", "Le trou", "Le trou mignon", "Le trou plissé", "Le trou qui pète", "Le troufignard", "Le troufignon", "Le troufion" (ou "Le trouffion"), et "Le vase" relèvent du registre argotique.
Et "L'entrée des artistes", "La porte de derrière" ou "La porte de service" du registre familier.
"Le fondement" et "L'orifice anal" appartiennent au registre soutenu.
Et "L'orifice du rectum" ou "L'orifice rectal" au jargon médical.
Sources : www.languefrancaise.net, dictionnaire.sensagent.leparisien.fr et Le guide de poche des gros mots. de Jean-Michel Jakobowicz (2020)